MARIE-LOUISE, IMPERATRICE, seconde épouse de NAPOLEON 1ER. Lettre autographe, 18

MARIE-LOUISE, IMPERATRICE, seconde épouse de NAPOLEON 1ER. Lettre autographe, 18

MARIE-LOUISE, IMPERATRICE, seconde épouse de NAPOLEON 1ER. Lettre autographe, 18
Ajouter cette boutique à mes favoris. MARIE-LOUISE, IMPERATRICE, seconde épouse de NAPOLEON 1ER. Lettre autographe, 1812 (G 3459). Née à Vienne (Autriche). Impératrice des Français, seconde épouse de de Napoléon 1. « Louise » à « Mon cher Oncle! Saint Cloud , 30 novembre 1812. 3 pages 1/4 in-12. Belle et longue lettre à celui quelle appelle « Mon Oncle », probablement larchiduc Charles. Larchiduc Charles fut le représentant de Napoléon lors de son mariage par procuration en Autriche. LImpératrice se rappelle les heures heureuses passées à Wüzbourg : les six jours que jy ai été se sont écoulés plus vite que des heures, accompagnant lempereur jusquà Dresde, lors de la campagne de Russie. Elle reçoit fréquemment des nouvelles de lEmpereur, il étoit encore le 14 à Smolensk mais se plaignoit du froid quil fasoit en ce moment, car il était à 8 degrés. Sa santé est très bonne et cest vraiment une grâce du ciel quil supporte ainsi sans la moindre incommodité les nombreuses fatigues auxquelles on est toujours exposé dans une guerre Elle le remercie pour les deux messes reçues du maître de chapelle, et aimerait en retour lui adresser quelques belles uvres musicales parisiennes, mais à part la Jérusalem délivrée de Persuis, il ny a rien dadmirable, dit-elle.. Elle poursuit, en badinant : je suis sûre que vous me plaindrez en apprenant que moi qui me suis toujours moqué(e) des rhumatismes (dont je vous prie cependant dexcepter le vôtre) et des personnes qui en sont affligés , je souffre cruellement dun rhumatisme dans la tête… , jai fait tout au monde pour men débarrasser et je nai pas pû y parvenir de sorte que je me vois déjà lannée prochaine aux eaux enveloppée dans de la flanelle et plus malade que la reine Hortense.. Elle donne des nouvelles du roi de Rome, Mon fils grandit et se développe bien, il souffre dans ce moment de ses quatre dernières dents ce qui le rend bien malingre et maigre jespere quil les percera bientôt et quil recouvrera tout de suite son embonpoint et ses belles couleurs Elle se plaint de lautomne, … Horrible, de la pluie du froid des ouragans… Ce qui ne la pas empêchée de prolonger son séjour à la campagne, quelle quitte à regret, le tems se remet entierement au beau, il fait aussi doux quau mois de Mai, jai fait aujourdhui une belle promenade sur le cheval que vous avez bien voulu me donner et qui est charmant, je crois cependant que vous ne le monteriez pas aussi volontiers que moi car il est un peu gai. Nous avons cette année une exposition du salon qui est assez belle. Il y a de très jolis tableaux et beaucoup de croûtes comme cela arrive toujours. Je suis sûre que vous nirez pas le (la) voir à moins dy mettre deux ou trois redingottes car il y fait un tel froid quon est sûre dattraper un rhume de cerveau. L’item « MARIE-LOUISE, IMPERATRICE, seconde épouse de NAPOLEON 1ER. Lettre autographe, 18″ est en vente depuis le vendredi 9 avril 2021. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Autographes\Personnalités historiques ». Le vendeur est « bibliolibrum » et est localisé à/en FR. Cet article peut être livré partout dans le monde.
  • Thème: Théâtre
  • Sous-type: Autographe sur papier
  • Type: Autographe, Dédicace
  • Objet modifié: Non

MARIE-LOUISE, IMPERATRICE, seconde épouse de NAPOLEON 1ER. Lettre autographe, 18

Tres Rare & Authentique Document Historique Signe Marie-louise De Rohan 1750

Tres Rare & Authentique Document Historique Signe Marie-louise De Rohan 1750

Tres Rare & Authentique Document Historique Signe Marie-louise De Rohan 1750
[DOCUMENT AUTOGRAPHE HISTORIQUE XVIIIe]. Par Marie-Louise de Rohan. Magnifique cachet de cire rouge. Aux armes de deux grandes maisons princières. Titre : Comtesse de Marsan. Gouvernante des enfants de France. Père : Jules-François-Louis de Rohan, prince de Soubise. Mère : Anne-Julie-Adélaïde de Melun. Conjoint : Gaston-Jean-Baptiste de Lorraine. Marie-Louise-Geneviève de Rohan (Paris, 7 janvier 1720-Ratisbonne [Allemagne], 4 mars 1803). Également connue sous le nom de Madame de Marsan, est une aristocrate française. Elle fut gouvernante de Louis XVI et de ses frères et surs. Sur du prince de Soubise et d’un maréchal de France, elle avait pour nièce Charlotte, princesse de Condé. Marie-Louise est la seule fille de Jules-François-Louis de Rohan, prince de Soubis. Et d’Anne-Julie-Adélaïde de Melun. Charles (16 juillet 1715-4 juillet 1787), duc de Rohan-Rohan, prince de Soubise. François-Armand-Auguste (1er décembre 1717-28 juin 1758), cardinal de Soubise, prince de Tournon. François-Auguste (16 septembre 1721-6 août 1736), comte de Tournon. René de Rohan (26 juillet 1723-7 février 1743), abbé de Luxeuil. Après la mort de ses parents de la petite vérole en 1724 à Paris, ses frères et elle partent vivre à Versailles avec leur oncle, Hercule-Mériadec de Rohan, prince de Guéméné. Son grand frère Charles avait le même âge que Louis XV et deviendra par la suite son ami. Le 4 juin 1736, Marie-Louise, baronne de Belvoir (Doubs), comtesse de Walhain (Belgique), arrière petite-fille de Charles IV de Lorraine et de Béatrix de Cusance, épouse Gaston de Lorraine, comte de Marsan (17211743). Le mariage a lieu dans la chapelle de l’hôtel de Mayenne par son grand-oncle le cardinal de Soubise. Son mari était le frère de Louise de Lorraine, la femme du duc de Bouillon. Alors qu’elle n’a que 23 ans, Marie-Louise devient veuve après le décès de son mari dû à la petite vérole, il est emporté peu après ses propres parents. Par la suite, elle mène une vie pieuse et retirée. Le couple n’eut pas d’enfant survivant. Veuve, la rumeur dit qu’elle eu pour amant Louis-Guillaume Le Monnier, le médecin de Louis XV. Depuis 1727, la charge de gouvernante des enfants de France était occupée par un membre féminin de la famille de Madame de Marsan. Son arrière-grand-mère, Charlotte de La Mothe-Houdancourt dite « Madame de Ventadour », était la gouvernante des enfants de Louis de France, duc de Bourgogne, de Louis XV. Puis des enfants de Louis XV. En 1735, Madame de Ventadour démissionne de sa charge qui va à la tante de Madame de Marsan. Lorsque Madame de Tallard meurt en 1754, Marie-Louise est nommée à la charge qu’occupait sa tante comme gouvernante des enfants royaux et prend soin de l’éducation des dix enfants de Louis XV. Veuve et sans enfants, Madame de Marsan restera gouvernante pendant vingt-deux ans et éduque le futur Louis XVI et ses frères et surs. Son préféré était le comte de Provence qui, en retour, l’appelait « ma chère petite chère amie ». Le duc de Berry, futur Louis XVI, ne la porta jamais vraiment dans son cur et, une fois sacré roi, il refusera toujours d’assister aux fêtes qu’elle organisait pour la famille royale. À partir de 1763, lorsque le comte d’Artois, âgé de 7 ans, « passe aux hommes », Marie-Louise se consacre à l’éducation de Clotilde (dite « Madame Clotilde ») et Élisabeth de France (dite « Madame Élisabeth »), les deux dernières enfants de la fratrie, à qui elle entend donner une éducation complète, telle qu’en reçoivent les garçons, chose novatrice pour l’époque. Grâce à son appui son amie la marquise de La Ferté-Imbault, fille de Madame Geoffrin, deviendra préceptrice de philosophie des deux princesses. Marie-Louise abandonne en 1771 l’éducation de Madame Élisabeth, fillette rebelle et colérique, à deux sous-gouvernantes, Mmes de Mackau et d’Aumale, afin de se consacrer à Madame Clotilde, jeune fille docile et studieuse, mais pourvue d’un physique ingrat (les courtisans la surnomment « Gros Madame »), qui est fiancée à Charles-Emmanuel IV de Savoie. Et deviendra reine de Piémont-Sardaigne. En 1775, Marie-Louise accompagne Madame Clotilde en Savoie lorsque celle-ci se marie. À son retour, le couple royal, Louis XVI et Marie-Antoinette, n’a pas encore d’enfants, Marie-Louise n’a plus la responsabilité que de Madame Élisabeth, qui ne l’aime guère et lui préfère Mme de Mackau. Elle conserve sa charge de gouvernante jusqu’en 1776, période à laquelle un certain nombre de nobles quitte la Cour en raison du dédain qu’éprouvait Marie-Antoinette pour l’étiquette formelle alors en vigueur. Marie Louise quitte sa charge en faveur de sa nièce, la princesse de Guéméné, la femme d’Henri-Louis-Marie de Rohan, prince de Rohan-Guéméné. En 1777, Marie-Louise use de son influence auprès de Louis XVI pour que son cousin le cardinal Louis-René de Rohan soit nommé Grand aumônier de France. En 1785, elle sera touchée par la disgrâce de celui-ci à la suite de l’Affaire du collier de la reine. En 1786, elle vend des biens, dont la baronnie et le château de Joyeuse. À Cerice de Vogüé pour 100.000 livres en 1788. En 1789, au début de la Révolution française, Marie Louise quitte la France. Elle laisse derrière elle le superbe hôtel de la rue Neuve-Saint-Augustine à Paris. Elle meurt en exil à Ratisbonne à l’âge de 83 ans. Mademoiselle de Soubise (7 janvier 1720 4 juin 1736). Comtesse de Marsan (4 juin 1736 2 mai 1743). Comtesse douairière de Marsan (2 mai 1743 4 mars 1803). 1 feuillet de papier vergé, plié en son centre. Paris, 16 Août 1750. Par sa brillante alliance avec un prince de la maison de Lorraine. Elle a à répondre sur le fait de bateliers navigant sur la rivière de la Dendre dans les Pays-Bas. Nous avons commis et commettons par la présente le sieur Georges Follez, recette de nos domaines de Ninove (ville de la Flandre orientale sur la Dendre), de comparoitre pardevant le Grand Conseil de sa Majesté Impériale à Malines pour y répondre sur ledit écrit sous serment de calumnia per vervum credit vel non, promettant de tenir pour bon, ferme et stable les responsifs comme si nous les avions fait nous même… L’item « TRES RARE & AUTHENTIQUE DOCUMENT HISTORIQUE SIGNE MARIE-LOUISE DE ROHAN 1750″ est en vente depuis le vendredi 12 juillet 2019. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Autographes\Personnalités historiques ». Le vendeur est « amideslivres » et est localisé à/en Fontenay sous Bois. Cet article peut être livré partout dans le monde.
Tres Rare & Authentique Document Historique Signe Marie-louise De Rohan 1750

(napoléon / Régence) / Document Signé Duc De Cadore (1813) / Marie-louise

(napoléon / Régence) / Document Signé Duc De Cadore (1813) / Marie-louise
(napoléon / Régence) / Document Signé Duc De Cadore (1813) / Marie-louise

(napoléon / Régence) / Document Signé Duc De Cadore (1813) / Marie-louise
Duc de Cadore, ministre de lIntérieur et des Affaires étrangères sous le Premier empire. Copie manuscrite signé « duc de Cadore » (en qualité de ministre dÉtat secrétaire de la Régence) des lettres patentes de lEmpereur Napoléon Ier organisant la régence pendant son absence aux armées, Saint-Cloud, 14 avril 1813, 7 pages in-folio, reliées par un fil de soie, traces de mouillures. Napoléon organise sa Régence. Très intéressant et remarquable document définissant notamment les rôles respectifs de limpératrice Marie-Louise (régente), de Champagny (secrétaire de la Régence) et de Cambacérès (Archichancelier), alors que Napoléon sapprête à partir en campagne (campagne dAllemagne, janvier-octobre 1813). « Par nos lettres patentes données le 30 mars dernier, nous avons conféré la Régence de nos États à notre bien aimée Épouse lImpératrice et Reine Marie-Louise, et ce pendant la durée de labsence que nous projetons et lorsque nous aurons quitté le territoire de lEmpire. Nous avons ordonné, par les mêmes lettres, que lImpératrice Régente, exercerait les pouvoirs attribués à ce titre en conformité de nos Instructions et Ordres La Régence que nous avons conférée à lImpératrice Reine Marie-Louise commencera son exercice le jour où nous aurons quitté le territoire de lEmpire et se terminera le jour où nous rentrerons sur le dit Territoire mais sans rien signer et satisfaire aucun acte de gouvernement. La Régente pourra néanmoins tenir le Conseil des Ministres, Présider le Sénat, le Conseil dÉtat et convoquer des Conseils Privés. Les actes de la Régence seront toujours faits en notre nom. La signature de la Régente sera précédée de ces mots. Pour lEmpereur et en vertu des pouvoirs quil nous a confier, Marie-Louise. Les actes de la Régence seront toujours visés par notre cousin le Prince Archi-chancelier contresignés par le Duc de Cadore ». « (Marie-Louise) exercera le droit de faire Grâce, de commuer les peines et daccorder tout sursis à lexécution des arrêts et jugements de condamnation Elle pourra suspendre sur la proposition de chaque Ministre, les fonctionnaires de son département, lorsquil y aura urgence. Ou inconvénient à attendre nos ordres ; former des Commissions de haute police, pour examiner leur conduite, dans le cas et dans les formes de notre règlement du 11 juin 1806 LImpératrice Régente pourra signer les décrets de nomination qui sont du petit ordre ou lorsque les Circonstances urgentes le requerront. Quand les Ministres auront à obtenir des Permissions de la Régente pour des affaires extraordinaires, ils sadresseront à larchichancelier qui en rendra, sur le champ, compte à sa Régente. Dans le cas cependant où les ministres croiront devoir demander à la Régente une audience secrète ou lui faire passer des pièces quils ne voudraient mettre que sous ses yeux et sous ceux de lEmpereur, ils sadresseront au B. Menneval, Secrétaire des Commandements de lImpératrice. LArchichancelier premier conseiller de la Régence nous écrira tous les jours pour nous tenir au courant des principales affaires de lEmpire. Le Ministre de la Police générale nous écrira tous les jours par lEstafette. Les autres Ministres nous écriront aussi souvent quils auront à nous rendre compte Si les circonstances étaient telles quil y eût quelque crainte à concevoir pour la sûreté des dépêches, ou que lImpératrice Régente voulut nous entretenir dune affaire très secrète, elle pourra faire usage du chiffre des relations extérieures Par lEmpereur, Le Ministre Secrétaire dEtat par intérim. Duc de Cadore ». Le Mardi 30 mars 1813, Napoléon avait réunit son Conseil à lÉlysée. Son épouse, lImpératrice Marie-Louise, avait prêter serment le même jour comme Régente. Le 15 avril, Napoléon quitte Saint-Cloud pour se rendre aux armées et entreprendre la périlleuse campagne dAllemagne contre la sixième coalition. L’item « (NAPOLÉON / RÉGENCE) / DOCUMENT SIGNÉ DUC DE CADORE (1813) / MARIE-LOUISE » est en vente depuis le mercredi 2 janvier 2019. Il est dans la catégorie « Livres, BD, revues\Livres anciens, de collection ». Le vendeur est « autographes-historiques » et est localisé à/en Paris, Ile-de-France. Cet article peut être expédié au pays suivant: Europe.
(napoléon / Régence) / Document Signé Duc De Cadore (1813) / Marie-louise

Napoléon / Marie-louise (mariage) / Document Signé (1810) / Josef Von Hudelist

Napoléon / Marie-louise (mariage) / Document Signé (1810) / Josef Von Hudelist
Napoléon / Marie-louise (mariage) / Document Signé (1810) / Josef Von Hudelist

Napoléon / Marie-louise (mariage) / Document Signé (1810) / Josef Von Hudelist
/ MARIAGE AVEC MARIE-LOUISE (1810). Politicien et diplomate autrichien. Principal collaborateur de Metternich au congrès de Vienne. « Nous avons cru ne pouvoir commettre personne qui puisse nous représenter plus dignement dans une occasion aussi solennelle que – Notre cousin le sérénissime Prince Impérial Charles Louis, Archiduc dAutriche. « Napoléon, par la grâce de Dieu et les Constitutions, Empereur des Français, Roi dItalie, Protecteur de la Confédération du Rhin, Médiateur de la Confédération Suisse, à tous ceux qui ces présentes verront salut. Le mariage que nous avons désiré contracter avec Notre très-chère et très-aimée bonne soeur Marie-Louise dAutriche, ayant été définitivement arrêté entre Nous et Notre très cher entrés aimé bon frère lEmpereur dAutriche, Roi de Bohême et de Hongrie, son Père, il est nécessaire pour accomplir le dit mariage conformément aux stipulations des articles qui ont été signés à Paris le 7 février 1810, par Mr de Champagny, duc de Cadore, notre Ministre des relations extérieures, et par Mr le Prince de Schwarzenberg, ambassadeur dAutriche, que nous nommions un Prince qui puisse assister, en notre nom, à la célébration qui doit en être faite, et pour y donner et constater notre consentement à cet effet. Nous avons cru ne pouvoir commettre personne qui puisse nous représenter plus dignement dans une occasion aussi solennelle que – Notre cousin le sérénissime Prince Impérial Charles Louis, Archiduc dAutriche, Prince royal de Hongrie et de Bohême, oncle de notre très chère et très aimée bonne soeur, Marie Louise dAutriche, qui rassemble en lui toutes les qualités que nous pouvons désirer pour nous représenter dans une cérémonie aussi auguste et aussi éclatante. En conséquence, nous nommons et constituons notre dit cousin pour assister en son nom à la célébration dudit mariage, y donner notre consentement plein et entier et à leffet de faire et de régler tout ce qui sera jugé convenable et nécessaire pour la cérémonie et la validité dudit mariage Donné en notre Palais des Tuileries le 25 février 1810. Napoléon Ier avait divorcé officiellement de Joséphine de Beauharnais. Le 20 décembre 1809. Soucieux de fonder une dynastie, Napoléon cherche rapidement à se remarier. Son choix se porte sur larchiduchesse Marie-Louise, 17 ans et fille de lempereur dAutriche. Un premier mariage est dabord célébré par procuration dans léglise des Augustins à Vienne le 11 mars 1810. Napoléon choisit comme témoin son ancien ennemi larchiduc Charles, oncle de Marie-Louise et ancien commandant des troupes autrichiennes qui ont tenu tête à Napoléon à Aspern mais ont été défaites à Wagram. L’item « NAPOLÉON / MARIE-LOUISE (MARIAGE) / DOCUMENT SIGNÉ (1810) / JOSEF VON HUDELIST » est en vente depuis le lundi 5 février 2018. Il est dans la catégorie « Collections\Militaria\Documents, revues, livres\Napoléon\ 1er, 2nd empire ». Le vendeur est « autographes-historiques » et est localisé à/en Paris, Ile-de-France. Cet article peut être livré partout dans le monde.
Napoléon / Marie-louise (mariage) / Document Signé (1810) / Josef Von Hudelist