Rare Brevet d’invention d’un moteur à gaz déposé en 1884

Rare Brevet d'invention d'un moteur à gaz déposé en 1884
Rare Brevet d'invention d'un moteur à gaz déposé en 1884
Rare Brevet d'invention d'un moteur à gaz déposé en 1884
Rare Brevet d'invention d'un moteur à gaz déposé en 1884
Rare Brevet d'invention d'un moteur à gaz déposé en 1884
Rare Brevet d'invention d'un moteur à gaz déposé en 1884
Rare Brevet d'invention d'un moteur à gaz déposé en 1884
Rare Brevet d'invention d'un moteur à gaz déposé en 1884
Rare Brevet d'invention d'un moteur à gaz déposé en 1884
Rare Brevet d'invention d'un moteur à gaz déposé en 1884

Rare Brevet d'invention d'un moteur à gaz déposé en 1884
Brevet d’invention déposé en 1884. Moteur à gaz. (pour locomobile, voitures, tramways, embarcations légères, bateaux, navigation aérienne, machine dynamo électrique et à toute les machines agricoles). Inventeur : DELAMARE / DEBOUTTEVILLE. Tirage limité à 500 exemplaires seulement à l’occasion des 100 ans de l’automobile française. Cent Ans d’Automobile Française. Imprimerie Le Samovar, 1984. In-folio, 26 pages, 6 planches (dont 5 sont dépliantes), broché. Cet item est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Vieux papiers\Autres ». Le vendeur est « livres-divers » et est localisé dans ce pays: FR. Cet article peut être expédié au pays suivant: Monde entier.
Rare Brevet d'invention d'un moteur à gaz déposé en 1884

Les inventeurs Arsène d’Arsonval et Félix de Lalande (1883) brevet d’invention

Les inventeurs Arsène d'Arsonval et Félix de Lalande (1883) brevet d'invention
Les inventeurs Arsène d'Arsonval et Félix de Lalande (1883) brevet d'invention
Les inventeurs Arsène d'Arsonval et Félix de Lalande (1883) brevet d'invention
Les inventeurs Arsène d'Arsonval et Félix de Lalande (1883) brevet d'invention
Les inventeurs Arsène d'Arsonval et Félix de Lalande (1883) brevet d'invention

Les inventeurs Arsène d'Arsonval et Félix de Lalande (1883) brevet d'invention
Les inventeurs Arsène d’Arsonval et Félix de Lalande déposent une demande de brevet d’invention pour un relai télégraphique. Né dans le petit village limousin de La Porcherie, Arsène d’Arsonval est en 1871 étudiant à l’Ecole de médecine et de pharmacie de Limoges. A Paris où il termine ses études, il soutient sa thèse de Docteur en Médecine en 1877. Ses travaux de recherches le conduisent à s’intéresser à l’électricité et d’autres domaines comme la télégraphie sans fil puis la téléphonie. Seul ou en collaboration avec d’autres scientifiques, il brevette de nombreuses inventions comme le galvanomètre balistique ou le premier téléphone agréé. Il s’intéresse également aux recherches d’autres inventeurs. En 1883, il expérimente et commente la pile inventée par Georges Chaperon et Félix De LALANDE. C’est avec ce dernier qu’il dépose en mars 1883 une demande de brevet d’invention pour « un système de relai télégraphique ». Félix Paul Ernest de Lalande (Albi 1845 – Paris 1919) est un ingénieur et inventeur français. En 1865, il réussit le concours d’entrée à l’Ecole Polytechnique mais démissionne en 1867. Il suit alors les cours de l’Ecole des Mines de Paris de 1867 à 1870. Il y reçoit le diplôme d’ingénieur civil. Il brevette plusieurs inventions dans les domaines de la chimie et de l’électricité notamment avec d’autres scientifiques français. Ainsi, il dépose en 1871 avec son ami et maître Paul Schützenberger (1829 -1897) un brevet d’invention de quinze ans « pour des perfectionnements apportés à l’emploi de l’indigo dans l’impression et la teinture ». Cette pile est considérée aujourd’hui comme le précurseur des générateurs alcalins. Les deux inventeurs français améliorent leur innovation et brevettent de nouveau notamment aux Etats-Unis le 20 mars 1888 sous le terme de « GALVANIC BATTERY ». L’inventeur américain améliore l’innovation des deux Français et la commercialise sous l’appellation « Edison-Lalande cell ». Arsène d’Arsonval et Félix de Lalande. Dans les premières lignes du mémoire descriptif de cette demande, ils écrivent. Le présent brevet a pour but de faire connaitre un nouveau relai télégraphique particulièrement sensible, rapide et simple. S’ensuit le descriptif complet de leur invention. Ce document est rédigé et signé par l’ingénieur conseil et agent de brevets. Le dessin technique composé de neuf figures sur papier calque. La demande est validée le 7 juillet 1883 par le ministère du Commerce qui accorde aux deux inventeurs une protection de leur invention pour une durée de quinze ans. L’ensemble est composé : – De la demande de brevet d’invention avec mémoire descriptif manuscrit de cinq feuilles (dix pages). Document relié avec une cordelette rouge. Première page à en-tête du cabinet de l’ingénieur conseil et agent de brevets Albert CAHEN, signataire du document. Document présentant des auréoles d’humidité tout particulièrement sur les quatre dernières pages. Dessin technique sur feuille (591 x 441 mm) de papier calque. Document daté du 8 mars 1883 et également signé de l’ingénieur conseil. Document présentant des plis dans les sens de la longueur et la largeur. Le brevet d’invention, N° 154.180, d’une page (437 x 273 mm) sur papier à en-tête du ministère du Commerce. Document présentant plis, salissures et déchirures sur les bords. Les produits proposés à la vente sont de nature, de poids et de tailles très hétérogènes. Le paiement est considéré comme « soldé » une fois que l’argent envoyé par l’acheteur a été déposé sur le compte du vendeur. Paiement en ligne par carte bancaire. Par virement national ou international. Cet item est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Vieux papiers\Autres ». Le vendeur est « aquitaniamemoria » et est localisé dans ce pays: FR. Cet article peut être expédié aux pays suivants: États-Unis, Union européenne, Suisse, Royaume-Uni.
  • Objet modifié: Non
  • Région: Ile-de-France
  • Type: Brevet d’invention
  • Epoque: Belle Epoque
  • Pays de fabrication: France
  • Thème: Sciences

Les inventeurs Arsène d'Arsonval et Félix de Lalande (1883) brevet d'invention

Félix de Lalande (1845 1919) brevets d’invention potasse et soude caustiques

Félix de Lalande (1845 1919) brevets d'invention potasse et soude caustiques
Félix de Lalande (1845 1919) brevets d'invention potasse et soude caustiques
Félix de Lalande (1845 1919) brevets d'invention potasse et soude caustiques
Félix de Lalande (1845 1919) brevets d'invention potasse et soude caustiques
Félix de Lalande (1845 1919) brevets d'invention potasse et soude caustiques
Félix de Lalande (1845 1919) brevets d'invention potasse et soude caustiques
Félix de Lalande (1845 1919) brevets d'invention potasse et soude caustiques
Félix de Lalande (1845 1919) brevets d'invention potasse et soude caustiques
Félix de Lalande (1845 1919) brevets d'invention potasse et soude caustiques
Félix de Lalande (1845 1919) brevets d'invention potasse et soude caustiques
Félix de Lalande (1845 1919) brevets d'invention potasse et soude caustiques

Félix de Lalande (1845 1919) brevets d'invention potasse et soude caustiques
Félix Paul Ernest de Lalande (Albi 1845 – Paris 1919). En 1886 et 1887. Brevette plusieurs inventions pour produire de la potasse et de la soude caustiques. Ces deux éléments permettent le fonctionnement d’une autre de ses innovations : La pile dite. Les droits d’exploitation de cette pile sont achetés par l’américain. En 1889 et 1890. Elève au Lycée de Versailles, il obtient en 1863 le second prix de chimie du concours général des lycées de Paris. En 1865, il réussit le concours d’entrée à l’École polytechnique mais démissionne en 1867 peut-être par ce qu’il « n’a pu obtenir un service de son choix ». Il suit alors les cours de l’Ecole des Mines de Paris de 1867 à 1870. Il y reçoit le diplôme d’ingénieur civil. En 1871, il travaille au sein du laboratoire de chimie de la Sorbonne. Il y effectue des recherches sous la direction de Paul Schützenberger (1829 – 1897). Avec ce dernier, Félix de Lalande dépose en 1871 un brevet d’invention de quinze ans « pour des perfectionnements apportés à l’emploi de l’indigo dans l’impression et la teinture ». D’autres brevets d’invention et collaborations suivront. Le 25 juin 1881. Et Georges Chaperon brevettent une pile dite. Elle est considérée aujourd’hui comme le précurseur des générateurs alcalins. Elle est composée d’une plaque positive à oxyde de cuivre et la seconde négative en zinc. Toutes deux sont plongées dans une solution de potasse ou de soude caustiques. Cette pile est considérée aujourd’hui comme le précurseur des générateurs alcalins. Les deux inventeurs français améliorent leur innovation et brevettent de nouveau notamment aux Etats-Unis le 20 mars 1888 sous le terme de. L’innovation technique des deux français est un succès. L’inventeur américain améliore l’innovation des deux français et la commercialise sous l’appellation. Pour répondre aux besoins de production et de « liquides excitateurs », Félix de Lalande dépose entre le 24 février 1886 et le 28 avril 1887 quatre demandes de brevets d’invention ou de certificat d’addition dont une en Prusse. L’ensemble est constitué de 9 documents, à savoir. Demande d’un brevet d’invention pour. Un procédé de fabrication de la potasse et de la soude caustiques. Mémoire descriptif rédigé à Paris le 24 février 1886 par l’agent de brevets. Document de six pages manuscrites avec reliure cousue. Cette demande est validée le 11 juin 1886 par. Le Ministère du Commerce et de l’Industrie. Qui délivre à l’ingénieur français un brevet d’invention. Ce brevet porte le numéro 174383. Document in-folio avec salissures, plis et déchirures aux marges. Demande d’un certificat d’Addition. Au précédent brevet en date du 28 avril 1887. Mémoire descriptif de 10 pages manuscrites de l’agent des brevets Albert CAHEN. En annexe, l’inventeur joint un dessin technique sur papier calque de son « four à réverbère » où s’opère le procédé de fabrication. Le certificat d’addition est validé par le ministère et donne lieu à un brevet d’invention en date du 29 septembre 1887. Ce dernier présente des salissures, plis et déchirures aux marges. Demande d’un brevet d’invention pour « un procédé perfectionné de fabrication de la potasse et de la soude caustiques ainsi que des hydrates alcalino-terreux ». Mémoire descriptif rédigé à Paris le 28 janvier 1887 par l’agent de brevets Albert Cahen. Cette demande est validée le 11 juin 1886. Le ministère délivre à l’ingénieur français un brevet d’invention portant le numéro 181193. Cette demande de brevet est également effectuée le 21 février 1887 en Prusse avec délivrance du brevet à Berlin le 19 décembre 1887. Les produits proposés à la vente sont de nature, de poids et de tailles très hétérogènes. Le paiement est considéré comme « soldé » une fois que l’argent envoyé par l’acheteur a été déposé sur le compte du vendeur. Paiement en ligne par carte bancaire. Par virement national ou international. Cet item est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Vieux papiers\Autres ». Le vendeur est « aquitaniamemoria » et est localisé dans ce pays: FR. Cet article peut être expédié aux pays suivants: États-Unis, Union européenne, Suisse, Canada, Royaume-Uni.
  • Objet modifié: Non
  • Région: Ile-de-France
  • Type: Diplôme, Certificat
  • Epoque: Belle Epoque
  • Pays de fabrication: France
  • Thème: Sciences

Félix de Lalande (1845 1919) brevets d'invention potasse et soude caustiques

Les inventeurs Arsène d’Arsonval et Félix de Lalande (1883) brevet d’invention

Les inventeurs Arsène d'Arsonval et Félix de Lalande (1883) brevet d'invention
Les inventeurs Arsène d'Arsonval et Félix de Lalande (1883) brevet d'invention
Les inventeurs Arsène d'Arsonval et Félix de Lalande (1883) brevet d'invention
Les inventeurs Arsène d'Arsonval et Félix de Lalande (1883) brevet d'invention
Les inventeurs Arsène d'Arsonval et Félix de Lalande (1883) brevet d'invention

Les inventeurs Arsène d'Arsonval et Félix de Lalande (1883) brevet d'invention
Les inventeurs Arsène d’Arsonval et Félix de Lalande déposent une demande de brevet d’invention pour un relai télégraphique. Né dans le petit village limousin de La Porcherie, Arsène d’Arsonval est en 1871 étudiant à l’Ecole de médecine et de pharmacie de Limoges. A Paris où il termine ses études, il soutient sa thèse de Docteur en Médecine en 1877. Ses travaux de recherches le conduisent à s’intéresser à l’électricité et d’autres domaines comme la télégraphie sans fil puis la téléphonie. Seul ou en collaboration avec d’autres scientifiques, il brevette de nombreuses inventions comme le galvanomètre balistique ou le premier téléphone agréé. Il s’intéresse également aux recherches d’autres inventeurs. En 1883, il expérimente et commente la pile inventée par Georges Chaperon et Félix De LALANDE. C’est avec ce dernier qu’il dépose en mars 1883 une demande de brevet d’invention pour « un système de relai télégraphique ». Félix Paul Ernest de Lalande (Albi 1845 – Paris 1919) est un ingénieur et inventeur français. En 1865, il réussit le concours d’entrée à l’Ecole Polytechnique mais démissionne en 1867. Il suit alors les cours de l’Ecole des Mines de Paris de 1867 à 1870. Il y reçoit le diplôme d’ingénieur civil. Il brevette plusieurs inventions dans les domaines de la chimie et de l’électricité notamment avec d’autres scientifiques français. Ainsi, il dépose en 1871 avec son ami et maître Paul Schützenberger (1829 -1897) un brevet d’invention de quinze ans « pour des perfectionnements apportés à l’emploi de l’indigo dans l’impression et la teinture ». Cette pile est considérée aujourd’hui comme le précurseur des générateurs alcalins. Les deux inventeurs français améliorent leur innovation et brevettent de nouveau notamment aux Etats-Unis le 20 mars 1888 sous le terme de « GALVANIC BATTERY ». L’inventeur américain améliore l’innovation des deux Français et la commercialise sous l’appellation « Edison-Lalande cell ». Arsène d’Arsonval et Félix de Lalande. Dans les premières lignes du mémoire descriptif de cette demande, ils écrivent. Le présent brevet a pour but de faire connaitre un nouveau relai télégraphique particulièrement sensible, rapide et simple. S’ensuit le descriptif complet de leur invention. Ce document est rédigé et signé par l’ingénieur conseil et agent de brevets. Le dessin technique composé de neuf figures sur papier calque. La demande est validée le 7 juillet 1883 par le ministère du Commerce qui accorde aux deux inventeurs une protection de leur invention pour une durée de quinze ans. L’ensemble est composé : – De la demande de brevet d’invention avec mémoire descriptif manuscrit de cinq feuilles (dix pages). Document relié avec une cordelette rouge. Première page à en-tête du cabinet de l’ingénieur conseil et agent de brevets Albert CAHEN, signataire du document. Document présentant des auréoles d’humidité tout particulièrement sur les quatre dernières pages. Dessin technique sur feuille (591 x 441 mm) de papier calque. Document daté du 8 mars 1883 et également signé de l’ingénieur conseil. Document présentant des plis dans les sens de la longueur et la largeur. Le brevet d’invention, N° 154.180, d’une page (437 x 273 mm) sur papier à en-tête du ministère du Commerce. Document présentant plis, salissures et déchirures sur les bords. Les produits proposés à la vente sont de nature, de poids et de tailles très hétérogènes. Le paiement est considéré comme « soldé » une fois que l’argent envoyé par l’acheteur a été déposé sur le compte du vendeur. Paiement en ligne par carte bancaire. Par virement national ou international. Cet item est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Vieux papiers\Autres ». Le vendeur est « aquitaniamemoria » et est localisé dans ce pays: FR. Cet article peut être expédié aux pays suivants: États-Unis, Union européenne, Suisse, Royaume-Uni.
  • Objet modifié: Non
  • Région: Ile-de-France
  • Type: Brevet d’invention
  • Epoque: Belle Epoque
  • Pays de fabrication: France
  • Thème: Sciences

Les inventeurs Arsène d'Arsonval et Félix de Lalande (1883) brevet d'invention