1746. Guerre. Succession. Autriche. Militaria. Ordres. Marche. Trajets. Nice

1746. Guerre. Succession. Autriche. Militaria. Ordres. Marche. Trajets. Nice
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  • Région: Nice. Briançon. Var. Alpes du Sud.
  • Type: Manuscrits ancien. Ordres de Marche.
  • Epoque: 1746. Louis XV.
  • Pays de fabrication: France
  • Thème: Militaria. Guerre de Succession Autriche
  • Nombre de pages: 10

1746. Guerre. Succession. Autriche. Militaria. Ordres. Marche. Trajets. Nice

AFFAIRE DREYFUS / Exceptionnel ensemble de documents / La vérité est en marche

AFFAIRE DREYFUS / Exceptionnel ensemble de documents / La vérité est en marche
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AFFAIRE DREYFUS / Exceptionnel ensemble de documents / La vérité est en marche
Exceptionnel ensemble de documents autour de lAffaire Dreyfus 1895 1930, 35 documents (ouvrages, lettres, photographies etc). Exceptionnel ensemble de documents autour de lAffaire Dreyfus. Majeur de lentre deux siècles. Portrait photographique sur carte postale, signé ADreyfus 13.7 x 8.8 cm, « Collection C. Coquelin » Ancienne trace de montage au verso. Célèbre portrait du capitaine Alfred Dreyfus, après sa réhabilitation à son grade dans larmée française le 12 juillet 1906. Célèbre numéro historique, en édition originale, du 13 janvier 1895, figurant la dégradation du Capitaine Dreyfus dans une cour de lÉcole militaire le 5 janvier. Exemplaire complet de ses 8 pages in-folio. Bel état, quelques petites déchirures en marge gauche. Le 22 décembre 1894, soit 15 jours plus tôt, Alfred Dreyfus est condamné à lunanimité des juges à la dégradation et à la déportation à perpétuité en Guyane pour haute trahison. En toute illégalité, un dossier secret avait été transmis la veille par le commandant du Paty de Clam à la Cour, à linsu de la défense et de laccusé. Lettre autographe signée Alfred Dreyfus à Mme de Schwartzkoppen Paris, 7 rue des Renaudes, 1 page in-8 avec enveloppe autographe. Importante lettre du Capitaine Dreyfus revenant, à la parution des Mémoires posthumes du Général Von Schwartzkoppen, sur le rôle et les agissements de ce dernier durant la triste et célèbre affaire. « Le Général Von Schwartzkoppen a agi en honnête homme et en homme de conscience ». « Très honorée Madame, Je vous remercie infiniment davoir bien voulu me faire parvenir le récit laissé par votre mari. Le Général Von Schwartzkoppen a agi en honnête homme et en homme de conscience en dévoilant tout ce quil savait ; il est seulement regrettable quil nait pas été autorisé à le faire de son vivant et au moment où ses yeux se sont ouverts à la réalité. Veuillez agréer mes respectueux hommages. (1850.1917) fût attaché militaire à Paris de décembre 1891 à novembre 1897. Le 15 octobre 1894, le capitaine Alfred Dreyfus est arrêté. Ce dernier aurait livré des renseignements à Maximilian Von Schwartzkoppen. Seule preuve : une ressemblance, très incertaine, entre lécriture du capitaine et celle dun bordereau dérobé par la Section de statistiques, le contre-espionnage français. Dreyfus est aussitôt condamné. Les carnets de Schwartzkoppen. La vérité sur Dreyfus. Bernhard Schwertfeger fût autorisé par la veuve de Schwartzkoppen, à éditer et publier ses mémoires sur lAffaire Dreyfus, près de quinze années après le décès du général. Les Mémoires de Schwartzkoppen furent rédigés en août 1903, avant même la réhabilitation dAlfred Dreyfus. Ainsi, trente-six ans après louverture de lAffaire, en 1930, le témoignage de lune des figures centrales de ce dossier est enfin livré au public. Schwartzkoppen y expose ses relations avec Esterhazy et met définitivement hors de cause le Capitaine Dreyfus, tout en sefforçant de dégager sa propre responsabilité dans la condamnation de lofficier français. Lettre autographe signée « Alfred Dreyfus » à Georges Lecomte S. L, 28 novembre 1924, 1 p. Lettre de félicitation dAlfred Dreyfus à Georges Lecompte Dreyfusiste convaincu au lendemain de lélection de ce dernier à lAcadémie Française. « Cher Monsieur, je vous adresse mes très chaleureuses félicitations pour votre élection à lAcadémie française que tous vos nombreux amis saluent avec joie. Veuillez agréer lexpression de mes sentiments bien sympathiques. Aphorisme autographe signé « Emile Zola » S. In-8 oblong sous Marie-Louise et enrichi dun tirage argentique sur carte postale. Extraordinaire et célébrissime aphorisme de Zola, représentant à lui-seul lAffaire Dreyfus. Fin 1897, Zola, révolté par linjustice de la presse nationaliste, décide décrire plusieurs articles dans Le Figaro en faveur du mouvement dreyfusard. Le premier, intitulé « M. Scheurer-Kestner », paraît le 25 novembre 1897. En conclusion de ce texte, est scandée pour la première fois cette phrase prophétique, étendard des Dreyfusards : « La vérité est en marche et rien ne larrêtera ». Le 13 janvier 1898, Zola donnera une nouvelle dimension à laffaire Dreyfus. Scandalisé par lacquittement dEsterhazy survenu trois jours plus tôt, lauteur décide de frapper un coup et publie en première page de LAurore un article sur six colonnes à la une, en forme de lettre ouverte au président Félix Faure : « Jaccuse ». Compte-rendu sténographique « in-extenso » et documents annexes. Exceptionnel exemplaire avec envois autographes de Georges Clemenceau et Marie-Georges Picquart Édition originale, deux volumes Demi basane verte, dos à nerfs, titre doré. Dos uniformément passé, un accroc au premier plat, déchirure en première page sur le deuxième volume. Marie-Georges Picquart écrit : « En souvenir dun drame qui a servi de pierre de touche aux caractères et aux véritables amitiés. Lettre autographe signée « G. Picquart » à M. Dittelbach Ville dAvray, le 23 juin 1899, 1 p. Picquart organise un rendez-vous 10 jours après sa sortie de prison, après avoir obtenu un non-lieu dans le cadre de lAffaire. « Cher Monsieur, Vous êtres mille fois aimable, mais je ne voudrais pas cependant vous imposer un jour que ne vous irait pas. Je pourrai être libre jeudi, vendredi ou mardi prochain. Veuillez me dire ce qui vous conviendrait le mieux. Mes respectueux hommages à Mme Dittelbach, votre tout dévoué G. Accusé davoir fabriqué la preuve contre Ferdinand Walsin Esterhazy, Picquart est emprisonné pendant près dun an. Les dreyfusards en font un héros, à linstar dOctave Mirbeau qui écrit dans la préface d Hommage des artistes à Picquart (février 1899) : « Comme on avait condamné Dreyfus, coupable dêtre innocent, il savait quon condamnerait Picquart, doublement coupable dune double innocence : celle de Dreyfus et la sienne ». Le Président Paris, le 31 octobre 1900, 3 p. In-8 Quelques anciennes taches de scotch sur le 3eme feuillet sans atteinte au texte. Picquart revient sur le procès quil a intenté aux côtés de Joseph Reinach contre Edmond Lepelletier, suite à un article diffamatoire paru dans lEcho de Paris. « Monsieur le Président, Le procès que jai intenté, pour diffamation à M. Lepelletier et à lEcho de Paris, doit venir aujourdhui en opposition devant la 9eme chambre, mais il ne pourra être retenu. Les défenseurs ont, en effet, décliné la compétence du tribunal correctionnel, ils ont contre eux un jugement de ce tribunal qui se déclare compétent, mais ils en ont appelé, et la question est actuellement pendante devant la Cour. Le Président de la Chambre des appels correctionnels sest engagé il y a 15 jours à faire plaider laffaire le 22 novembre, quoi quil puisse arriver, je viens vous prier très instamment de vouloir bien fixer les débats devant la 9. Chambre à une date aussi rapprochée que possible du 22 novembre, le 28 par exemple, sir les convenances du tribunal ne sy opposent pas. Je vous adresse cette demande parce quil est, je crois, de lintérêt de tous, quil puisse être statué promptement sur ces affaires de diffamation. Je nai pas cru devoir me présenter aujourdhui devant le tribunal, puisque mon affaire ne peut venir inutilement, mais mon avocat aura lhonneur de vous exposer verbalement la requête que je vous présente, de mon côté, par écrit. Veuillez agréer, Monsieur le Président, lassurance de ma respectueuse considération. Carte de visite autographe S. In-24 Quelques petites taches. Carte de visite avec mention autographe. « Avec ses bons souvenirs et tous ses vux de nouvelle année ». Lettre autographe signée « Anatole France » à Auguste Delpech Domaine de Caillavet (Gironde), le 8 octobre [1900], 1 p. 1/4 in-8 Pli central consolidé, traces de collage au dos, enveloppe autographe montée sur la 4. Anatole France adresse son soutien au sénateur Auguste Delpech. « Excusez-moi, mon cher sénateur, de navoir pas répondu à votre intéressante lettre assez vite pour vous éviter une course inutile. Mais je suis en Gironde et je ny ai reçu votre lettre quhier soir. Le projet que vous aviez lintention de me communiquer mintéresse très vivment. Jirai vous voir dès mon retour à Paris, cest-à-dire dans une quinzaine de jours. C royez, cher sénateur, à toute ma sympathie et à mon admiration pour votre énergique et franche attitude dans un temps de mensonge et de lâcheté. Auguste Delpech avait dénoncé le général Mercier [ministre de la Guerre] pendant le procès Dreyfus. Dès le 7 octobre, convaincu de tenir le coupable sur la seule base dune expertise graphologique approximative dAlphonse Bertillon, Mercier décide de la culpabilité de dAlfred Dreyfus. Dans cette lettre, Anatole France proposer de rencontrer Delpech dès son retour de Paris et lencourage pour son attitude Dreyfusiste résolue. Cette lettre est écrite de chez Mme de Caillavet, femme de lettres et maitresse dAnatole France. Son ssalon a joué un rôle important au moment de lAffaire Dreyfus. Lettre autographe signée « Joseph Reinach » à Alphonse Duvernoy [Paris], probablement le 16 juillet 1906, 1 p. In-12 avec en-tête de la chambre des députés Léger manque en marge inférieure gauche sans atteinte au texte. Reinach écrit au sujet de la fête militaire espérée par le camp Dreyfusard, moins dune semaine avant la réhabilitation de Alfred Dreyfus à lÉcole Militaire. « Cher ami, Deux mots seulement, car je suis accablé de lettres comme une fiancée. La fête militaire que vous préconisez avec raison ne pourra avoir lieu que plus tard. Je vous dirai de vive voix pourquoi. Dreyfus ma dit lui-même quil allait écrire au Général [Louis] André. Et il faudrait lui dire à celui-ci de ne plus écrire. Affectueusement à vous Joseph Reinach ». En ce 16 juillet, les amis de Dreyfus se réjouissent et espèrent une fête militaire larmée est encore ravagée par lAffaire et les révélations des malversations liées, mais aussi par le scandale des Fiches. Le Général André a rendu possible linnocence officielle de Dreyfus mais la raison du retard de cette fête est vraisemblablement liée à la présence du Général André lui-même. Au final il ne fut pas invité à la cérémonie de réhabilitation de Dreyfus à lÉcole Militaire du 22 juillet 1906. Vers la justice par la vérité Edition originale avec envoi à Rosemonde Gérard (épouse de Edmond Rostand) Demi basane rouge, frottements, déchirures marginales des deux premières pages. Joseph Reinach écrit : « A Madame E. Rostand, à ses pieds. Ex-Libris : (Timbre à sec) Alain Brisset. Carte de visite autographe signée « H. M » à Fernand Labori S. L [1911], 1 p. Remarquable témoignage damitié entre les deux principaux défenseurs dAlfred Dreyfus. Mornard remercie chaleureusement Labori de son élection en tant que bâtonnier du barreau de Paris. « Je suis heureux de vous féliciter mon cher ami, non pas de votre réélection qui nétait pas douteuse, mais de la belle manifestation de sympathie quelle a constituée à votre égard. Je ne suis pas votre électeur mais je vote tout de même de tout cur pour le bâtonnier Labori. Henry Mornard fut dans un premier temps lavocat de Lucie Dreyfus puis celui dAlfred Dreyfus lors de la révision de son procès à Rennes en septembre 1899. Combattant sans relâche, il obtient en 1906 la réhabilitation dAlfred Dreyfus. Il défendra Alfred Dreyfus conjointement avec Henry Mornard lors de la révision du procès de Rennes. Pièce autographe signée « Labori » au verso dun dessin original à la mine de plomb dune autre main S. L, septembre 1912, 1 p. Remarquable pensée du grand avocat de la cause Dreyfusiste citant La Bruyère. « La Bruyère a écrit dans ses caractères : « Je dirai presque de moi : Je ne serai pas voleur ou meurtrier ; je ne serai pas un jour puni comme tel, cest parler bien hardiment ». Je crois bien quil avait été avocat au Parlement de Paris de 1665 à 1673 : Il connaissait la justice de son temps. Combien cela a dû changer! Lettre autographe signée « Labori » S. L, 21 janvier 1897, 1 p. Labori prépare la publication dun article. « Mon cher ami, Cest entendu. Publions larticle le 1. Je puis vous donner jusquau 14 février, au besoin jusquau 15 dans la matinée. Il faut absolument que larticle parte pour limprimerie le 15 au plus tard : Je compte donc absolument sur vous. Je [me] tiens à votre disposition si vous avez besoin de quelques renseignements. Lettre autographe signée « JP Manau Procureur Général près la Cour de Cassation », probablement à un journaliste Paris, le 12 juillet 1898, 3 p. In-12 Des passages ont été biffés pour limpression. Intéressante pensée du procureur général à moins dune semaine de la condamnation définitive dEmile Zola aux Assises à Versailles suite à la publication de JAccuse le 13 janvier de la même année. « Monsieur Vous me demandez quel était mon rêve à 20 ans? Jen avais deux : Me faire une place honorable dans la société par le travail, voir mes aspirations vers la liberté réalisées par la République. Lâge mûr me les a-t-il réalisés? Oui, car après une éclipse de 18 ans [Le Second Empire], jai eu la joie de voir renaître la république, condition et source de tout progrès, et cest elle qui, après toutes les étapes de la carrière, ma élevé à lun des premiers postes de la magistrature. Vous me demandez aussi une pensée inédite. Je ne sais si celle qui me vient à lésprit a ce caractère, mais comme je lai vécue, je vous la livre : « Le vrai bonheur sur la terre consiste dans la conscience du devoir accompli et dans les affections du foyer domestique » Recevez, Monsieur, lassurance de mes meilleurs sentiments. Manau Procureur général près la Cour de Cassation ». Ensemble de douze dessins originaux au crayon, annotés par lartiste. [Rennes, août septembre 1899], 11 p. In-folio & 1 p. In-4 Quatre dentre eux sont signés Quelques taches, certaines marges très légèrement effrangées. Exceptionnel ensemble de première main, source iconographique majeure sur le procès dAlfred Dreyfus devant le Conseil de Guerre à Rennes en août et septembre 1899. Ces dessins furent offerts à lépouse du journaliste Bernard Lazare contacté en 1895 par Mathieu Dreyfus. Il est alors un des premiers à prendre la défense du capitaine aux côtés de sa famille et à sélever contre lantisémitisme ambiant. Il publie notamment une série de 5 articles dans le journal Voltaire en 1896 pour appeler les juifs à relever la tête face aux calomnies et violences dont ils sont victimes et naura de cesse de défendre Dreyfus. En novembre 1896, il publie également Une erreur judiciaire, la vérité sur lAffaire Dreyfus, qui relance la polémique. Ces portraits furent réalisés daprès nature durant la procédure de révision devant le Conseil de Guerre de Rennes qui sest ouverte le 8 août 1899. Alfred Dreyfus y fut à nouveau reconnu coupable mais avec des circonstances atténuantes. DREYFUS, Près de 100 photos dacteurs et de scènes du drame de la disgrâce. Edition originale, en anglais. In-4 Passionnant numéro retraçant en images la révision du procès de Rennes. [Alfred Dreyfus] Portrait original au pastel par Frederic Branka -[Alfred Dreyfus] Une photographie au format cabinet illustrant le déclin physique du Capitaine Dreyfus avant et après ses 5 années de prison (daprès dessins) -[Affaire Dreyfus] Couverture du Vanity Fair figurant Alfred Dreyfus (année 1897) -Maximilian Von Schwartzkoppen : Lettre dactylographiée signée (en tant que général de division et commandant), en Allemand A la demande conforme du 24 janvier 1903, le commando de corps a répondu avec obéissance que les taux de participation et la taille des classes ne permettaient pas le transfer de leur fils Hans à Potsdam uniquement pour la première année. [Colonel Auguste Bougon] : Rare photographie de Bougon, lun des juges qui a jugé Eszterhazy (16,5 x 12 cm). Annotation manuscrite au verso par son petit-fils -Ludovic Trarieux (Instigateur de la révision du procès du capitaine Alfred Dreyfus, il est le fondateur et le premier président de la Ligue des droits de lhomme) : Lettre autographe signée au président Félix Faure au sujet du rapport du garde des Sceaux. L’item « AFFAIRE DREYFUS / Exceptionnel ensemble de documents / La vérité est en marche » est en vente depuis le lundi 5 juillet 2021. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Autographes\Autres ». Le vendeur est « laurent-autographes » et est localisé à/en Versailles. Cet article peut être livré partout dans le monde.
  • Epoque: Belle Epoque
  • Thème: Histoire, Politique
  • Type: Lettre autographe signée
  • Nombre de pages: Plus de 10

AFFAIRE DREYFUS / Exceptionnel ensemble de documents / La vérité est en marche