Du Bec D’ambez Sainte Foy Gironde 50 Lettres Manuscrites Soldats An II 1793

Du Bec D'ambez Sainte Foy Gironde 50 Lettres Manuscrites Soldats An II 1793

Du Bec D'ambez Sainte Foy Gironde 50 Lettres Manuscrites Soldats An II 1793
Pour tous renseignements, vous pouvez me joindre aux références sous l’Annonce… « LA PATRIE EN DANGER ». Guerres du Nord et Guerres de Vendée. 50 Lettres des Soldats de lAn II. Témoignage cohérent de la vie quotidienne. Des Bataillons du Bec d’Ambez. Dans les Guerres du Nord et de Vendée. 50 LETTRES DES CONSCRITS & VOLONTAIRE. DIT DE LAN II. BATAILLONS DU BEC DAMBEZ (10° et 12° pour l’essentiel). CANTON DE SAINTE FOY LA GRANDE. Dans un Album in-quarto demi maroquin à coins réalisé à cet effet. Intégralement traduites et mises en Ordre Chronologique dans un document joint de 18 pages. 50 Lettres de Soldats de la Révolution originaires de la GIRONDE, des Régiments des Volontaires et Conscrits de lAn II du BEC dAMBEZ, de SAINTE FOY ou Lieux proches généralement destinées à leurs parents, pères & mères, frères & surs. Lettres du quotidien qui donnent des nouvelles personnelles et en demandent. Donne une impression du moral des troupes. Lettres qui donnent des renseignements. Sur leurs préoccupations immédiates et le prix des denrées. Lettres qui demandent des nouvelles de leurs parents proches. Qui ne reçoivent manifestement pas toujours leurs courriers. Haine des Brigands, les Aristocrates. La Guillotine est souvent présente. Les récits souvent dramatiques. Les massacres sont décrits et semblent froids. Les chiffres sont souvent importants. Par Milliers parfois à Noirmoutier, Lyon, ou Grenoble. Du 9 octobre 1792 les lettres nous décrivent le périple des Armées de Sans Culotte tous originaires de Dordogne, du Bec dAmbez, de Sainte Foy la Grand et environs, (un du Gers). Des notes sur presque toutes les lettres indiquent les noms des parents (noms de jeune fille parfois) et la mention de Volontaire à tel Bataillon du Bec dAmbez. Les Batailles et escarmouches avec les Brigands et Armées ennemies sont souvent racontées. Lécriture est souvent peu lisible, mais un gros travail a permis de les décripter à peu près entièrement et de les mettre en ordre. Les lettres traduites et mises par ordre Chronologique du 8 octobre 1792 au 28 février 1794. 46 sont datées de lAn II. Les lettres 7 et suivantes sont postérieures à la mort du Roi Louis. Sagissant des Bataillons du Bec dAmbez de la Gironde et plus particulièrement Sainte Foy la Grande je joins les Motifs de Ducos qui vota la Mort du Roi. Elles nous mènent à travers la France. Les mouvements de troupes sont dune rapidité souvent étonnante. Du 9 octobre 1792 des Campagnes de Flandre Douaï, Lille, Tournai etc. Nous allons au Campagnes de Vendée à POITIERS et NIORT, RENNES, BORDEAUX. SAUMUR, LANDERNAU, NOIRMOUTIER, THOUARS, PARTENAY, ROCHEFORT sur le Watignÿ à LORIENT. Pour Information, les Ordres des Commissaires de la Convention Nationale pour les Département de la Gironde et du Lot et Garonne, pour Lever les Volontaires. « LA PATRIE EN DANGER ». Seront votés le 23 février 1793 par la Convention et ordonnés de Bordeaux, le 23 mars 1793 et publiés le 30 mars par P. GARRAU et BEYLARD Secrétaire de la commission. Bataillon de la Gironde. Compagnie N° 5 en garnison à. Mère, par le Citoyen Jouhanneau, Citoyen avocat National à Epineuil. Longue lettre de 4. Mouillures et déchirures sans perte. Récit de Houlard Jeune de Batailles aux Frontières notamment contre Albert de Saxe, et se plait des violation des règles du droit de la guerre par les Autrichiens. Raconte les effets des boulets rouges et les destruction des maisons et églises. Siège de Lille ; défense. Ma très chère Mère. Celle-cy est pour répondre à la vôtre que jai reçu en date du 5 octobre dernier. Je ne puis vous exprimer la joie que jay ressenty et ressentiré toute ma vie en apprenant surtout que vous jouissez dune bonne santé, ce qui fait ma plus grande consolation en cette vie ; Je vous dirai que je prie sans cese le seigneur quil vous protège et vous bénisse en cette vie que je vous désire longue et heureuse et à la fin de vos jours et du moins que nous puissions nous joindre à la vie éternelle. Je suis cependant bien faché de ce que ma sur et mon frère ai été malade, mais nous ne sommes pas les Maîtres de cela du reste, Dieu ne chatie que ceux quil aime. Chère Mère je vous remercie des conseils salutaires que vous mavez donné sur vos lettres comme de vos avis sages et soyez plus que persuadés que cela fera la règle de ma conduite jusque la mort et tacherez toujours. De plus en plus de faire des efforts que ny vous ny personne nait à rougir de mä Compagnie, vous marqué que. Mes lettres vous font bien du plaisir et les vôtres doivent men faire de même vous nen devez pas douter dun seul instant, mais Cependant je vous diré que je suis privé de cette douce Consolation plus souvent que je ne voudroit car deux jours avant de recevoir. Votre lettre je vous en avait écrit une dans laquelle je nay eu aucune réponse ce ui minquiète beaucoup dont je ne scait à quoi attribué cela car je crains que vous ne soyez malade. Ou nous sommes nous avons party le 29 du mois dernier de DOUAY pour aller à LILLE dans cette grande et belle ville qui a bien mérité de la patrie pour la belle défence que les Citoyens aidés de la garnison ont fait pendant le Siège affreux de cette ville qui a duré 8 jours et autant de nuits sans discontinué, mais malgré les efforts du barbare ALBERT DE SAXE, Chef de ces hordes AUTRICHIENNES a fait quil nous a rien gagné quoiquil ay tiré. En commençant à boulets rouges contre les règles de la guerre qui le deffend en commencant surtout, mais cétait le conseil que luy avait donné les LACHES EMIGRES français qui étant comme aussy ces prêtres réfractaires en disant quen tirant à boulets rouges comme ils ont fait cela mettrait le feu à la ville et forceraient les citoyens à se rendre, mais il furent bien trompés cette fois dans leurs espérances. Ces lâches ne connaissaient pas le courage des hommes libres surtout quand il sont unis entre eux, car malgré plus de 30 000 boulets rouges quils ont envoyé dedans la ville et six milles bombes qui nont pas laissé que de brûler bien des maisons e t une belle église entièrement brûlée. Plus il tombait de boulets et de bombes plus le courage des citoyens devenait grand et ils se disait « nous avons faim dêtre libre », il faut tenir mes sermens jusquà la mort plutôt que lesclavage et lon tuera tant de monde à lennemi dans ces retranchements qui étaient formidable que lon les força à lever le Siège et de se retirer la rage dans le cur de navoir pas réussi dans leur entreprise téméraire. Je puis vous assurer tous les faits car je les ay vu de mes propres yeux comme aussi de leurs retranchement que je suis été ou plutot cela empoisonnait par la grande quantité de morts quil y a dedans. Je puis vous dire aussy que depuis 10 jours que notre bataillon est entré en campagne il sest conduit dune manière digne déloges car il se sont trouvé à plusieurs attaques et pris avec lennemi dont il sen est tiré avec le plus courage et la plus grande hardiesse de la PRISE DE LANNOYou les AUTRICHIENS en force ils les ont chassé avec dautres troupes de lEmpire et ont prit des prisonnier et sil ne se sont pas coupé les chemins et les ponts comme ils ont fait ce qui a beaucoup retardé la marche de mes camarades sans quoi ils auraient pris ou tué tous ces brigands dautrichiens qui auraient été à LANNOY ainsi que à ROUBAIX mais le plus glorieux de leurs expédition, cest quand ils eurent ordre de marcher sur « ;; » ce quils firent effectivement mais lennemi sétait retiré dans des retranchements quils avaient fait en. En avant la ville et ils fallut les en chasser après avoir tiré pendant un grand espace de temps avec une vigoureuse défence de part et dautres. Le Général qui commandait proposa au Bataillon de marcher hardiment sur lennemi la bayonnette au bout du fusil, ce qui fut exécuté avec joie, jaurait désiré que vous ussiez vu courir nos volontaires qui urent bientôt chassé les brigands de leurs retranchements et se mirent à fuir à de tous cotés ; mais nous les avons poursuivis de toutes parts sans craindre aucun danger. Lon tua àlennemi plus de 200 Hommes. Lon a conduit à LILLE et en tout il y a 80 prisonniers. Et nous navons eu que six blessés. La troupe de ligne qui était avec nous a souffert un peu plus, il y a eu des mort. Je ne puis oublier de vous marquer hier à LILLE lon a fait de grandes Réjouissances au sujet de lheureuse nouvelle de la PRISE DE MONS qui fut emportée dassaut à lARME BLANCHE. Il nous en a côuté queque peu de monde mais cette ville nous est dune grande conséquence pour la conquête du BRABANT et au moment que je vous écrit lon nous assure TOURNAY évacué et nos troupes dedans. Si cela est le projet du Citoyen Général DUMOURIEZ, ne tardera pas à être accompli quand on. A dit quils pousseraient sans quartier à BRUXELLES et voilà à présent toutes les précaution des TIRANS de la maison dAutriche inutiles eux qui voulaient nous empêcher nos frère du BRABANT de lESCLAVAGE dentre leurs mains, et malgré les tirans nous la rendront libres. Vous ne devez pas ignorer que le GENERAL Citoyen CUSTINE fait de très belles conquêtes dans lAllemagne et très rapidement même car il nous ont déjà conquis quatre grandes et fortes villes, et les tirans coalisés obligés avant quil soit peu de reconnaître notre liberté. Et de payer les ravages affreux quil ont commis dans le département du Nord dont les peuples les plus barbares aurait rougi den commettre de semblables car il ont tout pillé et volé dans les campagnes et ont même tué des paysans et maltraité dautres et aux femmes et filles ils ont fait des choses que la pudeur ne me permet pas de. Rien autre de nouveau pour le présent sinon que nos ennemis prennent la fuite de tous cotez et à tous moment. Il arrive des déserteurs en foule de létranger. Jje vous prie dassurer bien du respect à tous ceux qui sinformeront de moy. Je vous prie dassurer bien de mes respects le Citoyen JOUHANNEAU et toute sa famille et vous lui ferez part de la lettre du Citoyen Curé. A SA MERE , par le Citoyen Jouhanneau, Citoyen avocat National à Epineuil. In-quarto manuscrits, encre très très pâle, tâches de gras de bougie, déchirure sans perte. Hymne à la patrie. A la Liberté, Détails de mouvenment de troupes. Inondation des fossés en défense. Moral de troupes pour la défense de DOUAY. Ma très Chère Mère. Sur la frontière pour combattre pour la défense de la liberté et de la patrie et résolu de souffrir plutôt la mort mille fois que lesclavage. Le Général de DOUAY a fait revenir hier les détachements de notre bataillon qui étaient à ORCHIES avec toute la garnison qui étaient de 1400 hommes et 7 pièces de canon car cétait un endroit qui nest pas fortifié car il y venait 25 mille hommes pour les défendre mais Dieu merci ils sont tous rentrés à DOUAY sans aucun accident. Il nous est arrivé Mère plus de 4000 hommes de troupe et il y en arrive au moment que je vous écris. Comme le Camp de Maulde est levé les scélérats viennent faire des patrouilles sur nos terres mais ce matin lon a fait partir les grenadiers de notre bataillon pour aller à la découverte. Chargé des munitions le Général estime notre bataillon et a beaucoup confiance en nous dont il nest pas trompé car nous sommes résolu à périr plutôt jusquau dernier que de souffir les moindre atteinte à notre liberté. Nous espérons au premier jour dêtre attaqué, mais demain lon doit mettre leau dans les fossés de la Ville et lon inondera plus dune lieue autour de la ville pour les empêcher davancer. Au reste, ils peuvent venir quand il voudront cent pièces de ccanons, les Remparts faire feu sils viennent, tous les Canonniers que nous avons sont très bons et adroits et bons patriotes et toute la garnison est résolue à mourir plutôt que de se rendre mais nous ne croyons pas quil attaqués. DOUAY ou ils ne gagneront rien. Je vous dirai que je scay faire lexercice à présent et le comandant ma fait mettre à la première. Embrasse tout le monde et noublie pas Monsieur le Curé. An Ier de la République. Parents frères & surs, par le Citoyen Joanno avocat National à Epineuil. Longue lettre de 4 p. Tâches de gras de bougie. Récit de Houlard sur la. Bataille du Siège de Douay et Bataille de Lille. VIVRE LIBRE OU MOURIR, à DOUAY LAN. Ier de la République Française. Adresse à la 1° page : 14 octobre1792, avocat national à Epineuil canton et proche Ste Foy pour remettre sil lui plait à BARDAU son métayer à Epineuil proche de Ste Foy district de LIBOURNE Dpt de la GIRONDE. A Epineuil, le Buraliste de Ste Foy est prié de faire passé la présente à son destinataire le plus tôt possible. Texte de la Lettre. Le soldat demande des nouvelles de sa famille, la sienne étant bonne et se plaint avec insistance de navoir pas reçu de réponse. « Je vous dirai chère Mère que lea semaine dernière nous avons eu le plaisri daller au feu et attaquer nos ennemis qui ne sont quà 2 petites lieues de la ville ou nous sommes. Nous pouvons les surprendre au point du jour, notre bataillon avec un autre du CALVADOS et une Compagnie de CHASSEURS de PARIS et quelques peu de Cavalerie et 6 pièces de Canon. Ce fut une fausse attaque car cela nétait que pour faciliter le levée des Camps quil y avait sous les murs de la Ville de DOUAY qui parti. Nous attaquions avec un convoi considérable de canons et autre Artillerie de Guerre et une grande Quantité de munitions de toutes espèces et afin que lennemi ne les attaque pas dans leur route, le camp est allé campé.. À 4 lieues de LILLE. Nous fumes les attaquer jusque dans leur corps de garde, en arrivant nous tirames que quelques coup de fusil sans que lennemi réponde ny se fasse voir nos canonniers TIRENT QUELQUES COUPS DE CANON AU TRAVERS DE LEURS CORPS DE GARDE OU LE FEU Y PRIT SUR LE CHAMPS QUI LE REDUISIT EN CENDRE ; Pour lors lennemi nous tira dessus en fuyant au travers des bois comme ils ont coutume de le faire. Nous les avons poursuivy (détéré) part dans leau et la boue jusquaux genoux mais quoique cela bien content nous navons pas laisé que de leurs tué du monde et des chevaux, que nos canonniers faisaient sauter en lair à coups de boulets de canons. Nous avons ramassé deux de leurs soldats que nous avons transporté dans une maison pour le faire soigné et leur prouver que lHumanité règne dans le cur des hommes libres qui ne combattent que pour le Droit Sacré de lHomme et leurs liberté et légalité.. Ces hordes desclaves enchainés qui combattent sous le joug despotique du Tyrans qui leurs ont promis le pillage de la France entière quils aurait à.. Paris à leurs plaisir mais ils se sont tropés dans leurs espérances car ils voyaient.. Quelles sont vaines car ont lui a déjà pris plusieurs villes dans lAllemagne et la Savoye entière est à nous ; il ny a plus que du côté ou nous sommes quil ont fait et font encore des ravages affreux dont les barbares les plus cruelles. Auraient rougi de faire. LILLE surtout quils ont assiégé pendant huit jours et autant de nuits ils lont bombardée et tiré à boulet rouge sans discontinuer. Ces barbares ont brûlé 5cent maisons qui sont consumé en cendres et près de deux mille bien endommagées. Mais au lieu de rendre la ville comme ils lespéraient au contraire cela raffermit le courage des français car quand on leur commande de rendre ou de soutenir le siège de plus de 24 mille hommes, on leur fit réponse en Homme Libre quils pouvaient faire comme ils voudraient et quils avaient juré plutot que de se rendre et quils pouvaient. Réduire la ville en cendre quil leur resterait au moins les remparts, ces satellites ne firent pas grand mal aux remparts. Quils disaient appartenir au Roi, mais les Français firent une si belle défence et tuèrent tant de monde à lennemi quils marchait jusquà la cheville du pied dans le sang. Il leur en a couté plus de 4 mille hommes et des chevaux en quantité et des batteries de canons que lon leur a démonté. Ils furent obligé de se retirer avec la rage dans le cur et navoir pas été vainqueur et davoir perdu beaucoup de monde et nous espérons au premier jour de les chasser de dessus notre terre de Liberté quils ne sont pas digne dhabiter tous les jours. Il nous arrive des troupes en foule lon va formé une armée formidable de nos cotez. Cette semaine, il y est arrivé 3 mille hommes de la Gendarmerie Nationale de Paris avec plusieurs pièces de Canon. Ces des hommes choisy, ce sont les anciens Gardes Francaises, ces Hommes du 14 juillet 89 et du du dix août dernier et des patriotes à toutes épreuves. En passant à CAMBRAY ils ont été visité les prisons ou on leur dit quil y avait des prisonnier de la nation. Ils ont demandé leurs jugements, il y avait aussy le Commandant de la Citadelle qui avait commandé aux volontaire de faire feu sur eux ainsi que ceux Mais il dirent quil ne voulait pas tirer sur leurs frères. Et leurs ce coquin là il fit consigné les volontaires et les autres troupes afin quils ne rapportassent pas ce quil leur avait dit à leur frères et amis de Paris. Mais le lendemain il y eut un volontaire qui parvint à sortir de la Citadelle qui fut avertir les gendarmes de ceci qui eux même étaient bien étonné de ne voir aucune troupe ni volontaire dans une ville frontière. Sur le Champs il montèrent droit à la Citadelle et braquèrent leurs canons dessus, ce que voyant la sentinelle leur cria qui vive? Ils lui répondirent Gendarmerie nationale, à linstant il leur dit davancer sans rien craindre, ils entrèrent dedans la citadelle tout pelle melle et furent chercher ceux des chefs qui étaient coupables, les conduisirent sur la Place, ILS FURENT HACHES grav. Morceaux tant la colère des volontaires était grande de voir que lon avait commandé de faire feu sur les meilleurs de leurs amis, et vous pouvez être sûr de tout ce que je vous marque.. Car à LILLE, il y avait plusieurs volontaire de notre bataillon qui étaient à lHopital malade dont lhopital est brulé, lon a été obligé de sauver les malade à CAMBRAY, il ny a que trois lieux doù nous sommes. Le GENERAL CITOYEN DUMOURIEZ vient nous joindre avec. 40 000 hommes et nous espérons un quartier dhiver dans le BRABANT et les délivrer de lesclavage des tirans qui les opprime. Ils nous esperent à bras ouverts car la plupart des brabancons sont patriotes. Rien autre de nouveau pour le présent sinon que japprend dans ce moment que nous avons un détachement de notre bataillon qui est à une petite lieue de la ville, ils ont été attaqué deux fois sans cependant avoir personne de tué ainsi que dans notre attaque de la semaine dernière nous navont eu quun Camarade de blessé légèrement de notre bataillon et 3 autres des autres bataillons qui était avec nous car nous avions des Canons et lennemi nen avait pas. Rien autre de nouveau pour le présent sinon bien des choses de ma part chère mère. Bataillon du BEC DAMBEZ. Au Citoyen citoyenne MARIN. Précepteur à SAINTE FOY. Mon Cher Père, Je vous écris, (diatribe patriotique), Mon cher père soyez tranquille quar jespère que avant de quinze jours je vous enverré. À comte de ce que je dois à M. Jespère que je passerai avant de partir de Libourne quoi quon dise que nous partons le 20 de ce mois pour aller à Toulouse. Et notre commandant nous a dit quil avait reçu une lettre du Minstère que nous serionsS la GARDE DHONNEUR.. Var ous allions à Toulouse et que nous ne passerions par pour Sainte Foix alors je demanderé un Congé de trois jour que me ferons.. Il se plaint de navoir pas de nouvelles. Croyez moi pour toujours votre Cher fils Marin fils Segond Volontaire républiquins. An Second de la République. Volontaire au 12° Bataillon du Bec dAmbez. Père restant à la ROQUILLE canton de Sainte Foix. DORDOGNE Département du Bec dAmbez. In-quarto adresse et Tampon de Poitiers. Tâches de gras de bougies. Va guillotiner un Général Vendéen. Père et Mère, Bonne Santé. Je veux vous faire savoir. Ce qui se passe dans POITIE et dans la situation ou nous sommes. Je vous dirai que pour notre titre nous sommes très bien. Dieu merci aussi je souhaite que vous soyez aussie bien que moi. Je vous dirai que moi et et mon cousin Bournet et Bourdil, Lille, ete Jean jardet et Louis Monnier nous faisons la soupe ensemble mais quil est très. Je vous dirai que lon fait travailler souvent la guillotine pour raccourcir cest coquins dAristocrates. Je vous dirai que je vais GUILLOTINER. Un GENERAL qui commandait les Brigands de la Vendée. Mon cher Père je vous dirai que quand nous sommes arrivés dans POITIERS, il y avait beaucoups dAristocrates mais à présent nous les faisons. Je vous dirai quil est venu une Légion de la Vendée dans Poitié avec. Je vous dirai que tous les déserteur seront pris comme émigrés et que tous leurs biens seront confisqués au profit de la nation. Demande des nouvelles de ses amis etc il fait dire par son père que son cousin Bournet se porte bien. A la Citoyenne EYRICAUD restant au Gallineau Paroisse de la Roquille. Terrible lettre qui rapporte des Scènes de Guillotine à. Poitiers notamment dune jeune fille qui coupait les cheveux de son frère et qui criait lors daller au supplice. Guillotine dun Général Vendéen. Prise de Toulon et de la vendée. Plantation dArbres de la Liberté. Ma chère Mère et mon Frère, ge mais fait lhonneur de vous écrire cette lettre pour vous faire savoir létat de ma santé et de celles de mon frère laquelle es fort bonne grace à Dieu ainsy de souhaité que ma lettre vous donne des miennes. Je vous diray ma chère Mère que mon frère a reçu la lettre dernière laquelle gay apris que vous étiez en bonne santé. Vous mavez marqué que vous étiez fort surprise comme ge nétoit poins sur la lettre de mon frère mais ma chère Mère ne prenez point cha pour malice. Comme ge ny étoit point dans ce moment que mon frère a fait faire sa lettre cest choiy qui luy a fait oublier de maitre de compliment de ma part et gespere que vous ne mais oublierez point pour cela. Je vous dirai aussi ma chère Mère que gay suit gtrèrs bien pour ma nourriture dieu mercy et que gay nay point besoin dargent dans ces moment cuy dieu merci. Ge veut vous faire svoir un peu se passe dans POITIE. Je vous diray que quand nous sommes arrivé dans POITIE quil y avait beaucoups dISTOCRATES, mais dieu mercy nous les faisons trembler. En passant devant leurs portes quand nous sommes arrivé dans la ville il ny avait les trois quart qui navoit point de drapeaux mais pour à présent il y en a à toutes les maisons. En général ma chère Mère je vous diroy nous sommes bien occupé. Quoique la naige est dun demi pied depaisseur, il faut le faire deux voy par jour la même chose et tous les 3 ou 5 jours il nous faut monter la garde toute la nuit pour garder de cest quoquin Demigray qui sont renfermés avec beaucoups de femmes et de prêtres es de moines mais déjà tous le jours ont en tire pour les guilhotinez. Je vous dirai que le 15 Nivose (4 janvier) lon en a quillotinay dans dans un jour dont il y avait un prêtre et un brigand. Moy getoit de garde pour le mener à la Place du Pilory dont cest quon luy fait sauté teste de ces bougres. 12 (1° janvier) lon a guillotiné une malheureuse femme qui coupet le cheveux à mon brave frère à la Vandée mais quand lon a lut son jugement et faisait de crier pour se sauver mais cha luy a été impossible. Elle a guillotinée mais quand elle a eut le cout sur la guillotine elle voulez encore parler mais tout de suite le Bourreaux a fait son devoir et a pris sa tête criant Vive la République faisant tour de luy répétant encore Vive la République et notre Bataillon quy a mis tout leurs chapeaux aux haut de leurs bayonete en disant encore Vive la République §. Et le 10 nivose (30 décembre 1792) lon a guillotnay un Général de Brigands de la Vendée que lon luy a fait la même opération et cest qui purge bien la république. En plus nous avons fait un feu de joye à lhonneur de la Prise de Toulon et de la Vendée parceque la nouvelle nous font mantion que le Brigand sont tout foutus. Les Istocrates à la Lanterne et de plus que nous devons planter demain 3 arbres de la Liberté dans notre bataillon doit sassembler à 10 heures précise pour cest affaire. Gay vous diray que le Brave Général « Jesternayn » sa venue reportée avec sa Légion de Cavalerie daprès avoir cherché le brigand e la Vandée. Restent quelques mot à sa mère et son frère. PIERRE LAMOTHE Garçon Chapelier. Monsieur FAURE dans la. Grande Rue à Ste Foy Lagrande Sur Dordogne Départemnt de la Gironde. Note extérieure ; « Lettre de pierre Lamothe fanatique ». Se plaint de navoir plus de prêtre. Créatiion dun Campement à 4 lieux de Landernau. Mauvais moral des troupes qui se plaignent des tirages au sort. Sinforme de lEtat de santé. Je nai pas plustot répondu à votre lettre. Sa ne point ni par oubli ni par feneantige. Sanest que de peur de vous ennuiyer je vous dire sa ma bien fait de la painne lors que je apris que vous aitiez sans prêtre ettan privé de la messe, me je vous dire que nous somme dans la même peine. Car de ce moment que je suis arivez dans sest peis lon a commancé à ramassé le pretre et je suis privé déntadre la messe et de netoyez mon poiton qui ancore déjà besoin de tous. Le prêtre éttant renvoyez. Ils sont partit environ 200 de Brest qui est une ville de Guerre dont nous allons tout lemois. Sa nest que quatre lieues de Lendernot.. Beaucoups de mes amis sont dans Lile de Frence lorsque je le vois réjouis un peu, mais sa neest plus le même plaisir que dêtre dans notre pays, je desirere que le affere du temps cest. Affaire que je puisse au moins dans 4 ou 5 ans me rendre dans mon peys affaire de me consoller Des ainquiétudes je vous dire quà présant dans Landernot. Le fillies perde plus que le assinias ettant frontière de la Manche. Le jeunnes jeans sont tous parti. Il nous reste que 3 ou 4. Dont je suis du nombre dans la compagnie de Grenadier qui se sont dans la compagnei de Grenadier lors de la Bretagnie meyant fait venir. Et je eut le malheur de tombé au sort le Département du Finistère qui ut le notre etyant requi la moitié de quonpani de grenadie et Sapeur pour aller former un Camp (quand) à 4 lieues de Landernot qui sera de 6000 hommes qui se quandperont sur le frontierre de lenglais quoique jaime mieux aller à 4 lieues de Landernot que daller trouver la grande armée pour me battre avec les Autrichains qui népargne pas le francais. Je vous dire que la Compagnie ne cesse de sest révolté de voir qui sont sans prêtre. Quon leur prend leur classe pour faire de largent. Je ne sest pas sicest. Me tous va bien mal, je vous rpie de vouloir bien me donner un délai si sane vous fait pas de pene, je ne saurai vous en dire davantage. Soit remis au à Sainte Foi. Sud Dordognie Bec dambez. Parle de certificat de baptême non reçu, de la défense de la république du sans-culotte quil est. De CHARRETTE dont ladjoint a été guillotiné à Nantes, et sétonne que son frère ne soit pas engagé. Donne le rythme de la guillotine à 4o par jours. Indique que la Vendée est détruite et quils ont détruit femmes et enfants. Mon Cher père je Répon à la lettre que vous mavez écrit dans le moi de vantose par laquelle vous me marquet que vous jouissez deune fort bonne santé ainsi que ma frère et soeure je désire la continautation je vous ecrist celle ici pour tirer la pansion de votre.. Etst dont tout comme bien dautre qui lon receui devant moi de père de famille Je sais malheureusement ainsi que le voisin que vous nete guere pluls dans le qua de travailler. Rapport à de Romati que vous avez sur la partie du Corps mon Cher père je vous fais foir an regle le Certifiqua pour tirer ce qui vous esst deu et bien deu. Vous mavez envoyey mon estrait de bapteme le jour que je lai receu je lai perdeu. Mon cher père je vous pre de me faire passer un certificat deu Clup (sic) pour pouvoir antrer dans. La précédente lettre mon père je suis surpirs que vous mavez fait savoir ou de me faire savoir par la presante si vous avez receu.. Par la lettre que je vous ai écriste à Dain si devan artoi à lhopital vous fairai bien assuranc ede illisible. Je vous prie de me faire savoir cest qui se passe dans notre vilage ceux qui ont parti pour la défance de la république. Si vous pouvez pas tirer votre pansion par cellui la je vous enverez un autre. Je finis en vou anbrassant. Au de mon cur. Rien de nouveau à vous amrquer sinon que la vendée est détruite. Nous avons tout tué fammes et anfan au b. Nous nantandon plus parler de CHARETE. Le général de brigand, son agoin a été giliotiné à Nantes an bretagne. La guiliotine va toujourd son trinjusque quarante par jour. Jespère sou peu de temps que vous me verrez. Nous espérons cette cette quampagne que nous anporteron la victoire. Je suis surpit que mon frère Martineau na pas parti pour défandre sa patrie, que cest une si grande gloire vivre libre ou mourir, c est la divise dun vrai San Coulote. Qui vienne me joindre nous le recevrons un vrai répeubliquin. Au Sitoÿen Jan MAIRTRAIN. Canton de Foi seur Dordone. Fait à Niort le 10 Germinal lan.. De la République frans un jndivisible lan Premier de la Mort du tyran. Mon ser père ema ser mère, Je reçois la datée du 20 ventose se qui ma fai un sainsible plaisi daprandre que vous jouissez dune parfaite santé la mienne est fort bonne ela de mon frère nous parton tou deux dieu mersi asse bien. Je vous fais savoir que nous avons parti de Poitiers le premier jerminal deplus je vous fai savoir que nous tous les deux jours la garde au brigand equi il nian na deu sans sainquainte equi nous sommes 11 saintinèle qui monte tout à la fois equi je vous fais savoir il pleus de sans pieze de canons Equi avez le pleu bau retransemant qui tout autour de la ville car quatre c. Que toute la Cavalarie a parti avec nous de pleu je vous fait savoir que lon nai du. Illisible formules de politesses et affection à ses parents. Il donne des prix pour la bouteille, la farine. Volontaire au 9° Bataillon du Gers. Grande Rue à St. E Foy Département du Bec dAmbez. Mon cher Père et ma chère Mère. Je suis ont ne peut davantage surpris que vous nayez pas reçu plusieurs lettres que je vousait écrit dernièremeent lesquel je mattendais à recevoir des réponses et je ne scait à quoy attribûer ce long regard et je vous prie de ne point mimputer dingratitude toujours en toute circonstance sur mon amitié et mon attachement que je tacherait de vous conservé.. Tant QUE LE CUR ME BATTERA DANS LE CORPS Je vousenvoi cy joint un certificat de mon Bataillon à cette fin que vous puissé toucher ce que la loix accorde aux. Des déffenseurs de la Patrie ; je vous prie de ne pas me faire de réponse quaprès que vous aurez reçu une autre lettre vûe que nous sommes sur le point de partir Je finis en vous embrassant de tout. Mon cur ainsi que ma f. Et sui et serait toujours avec la sincère amitié pour la vie. Votre respectueux fils soumis J. Cachet de cire rouge. A propos de CASSAGNE. « Au cityoen Membre des amis de la République. Au Citoyen ne CASSAGNE Concierge de. OY départmenet de la Gironde à Ste Foy. Lettre dAVIS DE DECES. Jay suis de plus faché de te chargé comme Comandant la Comp(agn)ie n° 5 de vous apprendre la triste nouvelle de la mort de votre pauvre fils Cassagne qui a décédé yer au soir à lHopital de douay. Citoyen sa maladie na pas été longue il na resté à lhopital que deux jours. Je prévois mon Cher que cest un coup bien fatal pour un père et une mère qui avvoit donné tant de marque damitié a son fils dont le fils correspondait assez bien à lamitié Mais consolez vous votre fils est mort pour sa patrie et la patrie est reconnaissante. Je vais minformé des effets quil lui aporteé et je vous le faire passer. Je suis avec fraternité votre concitoyen. GALLATEAU LIEUTENANT Je vous prie de dire au citoyen Boutin que le fils ainé lieutenant se port bien. Dites bien des choses de ma part à mon parent et que je leur écrire sous peu de jours. Larmée reçu ordre de faire partir cinquante dans la Vandée, il y as party sept de chez nous dont le fils de Bouterau. Et le fils dumasselle Cabaretier et le garcon de Mon boucher et quatre autres de la 2 e Compangie. Nous atandons Russe a diné aujourdhui il nous a écrit quil mangeré la soupe le 22 à Douay. Reste de Cachet de cire rouge. Au Citoÿen Jean Bernardaux sa parroisse de ST AVIT du moirez de Ste Foÿ. Ont fait Toulon, Lyon avec la référence du massacre de 1500 hommes du Bataillon du Mont Blanc qui sétaient rendu. En garnison à Vitré. Je vous écrit cette lettre pour vous assurer de mon respect que jaÿ pour vous ainsi que pour mes frères que je leur souhaite une bonne santé, vous sauré que je me porte très bien dieu mercÿ grace a dieu je soite que la préente vous trouvent dans le meme etat. Nous avons parti de Toullon le 14 du Mois de mai nous avons le cinq du mois de juillet a vitré En brétagne nous avons arrivés a lion cinq jours après la révolte quil onteut avec le Bataillon de mon Blanc, un Bataillon Savoÿard qui cé rendu à la France. Ils se sont rendus sur la Place sans en rien scavoir, le Bourgoix de lion les on criblé a grand coup de Canon don il ÿ a zeut Quinze cens zommes de mort, quand nous y avons arrivé tout était bien tranquille. Nous sommes en garnison a Vitré en Bretagne. Nous ÿ devons rester jusquaprès lété par rapport aux Brigns pour garder la Récolte notre Régiment est à Nante dont ils se sont bien combatu ils on détruit daristocrates. Nous arons de abits blancs comme les volontaires. Bien mes compliment à tous les voinsins et vous-même que je vous embrasse du proffond de moy cur et. De me faire savoir des nouvelles du paÿs et pour voir si les récoltes sont belle. Répond au plutot possible. Je finit en vous embrassant du proffond de moy cur et suit votre très humble et tré objssant fils. Bataillon dOrléans 5° Cie. Au Citoyen Pierre MARZELLE Aubergiste à Ste Foix la Grande. Récit de BATAILLE de SAUMUR et Douay. Sinforme auprès de ses Père et mère de leur santé et du frère qui est dans la première compagnie. Vous mavez point marqué le nom du bataillon vous mavez marqué que vous aviez envoyé deux chemises pour mon.. Si devant à Douay en Flandre et un assignat de cinq livres. Je nay rien reçu jetait parti. Il y avoit Buf il a retourné au Bataillon. Je peus je vous apprend que nous nous sommes combatu avec lArmée dite Catholique. Le quinsieme du mois nous avons livré bataille dans la montagne. Nous avons repoussé la Royalle dune si vive force il se retiré à. Trois lieues dans une petite ville Le 17 nous avons liverez bataille, nous étions sur une hauteur d, nous sommes combatu pendant trois heures, le feu était si fort, lennemy voyant quil ne pouvait point nous faire débarquer, ils se sont retirés, cétait sur le 9 h du soir. Nous avons gardé notre position. Le lendemain lennemi ils ont voulu se re-venger. Nous nétions que lavant-garde, lArmée était campée. Nous avons été obligé de nous depuis. Nous avons perdu beaucoup de monde. Si nous avions été soutenu par larmée nous aurions gagné la bataille, quand elle a vu que sous commencions à nous replié. Larmée quelle était dernière nous. Il y avait une demi heure quils défilaient. Nous avons été obligé de nous replier aussi lennemy nous a chargé dune si vive force que nous avons perdu onze piesses de canon.. Se brisait Nos canont alloit comme sy le diable les avait emporté, nous avons té obligé de les abandoné , de plus nous avons presque perdu tous nos sac, de plus je vous apprant que le cinq du mois nous avont eu notre tour à DOUAY en. Nous avons chargé lenemy dune sy vive force, nous leur avons tué le montant de trois mille homme ; de plus je vous prierai de menvoyer de larent. Jai finy en vous embrassant à tout de tout mon cur. Bien mes compliement à mon oncle et ma tante. Mon adresse au quarorziesme Batalion de la Formation dorleans Cinquieme compagnie Armée de la. A la Citoyenne Louise GOULARD servante chez le Citoyen Gorin Lacabarre au Leve. Canton de Ste Foy sur Dordogne. Fais part dune blessure à la jambe. Prise de bouches à feu, assaut et prisonniers. Compliment du Commissaire de la Convention. Je mempresse de vous faire savoir des nouvelles de la Guerre (15 courant). Nous avons pris Menain Ville dEmpire. Nous lavons gagné dasseaux ou votre frère a été blessé, mais très légèrement ous les médecins ont dit peu de choses. Il est blessé à la jambe. Dun « bisquain » sans avoir fracassé sa jambe. Il ne faut pas sen affliger, cest peu de choses à ce quil ma fait savoir, car je ne lai pas vu aà cause que javais été conduit un autre blessé à lambulance et il ma fait dire décrire chez lui comme pour moi-même. Et ne connaissant que vous je vous en informe et vous en fait part vous et vos parents si vous le jugez à propos. Je vous professe que je le plains beaucoup, car nous étions bons amis tous deux. Le 27 du mois dernier , il fut pris prisonnier à la perte de LANOY mais nous le délivrameent heureusmenet un quart dheure après , mais il y perdut tout son Batain. Dailleurs il y a queque pars quil pertit sont porte-feuille.. Dont il e de lui envoyer de lartgent, mais il a perdu encore son porte-feuille avec sa reconnaissance, mais il ne peut réclamer son argent. Mais allez chez le Directeur de la Poste de Ste Foix, dites lui quil regarde bien dans quel lieux il a envoyé cet argent et prié le de vouloir bien en donner une pareille reconnoissance pour quenfin il puisse touché cet argent. Je vous assure quil en a besoin et dites au Directeur que la reconnaissance a été perdue. Votre frère est à lhopital à Lille. Je ne sais pas dans quel hopital, mais faites ladresse qui est à lhopital de Lille et il recevra de vos nouvelles avec grand plaisir. Citoyenne je me fait le plaisir de vous dire que nous entrons en marche pour COURTRAY cette nuit et demain au matin nous devons livré Bataille. À nos ennemis et jespère que nous saurons nous venger de la perte. Que nous avons eu à MENAIN hier. Lennemi a beaucoup plus perdu que nous. Je ne saurai vous dire la quantité. Leur perte mais à ma vue lenemi faut chargé dune vive force. Nous avons prie quantité de Bouche à Feu. Le feu a duré trois heures et lassaut demi heure. Nous avons fait quantité de prisonnier et pris beaucoup déquipages et munitions. Le Commissaire de la Convention nous fit son compliment et nous dit que nous méritions surtout la dignité Républicaine. Citoyenne je vous prie de faire mon compliment à Monsieur Gorin et zon épouze ainsi que ma mère et mon oncle et ma sur et mon frère et sui votre affectionné ami J. Sergent de la Beysse. Bataillon du Bec dAmbez 10. Aux citoyens Elie MONIER, Paroisse de Laroquille. Canton de Ste Foy de la Grand passant pour Libourne à Castilon seur Dordogne à Laroquille. Arrive à Poitiers ville daristocrates. Donne litinéraire de Libourne à Poitiers. Allusion à sa promise. Semble cantonner à NOTRE DAME DE POITIERS. Ma chère Mère & frère. Je vous écrit la présente pour vous faire savoir lettat de ma santé lequel est fort bonne dieu Mersy. Je souhaite que la présante vous trouve de même. Je vous fait savoir que nous omme arrivé à Potier depuy le 26 frimaire. Bien me Compliment à ma mère et à mon frère Mougnot et à ma belle seur est à mon beau frère Coquellet et à ma seur. Bien compliment à mon beau frère Beaudet et à ma soeure est à toute la maison, mes compliment aussy qua Yzabelon est à toute cet jeune fille de. Je vous aprant la Route que nous.. De Libourne à St André, de St André à Monlieu, de Monlieu à Barbezieux, de Barbezieux à Engoulême, De Engoumême à Malle, de Malle à Ruffet, de Ruffet à Couch de Couet, de Couet à Vivonne, de Vivonne à Poitiers. Chère Citoyene Jeune fille de nos endroit je vous fait savoir que le garson qui se sont enretournet il ont ete vizite par le siruzien Magort du Bataillon, quil leur a trouvet leur boutique grosse. Je vous fait savoir que nous sommes eloignez de 50 lieues du pays. Réponse tout de suite. Je suis pour la vie ton bon frère Jean Monier. Mon adresse est au 12. Bataillon du Bec dAmbez à la Dizième Conpenie, Capitaine Gorain aux Ci-devant filles Nottre dame à Poitiers. Compliment à tout nos parans et aussi aux Citoyen Ambroize et à toute la maison et à mon mettre Cadet furet et à sa femme. Bien mes Complimens à tout le citoyen et Citoyene de notre endroit. Moy Pierre Bonneau ayant fait la lettre je fait bien me compliment à Pierre Duboit et à toute la maison ainsy que toute cette jeune fille quil ont lhonneur de ma connessance. Je prie la Citoyene Izabelont de fere mon Bats est de le fere passer à ma mère. Pierre Bonneau Sergent de la Beysse. Volontaire au 12° Bataillon du bec dAmbez. Ont eu de nombreux mort sur la route par Angoulême : sont logés à Poitier dans un couvent. Demand si le père a loué un domestique pour le remplacer. Nest pas encore habillé. Mon cher père, je vous fais savoir lestat de notre santé la quelle est très bonne dieu merci. Que ma présente lettre vous trouve de même ainsi que ma sur. Je vous dire que moi et mon fraire sommes sauf, toujours camarade lit. Je vous dire mon cher père que nous avons eu bien des morts dans notre route. Cà nous a causé bien de la peine quand nous arrivames à Angoulême nous estions mouillez jusque alapau. Mon cher père je vous dire que nous sommes logé dans un Couvent , nous sommes assez bien, mais le pieu quon nous donne né pas sale. Je vous dire mon cher paire que nous ne sommes pas seur de rester lontan à Poitié car lon dit que les ennemis sont du côté du Tours , lon dit que peut être faudra que nous i alons. Vous me ferez savoir au plus taut quil vous sera possible des nouvelles dupey, vous me direz ci vous avez eu les deux paires de culottes que je vous ai lesse à Libourne et gilé de mon cousin, Je vous dirai que on nous a pas encore abilié. On vend le vin 6 sous la bouteille. Jes fai bien de complimens aux parents, amis de plus vous me faire saovir si vous avez loué un domestique. Je finis de vous embrasser de tout de tout mon cer jes suis votre fils Léonard MACERIE. Bataillon du Bec dAmbez, 7. Itinéraire de Libourne à Poitiers avec dates de marche. Mon ser père & ma ser mer. Je vous fait savoire deme nouvelles lequelle sont fort Bondieu merci. Je souhaite que la présente vous trouve de meme ainsi que mon frère et ma sur et tous ceux qui sont fort.. De moy Mons er père je vous fait savoir que nous javons partir de LIBOURNE. 29, que de là nous sommes à la Saint André, le 30 de là à MONLIEU, au 31 delà à BARBESIEU, le 32 (sic) de là à Angoullême, le 33 de là à MALLE, le 34 delà à RUFFET, le 35 de là à Corte, le 36 de là à POITIERS, le 37 ou nous sommes an garnison dieu merci à présan. Mais mon cer père je vous fait savoir que nous sommes près de lennemi mais jespère que nous les repousseron sanpene. Adieu mon cer per maser mer, je finis en vous jambresans de tout mon cur votre fis Bon républiquin pour tout la vie. Fait par moi Pierre V. Volontaire dans le 12. Du Bec danbez Companie n° 7 en Garnison à Poitiers département de la Viene. Au Citoyen Pierre GOUBIER. De Bournet Canton de Ste Foy. Itinéraire de sainte Foix à Poitiers du 7 au 16 novembre. Mon très cher père et ma trè chère mère. Je vous écris cette lettre pour vous faire parvenir létat de ma santé dons elle es très bonne dieu mercis. Je souetes que la votre soit de meme ainsi que celle de ma sur et de mon frèe quand à notre route il faut que je vous instruise. Nous avons party de Sainte Foy le 7 novembre, nous avons été.. Arrivant nous nous sommes présentés devant Lam. Pour nous faire metre en logement. Le 8nous abvons étoit à Libourne en arrivant nous nous sommes présentés au cistrict pour nous faire metre en logement jusque au nouvel ordres. Nous y avons resté un mois. Nous avons parti de Libourne le 8 décembre à midi. Nous avons étoit logé à SAINT ANDRE DE CUBZAC. Le 9 à Montieux, le 10 à Barbezieux. Le 11 à Angoulême, le 12 séjour angouleme, le 13 à mantes, le 14 à Ruffer, 15 Coue et le 16 nous avons arivé à POITIERS ou nous avons fait ce jour là 14 lieues. Et nous sommes arrivés en garnison. Je ne rien plus à vous mander de nouveau, et je finis vous embasant de tout mon cur et suis votre très humble et très obéisant fils. Matelot Jean Labayed matelot embarqué sur le Navire LE GLORIEUX. La présente soit remise au sitoyen. À lartiguedistrict de Libourne département du bec dambez, à Ste Foye. Trace de cire rouge. Mon Cher père, Je vous.. Ma santé est fort bonne, je vous apprend que nous avons été attaqué par une frégate Angleze mais nous avons été la vaincre , nous avons été rendu à bon port de Rochefort. Mais nous allons partir de Rochefortaux premiers jours de Rochefort. Nous sommes embarqué de sur le GLORIEUX. Au Citoyen Gueilla Maitre Tailleur restant dans la Grand rüe district de Libourne Département du Bec dambez Sainte foix. Cachet de Noirmoutier et traces de cire rouge de cachet. Je vous aicrit che deux mots pour vous faire savoir letat de ma santé la quelle est fort bonne dieu mersit. Et je soite que la votre se trouve dans la meme disposition. Je vous avoit promit de vous faire savoir la PRISE DE NOIRMOUTIER ; si to nous lavont prise si to jay mit la plume a la mins pour vous le faire savoirdonc que che tune ville trez considérable. Nous avons pirt 40 pièces de canon nous navont pas perdut grand monde nous leur avons prit toute leur guarnison, nous lezavons tous fugillet anviron 15 sans homme Je ney rien plus à vous ma rquer pour le présan. Mais Correspond vers le 23/30 mars. Soldat chez PIERRE HUGUES Marchand Chapelier sur le pond à LANDERNEAU. Département du Finistère, Basse Bretagnie. Mon adresse est ces Monsieur. Au moment ou je vous écrit le canon ronfle dans la compagnie à unne lieu de Landernau. La Révolte et que du faire partire des Compagnies pour aller aux frontières. Ils se sont rassemblé 6 à 7 paroisses et se sont soutenus pour ne poin partir. Lon est obligé denvoyer 400 hommes avec 3 pièces de canon de Brest et il nianat au moins 20 qui nous menasse dememe en disant qui nnon plus de Roi ni de pretre et qui sont metre qui nobeiron jamis quo Roy. Voyez dans quel etat nos somme sil ne fodre pa mieu ettre a Sainte Foy au moins pour quelque sactis factions que je né pas ici me jespère quil ne passera pas lété sans que jaille passer 8 jours. Mon dessain et di aller dans le Batimant que mon coujin aura sarjé et dautan que jira à Bergerac, il désargera. Ce de temps jaurai le plaisir de passer quelque jour dans mon pays que je regrette temps. Je vous prie de me marque si le Blé es ser et le grain. Le blé vot cest nous 13 à. LILE DE LA MONTAGNE. DAmbez à lIsle de la Montagne à Noirmoutier. Sa Femme la Citoyenne CHEVRIER travaillant à la fabrique du tabac à sinte foix district de Llibourne departement du Bec dAmbez. Sinte Fois sur Dordogne. Jey relut ta letre datée du 22 frimaire dont elle ma prant que tu jouis dune bonne santé. Sella ma fait tun sensible plaisir. Voicit la Vandée biento finie. Il faut espérer que tu jouira de ma présanse et moy de la tienne. Tu ma prant que tu est ensinte dieux veüille te donner une. Je tanvois dedant la letre. Tu faira bien des complimant à ton paire et ta sur. Si tu vas à tonent noblie pa le contrat de mariage dont mon paire me la marque sur une laitre pour bien dez choses que je lui avait demandé. Je te prie de faire bien des compliemnt à la maitrese de la maison ou tu reste et à tous seux de la fabrique. En tanbrasant du profon de moncoeur et suit pour la vie ton tandre Epoux. Reponse de sujite à mon adresse. En annexe à la suite. Nous avons entré dans lile sans tirer aucun cou p de fusil excepté en débarquant nous avons 100 hommes de mort ou blessés. Tous ceux que nous rencontrons nous les fusillons tous, leur Général en Cher nommé. Et un Commandant de place et beaucoup dautres. Nombre est porté à 14 san hommes et nous avons eu notre Général de Blessé. Sans perdre courage il criait vive la république. Je mempresse de vous écrire la présente pour minformer de letat de votre santé et pour vous faire conaitre par ma letre que je jouis dune parfaite santé. Je désiere le la lettrevous trouve en bonne santé comme Je vous dirais que nous sommes dans Noirmoutier depuis environ 8 jours. Nous navons pas perdu beaucoup de monde mais les brigands ne peuvent pas en dire de même car ils en ont beaucoup perdu. Lon en a pour le Moins fusillé près de 2000 hommes. Nous espérons que la Vendée sera bientôt finie car Charrette na plus que 5000 Hommes. A Guillaume VILAUD Chapelier. Note en marge « Jne Villaud nest plus en service ». (Réformé après le Siège de Grenoble). Mon cher pere je vous écris ces deux mot de lettre pour vous assurer de me respect de même quà ma chere mère. Et à ma Sur. Je soite que la prézente vous trouve tous an bonne santé et an meme tanp pour vous dire que je sor de lhopital à GRENOBLE ou je sui étée obligé de me rendre après avoir été blessé au SIEGE DE LA GUILIOTINE faux bourg de de ville afranchi Sidevan lyon armée des bois de. Sortan de lhopital je me sui rendu à VIF canton de Geneavois près Grenoble pour travailler de mont Etat de MENUIZIER. Suivant le peu de force que jay étan convalesant. Jespere et j que un peire et une mere noblieron jamais un fils qui se conduit toujours en frai Républiquein et qui est devoué au soutien de sa patrie. Je suisettonée de sein lettre que je vous ay écris de navoir resus aucune reponse. Je ne sai si me laitres se sont perdu ou si il ia quelque Extraordinaire.. Sitot la prézente resu que vous voudrez bien me faire réponse je dirai que jay mon CONGE ABSOLU signé du Général bois de Cransi. Le Siège a diré 55 jours sent cesser de nous batre et nous avons antré trihonfan dans la ville car nous navons perdu de notre batailion que seinquante sein hommes et le Comendan et une 20ne de blessés. Et lon ne sesse de punir le Rebelle. Je sui an atendan votre tès humble et très obéissen Serviteur. Mon adresse est chez le Citoyen Garsaud menuisier à VKIF Cantan de Genevrais dixtrict de grenoble , département de lizere. Au citoyen VALET de Labrande. Canton de Ste foy district de Libourne, départrement du µBec dambez à Ste foy. Pour remettre sil lui plait au Citoyen Pol du Ronziez Metayer de la Cytoyenne Vervieux a Pol. Mon cher pere et chere mere. Je vous écrit une segonde lettre sans avoir eut la satisfaction dan recevoir de votre dont sca minquiete beaucoup de ne point recevoir de vo nouvelle mais jespere que dans la suite vous mecrirez très souvant. Je vous apprendray que jay été malade. Une grande fièvre de rume et jay resté 17 jours a lopital et jean vient de sortir bien portant. Car pour le présent je jouy dune parfaite santé et je soite que ma lettre vous trouve à tous dans la meme disposition je vous diray que nous sommes abillez mais nous navons pas reçu tout léquipement. Et jay vendu les aby que jai apporté de chez nous. La veste 11 c. Monte se que jen ay tirez.. Pour mon gilet je me le fait garder. Nous avons 1 c1/2 de pain par jour à chacun est donné livre de viande ma paye est de 10 c par jour. Il y a prty dicy de notre Bataillon 36 hommes pour chaque Compagnie quy vont ramasser le reste de Brigands qui sont dans le Bois il y party aussy avec luy un détachement de Cavalerie de la Légion du Nord. Pour moy je nay pas été désignez pour partir mais jespère que Bientôt nous suivront nos Camarades pour y moissonner de chers lauriers et marcher dans le. Chemain de la victoire. Je ne rien quy soit vous racontez. Donnez mmoy de vos nouvelles sytot la présente reçue car il me tarde bien dan savoir. Bien de compliment à mon frère et sur et à mon grand père et à mon oncle et cousin de la brande. Faites leur bien mes. Compliments à tous vous feray bien me compliment à monquairelle et à me cousin icy tout est cher ET LA GUILOTINE va A GRAND TRAIN. A dieu chers pere et chere mere je finis en vous embrassante du profond de mon Cur et.. Votre bon fils Jean Penisson. Quand vous mecriray vous feray ladresse comme icy dessus au citoyen Jean penisson vollontaire au 12me Bataillon du Bec Dambez de la Compagnie n° 7 en Garnison à Poitiers. Je vous envoy trois billet sde dix sols dans la lettre qui fait 30 sols parce quils ne. Vous marqueray ce quil y a de nouveaux au pays et sy les jeunes gens de Bergerac. Je vous prie e dire la chose la plus tendre de ma part au citoyen Valet et à sa femme et que je len désore une parfaite tante. De Pierre Augeraux Jeune. Que la présente soit rendu à la Citoyenne veuve AUGERAUX de Galienaux, Parroisse de la Roquille, Canton de Ste foy sur Dordogne passant par Libourne. Vous adresserez votre lettre au 12 Bataillon de Becdembez premiere au Capitaine. Ma très chere mère et mes très chèrs frères ma très chère seur je vous fait scavoir de mes nouvelles. Je suis en bonne santé dieu mercy. Je vous diray que mon frère a parti avec so détachement mais jay pas eut de nouvelles depuis quil est parti mais cependant dautres ont écrit quils sont logés dans des vilages quil sont tèrs bien et que tout leur Camarades sont bien fiers de ce quil mest fait croire que lui est en Bonne Santé aussi. Et Louis Monier mon Camarade a parti aussi avec le détachement et mois jétais malade quand ils ont parti autrement jauroit parti avec eux je vus que le vin se vend cinq sol la bouteille elle nest pas plus grande que sopine et la viande est fort chère si lon en veut manger maix cependant avec le pain quon nous donne et la viande nous vivons Bien dieu mercy. Je vous dirai que la GUILLOTINE a travaillé depuis que nous y sommes en Garnison, pour le présent je nai pas dautre nouvelle à vous apprendre. Vous fiarez bien mes complliment à ma tante Margerite Augeraux et à ma tante. Manieux à mon cousin Pierre a ma Cousine Conquiande et à toute la famille à mon onclte. À ma tante sa femme je vous prie de me faire savoir qsi vous avez reçu des nouvelles de mon Cousin Jeazn Serre. Bien de compliment à tous mes voisins et voisine qui sinformeront de moi. Je suis votre très cher fils Pierre Augeraux Jeune0 Machère mère faite moi scavoir si mon frère est toujours chez le Citoyen. Faite moi savoir combien le vin se fend à Ste Foy. Vous prie de me faire savoir de vos nouvelles le plutot quil vous. Possible et de mes faire se qui se passe. Je vous envoie trois billets de cinq sol qui font quinze sol que je ne peux pas les faire passer, personne ne le veut. Au Citoyen BLANCHARD Paroisse de Ligut. À Saint marchais en passant par potier et Libourne et à Sainte. Soit poste restante à Sainte foix. Mon père et ma mère et à ma belle sur et à mes deux frères, je vous écris cette lettres pour vous faire savoir létat de ma santé laquelle est fort bonne dieu merci. Je soite que la présente vous trouve de meme mon très cher père je vous fait savoir que je suis été bien malade, et que le SEURGIEN ma sauvé la vie. Et quil ma couté trante s. Par jours mon très cher père je vous remercie beaucoup de largent que vous mavez envoyez mon très cher père je vous fait savoir que le vin nous coute trente sous la Boutaillier appresant mon très cher père je vous fait savoir que pour blanchir une chemise il nous coute dix s. Mon très cher père je vous fait savoir que nous avont 20 sol 5 s. Pour les 50 jours. Et aussi des chouts pour faire notre cuisine cest 2 sol 5. Mon père je vous fait savoir que si nous navont pas dautre argent que selui la nous serons mal mmon très cher pere den dire à mon frère quadet que je lui fait bien mes compliments et que je lui prie de menvoyer de largent. Mon très cher frère est bien heureux de nêtre point au service que la garder nous quil nous faut monter la garde tous les 4 ou 5 jours. Je fait bien mes complimants à notre citoyen Blanchard et à sa fille et que je lui désire beaucoup de santé à tous et que je fait bien mes compliment aussi à son Metayer Jean louis et à la veuve. Et je fait bien mon compliment à Pierre Martaut et à tous ses gens et à Pierre Arnaudant et à tous ces gens mon très cher père prier de dire à Pierre Martaut que quant il écrirat à sont fils de lui dire que je lui fait bien mes compliments et de lui dire que je ne suis qua quatre lieues de la Vendée et je crois très cher père que nous resteront.. Mon très cher père je vous prie que si vous menvoyiezde largent de quacheter bien la lettre mon très cher père je nait sais pas sil vous mavez envoyé de largent dans la lettre que vous mavez envoyiez, mais je nait pas vu. Mon très cher père je me plaint beaucoups de vous de la lettre que vous mavez envoyiez quil niat seulemnt que des compliment que vous mecrivez. Se quil se passe dans landroit. Mon père je vous est marque sur la lettreque jétais bien malade mais a prèsent sa va mieut dieu merci. Mont très cher pere je vous fait savoir que en étant à Libourne JE ME SUIS FAIT UNE METRESSE, sa fait onete fillie. Je vous fait savoir que si vous voulez que je marie avec elle dans la maison quant-goroit fini mon temps je eut de ses nouvelles 5 ou 6 fois depuis que je partis. Mon très cher père je nai p. Léonard MALERIE au sitoyen Pierre MALERIE. Je vous est cri cete letre pour vous faire savoir letat de ma santé laquelle est tre bonne dieu Mer cy et vous trouve de même ainsi qua ma seur. De mon frère je vous vous direr quil est parti il y a 15 jours de Poitier. Je nai pas lu de ses nouvelles de Poitiers depuis ce tan là. Je vous dirai que jai apris quil a été 3 ou 4 fois en Bataille. Je ne sais pas sil est mort. Je vous dirai que nous autres somme aussi à la barbe de lennemi quar je vous dirai quil ne son veu le 2. Moi que 5 quar de lieu de la ville de Partehe dans la ville nou nous sommes je vous dirai que nous faisons toutes les nuits la patrouille à une lieue Nous espérons que les Brigands seront défait car il manque de tout. Se voyant donc perdu il se sont égaré de par et dautre. Je vous dirai mon cher père que nous sommes dans la ville de Partené. Je vous dirai que le Brigand y ont esté 5 foismais il ne sont pas.. Nous y sommes 3 Mille. Je vous dirai que le vin se vend 10 s. Le pain quon nous donne. Que la présente soit rendue au Citoyen Jean Martien de Bournet Paroisse pinlhiel canton de ste Foy passant par Libourne de Ste Foy sur Dordogne. Mon très cher Père et ma très chere mère. Je vous écri cette letre pour minformer de votre santé. Car à légarde de la mienne. De mon frère elle est fort bonne dieu mercy. Que jai été à lhopital, jy ai demeuré 11 jours. Mais à présent ca va bien aussi vous ferez bien des compliemnet à lhomme Laye et à sa femme et à son fils ainsi vous ferai bien des compliment à tous mes oncle et tente cousain et cousine et voisain et voisines et à tous ceux qui sainformerons de nous. Mon très cher père je vous dirai quil. A parti plus de la moitié de notre Bataillon pour aller à la Vendée et moyo si mon frère navait pas été malade jaurai bien parti aussi mais je nai pas partiencore mais nous natendont rien que le moment pour aller les joindre. Et je vous dire quil est parti aucun de la Compagnie de Grenadiers. Mon très cher Père je vous de me faire savoir comme vous etes pour le vire car ous sommes assez bien. Je vous dirai que Galinaux arrivé. Jour après que je receu ma lettre. En arrivant il a été en preison pendant 3 jourset après sa il a parti pour aller à la Vendée. Je vous faict savoir que mon Capitaine. Merinian a parti Je vous fait cavoir que je receu les 10 sols que vous mavez envoyé et je vous faict cavoir que Pierre de Foncalade est mor à lospital et je vous dirai que les deux Roufade, le plus vieuxsont bien malades à lospital et le plus jeune a parti. Rien autre chose de nouveau pour le présen ausitot la présente reeue je vous prie de mai faire cavoir de vos nouvelles tout de suite et de nou faire savoir ce qui se passe au pays Et si la Récolte sera jolie. En vous embrassant de tous mon cur je suis votre fils Jean Martient Grenadier au douzième Bataillon du Bec dambez. Desmarie Capitaine des Grenadier. Mon très cher père vous me demandez si je vois mon frère bien souvent. Je le voy tous les jour et nous beuvons souvent boutiele ensemble. De Pierre CONSEIL paroisse au citoyen Pierre Conseil de Lartigue canton de Ste foy district de lybourne département du bec dAmbez à Ste Foy sur Dordogne. Mon très cher père et ma très chère mère. Cest avec le plus grand plaisir je vien de recevoir votre lettre par laquelle japran que vous jouissez dune parfaite santé dont je vous en soite la continuation. Pour quand à la mienne va bien dieu mercy , je soite que ma letre vous trouve de meme. Cher pere et chere mère je voy bien que je ne suis pas en assez bon souvenir par laquelle vous vous trouvez à menvoyer ce que je vous demande. Je viens de recevoir. Dans la lettre que vous maovit envoyé dont je vous en remercie bien, car jen avoit bien besoins et sy vous pouvait men envoyer quelque peu dargant le plutot possible vous obligerez bien votre cher fils. Car nous alons au premier jour entrer en campagne et nous mesurer avec le Brigant. Le temps me presse je ne peu vous maquer rien de nouveau. Réponse de suite et vous me marquerez sy vous avez reçu se que javoit à Libourne. Mes Compliment à ma sur et baufrere et à mes neuveux et à ceux quy sinformeront de moy. Adieu cher père et mère. En vous embrassant du profond de mon Cur et suit pour la vie votre bon fils Pierre Conseil. Au Citoyen Pierre BOURNET, Tonnelier de. Bournet Canton de Ste foy District de Libourne. Je vous écris cette lettre pour vous assurer de lEtat de ma santé dont elle est assez bonne dieu merci. Je soiiete que ma lettre vous trouve de même. Mais mon cher père mon plus Gran Mal au Coeurcé de mon pauvre frère qui est mort à lopital, et moi-même je lé Gouverné quil avoit étoit à la Vandée. Ils ont été à la chasse au Brigand, lon na tuéune vaintaine. Il a tombés malades tout de suiteà Bersuir et Jolibois lui a pris une chemise bien bonne. Votre très obéissant fils Joseph Bournet. Vous ferez plus écrire vos lettre par celui qui le fait car mé camarade ne le peuve pas lire. Mon adresse est au Citoyen J. Bournet Companies n° 6 an Garnison à Potier départeman de la Viene. Vous feroit bien me complimant à mon parin et à toute sa maison et atout nos bon voisins qui sinformront de mois. Si la lettre né bien propre sé que nous la fésons sur un lit. LILLE DE LA MONTAGNE. Volontaire au 10° Bon du Bec dambez. Citoyenne Veuve Carris Femme Sage. Je nauroi pas temps tardé à vous faire réponse mais comme vous pouvez croire jay voullu atendre etre arrivé au Bataillon dont jy suis. Dieu mercy à présent en bonne santé. Je désire de tout mon cur que la vôtre soit égale. Vous me parlé daller en semestre à Ste foy. Il ny faut pas conté. Mais peut-être vous pourriez fort bien my voir soux peu de jours parce que je crois que le Bataillon pa partir pour Aller vers LA FRONTIERE DEspagne et dans ce cas nous naurions pas dautre route à prendre que celle là ce que je désire. Jay reçu la lettre avec les Six Livres que vous mavez envoyé qui mon bien servi comme vous pouvez croire. Je vous Envoy en récompance un CertificatDattestation à mon Corps par le moyen duquel il ne vous sera pas diffcile davoir une pension comme accorde la Loix aux Veuves des enfants qui sont au Service. Rien plus à vous dire que vous bien porter finissant en vous embrassant aisi que ma sur. Jean Carri votre bon fils. Faites moy réponce au Citoyen Jean Carris Vollontaire au 10. Bataillon du Bec Dembez compagnie Picard n° 2 En garnison à Lille de la Montagne. Au Citoyen Yzaac Regner de Pinault. À Ste Foy sur Dordogne district de Libourne départ du Bec dambez. Mon cher père je vous écri ces deux mots pour vous fere savoir létat de ma santé laquelle est fort bonne dieu merci je souete que la votre soit égale à la miene. Je vous diré que jai été à MIREBAU, jai resté 5 jours. Nous avons arrivé hier et nous aprtons demain pour aller à NIOR ; Il sy doit rassembler là. Quatre vingt mille hommes. Je né pas pu vous fere réponse comme jété àlé à MIREBAU. Vous me dites que sé Piere de Fonsalade quil avec marqué que jété mort, mé dieu merci sela né pas et cé lui-même quil est mort ; vous me demandé des nouvelles de Vinsen Gardinie mé je ne sé ou il est, il a parti dans le premier détachement. Jean Galino et estoné de se que je ne lui ai pas fait réponse. La letre quil lui a écri mes il le prie de ne lui point écrire jusquàdune autre letre et il leur écrira à son arrivée à Niort. Compliments à ma mère et à mé oncle tante cousein cousine voisin et voisine et à tout ceux sui sinformeron de moiii. Jai finit en vous enbrasan de tout mon Cur. Vous ne me faites pas réponse jusque à se que je vous écrire. De Jean FRETILLIERE au Citoyen FRETILLIERE restant à Saint Marthial Canton de Ste Foy. Je vous écris ces deux lignes pour scavoir létat de votre santé ainsi que celle de ma mè_re et mon frère. Je souhaite quelle soit semblable à la mienne car je me porte bien dieu merci. Je vous dirai que nous sommes cantonnés dans village quil ny a que 8 maisons. Cest pourquoi nous sommes tous mal logés. Nous sommes tous couchés dans la paille et tous les 2 jours nous bivouaquons. Si nous sommes si fatigué. De servir cest le try de notre Bravoure. Car vu de nos détachements la semaine dernière tua 700 brigands et le seul reproche quon avait à nous faire cétait le trop de Courage et de discipline. Il y a quelque poste dun peu dangereux, le 12° Bataillon du Bec dAmbez nest pas oublié dieu mercy. Nous avons tous demandé à nous mesurer non forcé avec les Brigands. Nos officiers nous ont promis que si le poste que nous occupions viennenet moins dangereux on nous le laissera tailler en piesse. Le 6 du courant Cantelau, Galinau, Jean Monier le Tailleur et moi votre fils nous some dans un village éloigné dici une demi lieue pour acheter des ufs. A notre retour et en passant dans un bois , 8 hommes sapprochenet de nous et nous disent quils étaient Royaliste, et que nous étions Républicains et nous dirent que nous étions pris et que nous devions les suivre. Deux dentre eux avaient des sabres et les autres navaient aucune espèce darme Nous commençames alors à désarmer les deux derniers et après les avoir désarmé nous les tuames tous excepté un qui séchappe après avoir reçu un coup de sabre sur la main droite et les autres sept restèrent sur place. Ils avaient tous des chapelets et des rubans blancs et jaunes devant eux. A notre arrivée notre lieutenant Fruger nous paya du vin autant que nous en voulions et nous beuvions à sa santé. En réponse à votre lettre du 25 ventose je dirai que le Lieutenant Fruger ma chargé de vous dire quil a écrit 3 lettres à son père depuis notre départ. De Poitier , une à Bressuire, lautre à Douai et lautre étant à Thouar, et quil est surpris que ses parants soit étonné de ne pas savoir de ses nouvelles tandisquil quil na plus de chez lui depuis le 20 pluviose. Martinau était à lHopital de Thouars ou la évacué le lieutenant. Je ne sais pas ou il est cependant dans un autre hopital. Je né pas reçu les 25 s. Que son oncle lui avait envoyé. Depuy etmaintenant à Niort avec le Bataillon. Je vous prie mon cher père de menvoyer de largent car jan ait un grand besoin. En marge de la 1. Page : Fruger notre lieutenant a tiré un brigand dun coup de sabre étant à Bresssuire. Je voulai le lui couper les oreilles pour les envoyer au pays, mais je nen ai pas eu le temps. De LUQUET à Marie MARTY Veuve de Jean LUQUET. Ma tre sere mère. Je vous écrit cette let pour vous fere savoir de mé nouvelles épour vous assurer de létat de ma santé grase à dieu je me suit toujours bien porté jusque à présent ; ma sere mère je vous fait bien me compliments, je désir que votre santé soit aussi bonne que la mienne. Vous verez bien mes complimens à mon frère et à ma seur ainsi qua mon bau frère et belle seur ainsi que mé parant. Prainsipaleman à ceux quils sainformeron de moi et de ma santé. Vous feré bien me compliman au scitoyen Jean Quarit et à toute la maison, ma sere mère je vous prie de mexcuser si jai tan tardé àvous écrire, je né pas pus an faire davantage depuis que nous sommes parti de Poitiers. Bien fatigué pour la marche à présant nous sommes dans un village sur la frontière de Lavandée. Nous somme presque tous les jours de garde. Il y aura biento Deux mois que je né pas. Nous scouchon seur la pailles. Nous avon rancontrer le premier batalion de la Gironde à Doux Angou ou jé veu tous mes camarades. Le citoyen Foudis et Legardinier de Brian. Et le pai sont quil sont tous ean bonne santé, ils font tous bien des Compliments à leur père et mère. La Vandée sera bientôt finie. Le quapitaine Sarle Commandan un détaseman , il sé batut avec le brigand dont ils ont bien froté. Le Brigan, il ma resté 3 cous sur la place ; ils son à présant dans un assaut on leur a prit tout ce quil aviat on leur a brulé leur moulin avan quil.. Jespère que cela sera bientôt fini ou nous iront du coté de lEspagne. Je né encore recut ancore quune lettre de vous. Cepandan je vous en né anvoyé trois. PIERRE MARCELON à Mathieu Marcelon et Margte DUBOIS. De Pierre Volontaire au 1er Bataillon du Bec dAmbez. Mon cher père et mère. Je vous écrit ces deux lignes pour répondre à la votre datée du 14 pluviose dont elle maprend que vous jouissé tous dune parfaite santé dont je vous en soite la continuation tant que moy je me porte bien dieu merci. Je soite que la présente vous trouve de meme. Mon père je relis vos deux letres en date du quatorze pluviose lautre deu cinq ventoseje vous envoie le présent certificas pour que vous puissie toucher la pension que la Nation accorde aux père et mère qui ont des enfants. Vous ferez bien des compliments à tous mnos parents é amis sans oublié votre Secrétire dont je né pas lhonneur de le conaitre ainsi que le Citoyen de Baris. De JEAN MARGILLIER au CITOYEN Bernard MARGILLIER. Tourneur de Ste Foy district de Libourne. Ma chère mère, mon Cher frère ma sere Sur. Je vous écris celle cy pour vous faire savoir leta de ma sanctér don elle été fort bonne dieu mercis. Je souetes que la votre soit de même. Je vous diré que notre Bataillion est parti il y a vain jour pour aller à Niort. Et mois je me suis trouvé la GALE. Il ma falut rester à Poitier à lopital pour la faire passer. Et à présent je suis bien guéris et je suis au Dépôt. Et nous devons partir le vendredi de ce mois. Je vous dirai que jai trouvé un camarade. Aui arrivé larmée de la Vandée. Je me sujis informé comment sa sse passez. Il ma dit que lon faisait bruler tout les ville qui sétoit livrée à lenemis je ne rien de plus à vous marquer pour le présent. Camarades delis, le Rousseau de Bournel et joublie de vous dire que je reste 15 jours pour la gale à lopital. Je finis ma chre mère et mon chere frère et ma sur en vous embrassant de tout mon Cur et suis votre très humble et très obéisan fils et frère. Citot que je serait arrivés au Batallion je te écriroit out dessuites et situs pouvoit manvoyé quelque sos tu me feroit beaucoup de plaisir car je né plus le sous et tu me feras pas response comme tu vois que nous allon partir. De Antoine GOUBIER au Citoyen JOLIBOIS. De BOURNET Canton de Sainte foy. Mon cher père et vous ma chère mère je vous écrit cete letre pour vous faire savoir letat de ma santé lauqelle est fort bonne dieu mersy. Je soite que la présente vous trouve de même quand à moy. Je me porte bien. Je vous fait savoir que nous sommes bien, nous avont du Pien tant que nous en voulont et du vin mé il est bien sert je vot 10 sol la bouteille et je c roit que nous autre nous somes mieux que vous autre pour le vire mé nous somme bien fatigé pour monter la garde nous somme de garde tout le deux jours au Biva (c)t, il nous fait coucher sur la terre et à la belle étoille Nous atandont le Brigant tout le jour mé je crois quil ne viendront pas de ce cot ou nous somme. Je vous fait savoirt que le détasement qui est à Partenay, il a eu la déroute. Le p rmeier détachement de notre batalion que le Capitaine Sarle, le commandant Le Notre était mile hommes et le Brigant était. Mé je ne set pas le nombre quil y a de mort de notre coté ni du cotet de Brigant et je vous fait savoir que notre détachement ou je sui nous navont pas eut de défaillance jusque ici dieu mersit mé nous sommes toujours bien fiert. Je vous fait savoirt que nous avont des mort à lopital à Poitiers, Pierre de Laiet et Pierre de Fonsalade et Pierre de Boussade et jétat en détachement une foi du cotet de Bressuire que je pris un habit de Brigand que je le veandait. Je finit pour sète fois a vous apprendre quelque chose de nouveau vous me faire réponse au pleuto possible, vous me faire savoirt se qui se passe dans leandroit, je finis en vous de tou mon cur à vous mon Père et à vous ma mère et à mon frère et à ma sur vous faites bien mes compliment à ma tante et à mon oncle et à mes cousins et à ma cousineet à tout mes voisins et à tout ceux qui sienformeront de moy. Je finis mon cher père en vous en. De tout mon cur. Antoine GOUBIER 2 fois. Mon adresse est au Citoyen Antoine Goubier volontere dans le douzième Bataillon de Bec dambez au segent de lassement du capitaine Merina à Thouare département. Jolibois je fait la lettre de votre fils, fait par moi jean Gireaudeau je vous fait bien de compliment et à tous je ovus prie de faire bien mes compliment sé ous et vous fait avouer que je suis toujours bien fiert dieu mersi. Le brigand tous le jour, tous le jour, nous y allons le voir dans le boiset nous le trouvont et nous le trouvont et nous lui donont. Cachet rouge de Nior. Avis de Décès du Capitaine DUPUY à Citoyen Bernard MAZZELLE à. Capitaine au 12 Bataillon du Bec dAmbez. Je ni eu le plaisir de recevoir ta lettre du 22 floréal que lavant dernier courrier. Je désirais beaucoup pouvoir y répondre dune manière satisfaisante mais il nest malheureusement que trop vrai que ton frère a été tué en faxion le 6 florial à minuit ou une heure la veille de laffaire du 7. Le jeune homme méritte bien les regets quon lui prodigue, son caractère, lexactitude à faire son sservice lui attirait lamitié de tout ses camarades. Lêtre supreme a voulu en disposé, il est mort à son poste et à faire son devoir. Il nest à retretté que pour la socité. Heureux ceux qui forment savent mourir lorsquil le faut. Adieu, je suis ton frère Thre Dupuy Cpne. JOSEPH BOURNET Volontaire du Bec dAmbez au Citoyen Pierre BOURNET. Mon très cher père. Cette pour répondre à la votre dattée du 26 Prérial qui ma fait un sensible Plaisir dapprendre que vous étiez en très bonne sentée. Et chère mère, je serai bien aize de scavoir ce que ca veut dire que ma mère, ma soeure ainsi que moon beau frère il ont partagé vos sentimens, chere père je vous prend pour le mettre ainsi que ma mère. Et ne mabandonnez point je ne vous abandonnerai pas ; mon très cher père je vous prie si vous pouviez menvoyer un assigniat de cinq livre. Cet rapport que jai perdu mon sac, mon cher père je vous dirai quen à ma blessure, elle vas très bien Dieu Mercy, mais je ne suis pas encore prest à marche. Je vous dirai que tous les ancien Bataillon qui sont depuis lannée passéee à la Vendée servent tous à lArmée dEspagne et à celle du Nord. Nous espérons que notre Bataillon partira bientôt pour la fronctière mais nou ne scavons pas la destination, je vous dirai que pour la Vedée noàus espérons que çà sera bientôt fini Dieu merci ; Le Général VIMEUX général en chef de lArmée de louest établie à Niort a fait aficher depuis le 6 ce moins que tous brigands qui se rendront dans leurs foyers seront pardonnés car nous avons appris quils se rendent en grande force il y en a environ plus de Six milles qui ont mis bas les armes et quil ont reconnu leurs faute disant que cétoient les prêtres et les nobles qui les ont fair croire de ganger mais il se sont bien trompé ; cet un Décret du Comité de Salut public de la convention quelle a décrété à larmée de louest jespère que vous apprendrez bien tot la nouvelles que les Brigands se rend à force En vous embrassant merci très chère père et chère mère ainsi que ma seure et mon beau frère et suis pour la vie votre bon fils. Mon adresse Au Citoyen Joseph Bournet Volontaire au 12. Bataillon du Bec dAmbez actuellement à lhopital militaire des Blessés, Salle de la loi à Niort. Réponsse sur le Champ. Du Citoyen MAVILE Jean pour sa mère Veuve du Citoyen Pierre MAVILE. Canton de Ste Foix. Je reseu votre letre datée du 25 Prerialle dont il ma apris que vous gouisé donne bonne santé qinsi que celle de me frère mais de votre coté il ma donné bien deu sagrien dapprandre la mort de mon cer père, jai bien du regret de la mort de mon sere père, , je vous embrase de tout mon cur. Je vous écrit cette letre pour vous faire savoir létat de ma canté laquelle est forbonne dieu merci de sort e que la prégente vous trouve dans la meme disposition , ainsi que mon frère. Je vous egabrase de tout mon cur. Vous ferez bien mes compliman à la mère et au père de Jean BERARD, vous leui diré que son fils se porte bien. Et quil les embrasse de tout con cur et est surprit comme son père de lui donner part de ses nouvelles voilà la quatre letre quil lui a écrit sans avoire aucune des leurs, mé vous leur diré de lui écrire tout de suite mé cere frere. Encore une page de même genre. Demande une réponse de suite. Jean COULOMBE Bon Républiquain. Au Citoyen Pierre Coulonbe à Restaut. Danbs la paroisse de Ligeux Canton de Ste Foix. Mon Chere père et ma Chere mer et mon frère et ma soeure et mon baufrere. Je me suis fait lhonneur de vous écrire cette lettre pour vous faire savoir létat de ma santé laquelle est for bonne dieu merci. Je souete qure la présante vous trouve dans la meme disposition, mon chere père et ma chère mère, je menva vous faire le détaille de ce qui se passe dans lendroit que nous sommes. Je vous dire que nous avons beaucoup de peinte tout le jour poour aller faire de la découverte aux Brigands pour prendre leur Bettail et pour le éloigner de notre camp. Mon chere père je vous dire que le 2 de juin nous avons sorti un détacement de deux cent cinquante hommes et ving homme de Cavalerie à une lieue et demi de notre camp. Nous avons étoit ataqué par du mille brigands. Il ni avoit lavangarde de Brigand qui se sépare et devant nous nous avons foncé sur eux et nous sommes trouvé ende sut parcequil ni avoit passé dautre part parderie et les autres étoient un quar de lieu l oin au devant de nous quand ils ont entendu le il se sont avancé sur nous et nous a.. Coupé notre retraite avec la Bayonete aux aux rien mé nous avons perdu à lenviront dex cent hommes dans cet petits détacements. Le 12 de ce moy nous les avons ataqué du côté de Bersuire ménous lui avons donné une jolie déroute, nous navons tué beaucoup nous navons rien que six de blessés de notre Bataillon, mon chere père et ma chère mère, je né rien plus de nouveau à vous marquer pour le présent. Vous ferai bien me complimants la présante à mon oncle de Chapelin et à toute sa maison et à ma maraine et a ma Cousine vous ferai bien mes compliment aux Citoyen Lagarde et à sa femme et à toute sa famille et asé du servante. Et vous ferez bien me compliments aux Citoyen Vignault et à sa femme et atout sa famille et aux citoyen Pierre Humeaux et sa femme at oute sa famille et atous nos voins et voisine et atous ceux qui sinformeront de moy mon chere père vous me demandez si mon Cousin Gallineaux est avec que moy nous somme tout ensemble dieu marci. Mon cher frère tu fera bien de te marier. Il vaux mieu que tu passe ta jeunesse dans endroit que dans Lavandée mon cher père je vous prie de me faire passoit un asignat de ddix livre si vous pouvez me fere un sensible pésir parceeque je suis été alopitalle bien malade poendant un moy pour aprésent javai bien dieu merci je va fini en vous embrassant de tout mon cur je suis en atandant de vos nouvelles votre fidèle tout le tans de ma vie Jean Coulonbe. Mon adresse Détacement du Douzième Bataillion du Bec Dambez Compagnie. Jean Coulonbe Bon Republiquain. NIORT CAMP DE LA CHATE. De CONSEIL au Citoyen Pierre CONSEIL de. Cher Père et vous ma Chère Mère. Je vous écrit encore celle-cy que je croit que cé la quatrième que je vous envoy pour avoir et le plaisir dans recevoir ddes votres. Il est vray que votre silence me frape beaucoup et je peux vous dire que je suis fort inquiet sur votre compte de ne point savoir de vos nouvelles. Ddans ma dernière letre que je vous écrivait je vous reprochait grandement votre silence en vous disant que je croyait dêtre oublié de vous et comme je le croit encore. Cependant je ne saurait jamais crut combien de fois je vous ay demandé de largent. Dans le Grand Besoin que jen avoit et que jen ay encore que vous navez jamais dégné men envoyer ny meme répoindre à mes lettres. Sy vous avez juré de ne plus écrire et que vous mavez effacé de votre souvenir pour jamais. Je ne croirait le plus malheureux du monde. Et que cette dernière letre puisse vous attendrir le Cur et vous obliger à me donner de vos chères nouvelles. Que je seray toujourà en recevoir avec un plus grand plaisr du monde. Ayez donc égard à la vie languissante de votre fils et sy vous ne voulez pas luy écrire. Tracez luy seulement deux mots qui puisse servir à luy donner de vos nouvelles. Car il servirait pour la frontière de la tranquilité et sy vous voulez lui envoyer un peu dargent vous luy feray un sensible plaisir. Sy vous voulez bien avoir cette bonté vous nauriez quà en charger le père de mon capitaine qui de suite me le feray compter par son fils. Pour largent point de risque de le perdre. Mes compliment à mes soeur et baufrere et voisin et voisine et ceux qui sinformeront de moy. Adieu donc Cher opere et chere mere je suis en vous embrassand du profond de mon cur et seray pour la vie votre Bon fils. Au Citoyen RAGON de Martigue. Canton de Ste Foy. Je ne peux faire relire que votre lettre datée du4 messidor mé parvnu. Je viens de la recevoir avec satisfaction. Je mempresse de vous répondre et vous marque ma situation et se quy se passe à ma sortie dhopital. Je vous écrit une lettre pour vous apprendre ma sitation.. Je vous direz que depuis cest époque que ma santé a été très bonne et vous ne devez point fouz inquiéter au sujet de ma santé. Je vais vous apprendre nouvelle certaine de ce qui se passe icyet que vous ne douteray point de mon infortune. De fréquents combats que nous avons avec les brigands et qui tentent plus que jamais danéantir la liberté et je vous dirai que le 20 de ce mois nous fumes portés pour aller attaquer les Brigands aux.. À Chantelou à 6 lieux dicy. Nous étions 16cent hommes dinfanterie et 4 cent de cavalerie. Nous aprtions le 22 à minuit et nous arrivames aux proches de Chanteloup à 10 heures en arrivant nous agorgames lavant poste de Brigand. Une femme témoin de cela et quelle ne peut eêtre prise à cause du Roy courut avertir le Brigand qui étaient dans Chanteloup et qui furenet prêts bientôt à venir sur nous. Ils se mirent sur trois colonnes, deux colonnes sétaient cachez derrière la grande haie au coté du chemin, il nous était impossible à se voir et la.. Venait à nous par le chemin très étroit que nous suiviont. Quant la Colonne qui venait à par le chemain fut à 40 voir 50 pas de nous notre Cavalerie qqui était en avantsans crier qui vive il. Par prononcer le que. Les Brigands nous firent un feu terrible et notre cavalerie qui était en avant de linfanterie commenca de prendre la déroute et en fuyant foulant au pied de leurs chevaux la pauvre infanterie ne pouvant leur faire place à cause des haies qui étaient aux cotés du chemin. Dailleurs ca vint comme un éclair. Jy perdis là mon cas et le soulier que javis aux pieds afin de me sauver, notre déroute ne fut pas complète car nous nous repliames seulement quà 3 ou 4 cent pas au coin dun petit boy et nous ralliames à la vois touchante de plusieurs qui crié en prononcant ce mot. Vhers Camarades sil faut mourir mourront en Républicains. Nous nous raliames avec peine car le Brigand ne discontinuait pas à nous faire feu. Une partie de nous passa à droit et lautre à gauche et nous fimes feu sur les Brigands. Quoique les balles nous criblaient nous forcame au pas de Charge sur le Brigand et nous leur donnons la déroute, et nous entrames dans Chantelou et nous ramassament nos blessé et nous nous en revinmesce même jour à la Chategneray mon. Cest de ce jour là nous fimes 12 lieues. Nous avons perdu assez dhommes mais le Brigand en ont plus perdus que nous. Je vous dirayu que sy nous avons eu la déroute complète que peut être auquin de nous ne se seray sauver à cette affaire quà laffaire du 24 du même mois dont je me vay vous en donner détail. Le 24 du mois au matin le Brigand vint nous attaquer. Ici il était en nombre 6000. Ils arrivent sur 3 colonnes, une nous coupa la Route de FONTENAY au fait que nous eumes la déroute pour nous tailler en en pièce. Les autre deux attaquèrent sur la droite de la ville quoique sans général nous nous battimes comme des Républicains. Le Feu commenca à 7 heures sans discontinuer jusquà midy. A la fin nous leur donnons la déroute pour le renfort de 100 hommes de cavalerie qui nous arrivèrent. Le Brigand laissera bien des morts sur la place.. Que nous, mais le Brigand eureent plus de mort que nous et notre capitaine fut blessé à cette affaire dune Balle qui traversa le bras et est actuellement à Fontenay à sy faire guérir ainsy que les autres blessés. Il y en a qui parle de Bataille mais sil s. Comme sé sanglant et épouvantable il ne pourrait jamais en parlersans faire tomber des larmes des yeux. Mais auqun ne pourr.. Exprimer sil ne lavé éprouve. Il est inutile que je vous parle de cela. Vous pouvez aller à notre municipalité pour voir faire donner se quy est dû pour mon service. Jen aurait déjà besoincar jay tout perdu et ne mereste plus. La chemiseque jai sur le corps. Sy la municipalité veuille différer à vous donner se qui met du vous me le feray savoir, vous me feray savoir se qui y a de nouveaux aux pays et si vous avez sur place. BELLE ISLE EN MER. De Pierre BILLOT au 1. Bataillon du Bec dAmbez. Au républiquain BILLOT Lieutenant de LA GARDE NATIONALLE de Ste Foy District de Libourne. Belle Ille en Mer 2è Armée. Chère Père et Chère Mère. Nayant reçu aucune réponse de la lettre que jay vous est écrite en date du 15 Mésidrofaisant partie de la réponse de ce celle que jay recu en date du 25 périal dont je voyait avec plaisir que vous étiez en bonne santé je sésir que vous soyez dans la même disposition. Pour moi je suis assez bien portant depuis le.. Je suis reconnoissant de ce que vous avez fait compte de vingt cinq livres que javois prix à.. Me prouve lamittié que vous avez pour un fils qui nattand que lavantage de vous voir pour vois témoigner sa reconnoissance. Jauray cru après lordre qui nous a été donné que gaurray eut lavantage de passe aux paÿ. Puiqque il partait des parties pour larmée des Pirenées Ocsidentales. Le retard qui nous porte à cette démarche cest que lescadre anglaise et dehors et que lon craint quils ne se prtte sur cette Ille, et ce qui fait que nous nen pouvont partir dun mois lors que la mer serrat mauvaise et que l ille se garderait. Lors nous espérons tous de passer chez nous et aller cu totté dEspagne. Je nay autre chose à. Vous marquer sy on que gay vous embrasse ainssy quà ma sur et tout autre parent et amy et voissins sy vous avez action de écrire à mon oncle et tant de Bordeaux et vous pouvoit lui dire gay nay point recu le paquet que vous et lui mavoit envoyeoit. Gay suis avec tout latachement posible votre rextetée fils. Pierre Billot Bon Républiquain Pour la Vie. Boutterau se prote bien, fait ses complimants chez lui et toux ceux de Ste foy qui ne sont pas mort et se porte bien. ADIEU VICTOIRE SANTE ET LIBERTE et MORT AUX TIRRANTS ET AUX ESPAGNOLS DONT VOUS EN ET AUX FRONTIERE FORMANT LA DERNIERE GARDE. AU Citoyen Jean LAMBERT aub.. À la Fabrique du Tabac à Sainte Foy. Mon cher père et ma chère mere, Je vous écrit se du lignes pour vous faire scavoir mon arrivée à Rochefort depuis le 3 fructidor dont je suis anbonne santé. Jsoite que la présente vous trouve dans la meme dispostion Je vous diré mon cher père té ma chère mère que je suis parti de Bordeaux avec gran mal au Cur de ne pouvoir pas vous voir, mes jespere mon cher père et ma chere mere que vous fairés le pesir de me faire scavoir de vos nouvelles au si la présente randue je me suis informé pour vous faire touche une petite pansion mes on madit datandre ancore quelques jours. Je vous promet que je fairé mé diligances sito que joré le sertificat je vous lanvoie. Jean Lambert, mon adresse est ché le sytojien MANDON rue. Martroux au numéro 144. 9 Pluviose ou Ventose. Au Citoyen JEAN LUCQUET demeurant en la Paroisse de St Philipe. Prêt sainte foy la grande sur les rives de la Dordogne District de Libourne. Citoyen et Cher frerre. Je me fait lhonneur de vous écrire pour la cinquieme que je vous envoÿe, mainformant toujours de votre santé, ainsi que de votre chère Epouze et de tout ce quil peut vous appartenir de même que de mon jeune frerre et de ma sur det de tous nos parents et amis à légarde de ma santé elle est fort bonne je soujhaitte que cette présente vous trouve de même. Cest mon frerre et ma sur ce que puis vous désirer de même quà toute notre famille. Je dirai pour ouvelle que je ne suis plus sur LE VAISSAU LE CATOU, et que je suis présantement embarqué sur le VAISSEAU de la République le WATIGNY. Depuis nous virons dix semaine, je ne puis vous donner des nouvelles pour ce moment qui puisse vous interesser, sinon que je ne désire que votre amitié et vous vous priant de bien. Etienne LUCQUET votre Frère pour la vie. Mon adresse est au Citoyen Etienne Lucquet Second Tonnellier le le Vaisseau de la République le watigny en rade à Lorient Département du Morbÿan à Lorient. Je vous prie dembrasser notre bonne pour moi et ditte lui bien des choses de ma part. Et réponce sitos cette présente reçüe. Note en bas : Réformé le 23 pluviose. 13 à 03:24:26 Paris, le vendeur a ajouté les informations suivantes. Track Page Views With. Auctiva’s FREE Counter. L’item « DU BEC D’AMBEZ SAINTE FOY GIRONDE 50 LETTRES MANUSCRITES SOLDATS AN II 1793″ est en vente depuis le lundi 20 janvier 2020. Il est dans la catégorie « Livres, BD, revues\Livres anciens, de collection ». Le vendeur est « bernlecture » et est localisé à/en Blet. Cet article peut être expédié au pays suivant: France.
  • Année de publication: 1793
  • Thème: REVOLUTION
  • Sous-Thème: SOLDATS DE L’AN II
  • Particularités: 1 ère édition
  • Caractéristiques spéciales: Édition originale
  • Époque: XVIIIème
  • Sujet: TERREUR
  • Reliure: LETTRES SOUS MAROQUIN
  • Date de publication: 1792
  • Langue: Français

Du Bec D'ambez Sainte Foy Gironde 50 Lettres Manuscrites Soldats An II 1793