Carte Historique 1836 France En 1813 Napoléon Europe Collection Antiquarium

Carte Historique 1836 France En 1813 Napoléon Europe Collection Antiquarium
Carte Historique 1836 France En 1813 Napoléon Europe Collection Antiquarium
Carte Historique 1836 France En 1813 Napoléon Europe Collection Antiquarium
Carte Historique 1836 France En 1813 Napoléon Europe Collection Antiquarium
Carte Historique 1836 France En 1813 Napoléon Europe Collection Antiquarium
Carte Historique 1836 France En 1813 Napoléon Europe Collection Antiquarium
Carte Historique 1836 France En 1813 Napoléon Europe Collection Antiquarium
Carte Historique 1836 France En 1813 Napoléon Europe Collection Antiquarium
Carte Historique 1836 France En 1813 Napoléon Europe Collection Antiquarium
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Carte Historique 1836 France En 1813 Napoléon Europe Collection Antiquarium
Carte Historique 1836 France En 1813 Napoléon Europe Collection Antiquarium
Carte Historique 1836 France En 1813 Napoléon Europe Collection Antiquarium
Carte Historique 1836 France En 1813 Napoléon Europe Collection Antiquarium
Carte Historique 1836 France En 1813 Napoléon Europe Collection Antiquarium

Carte Historique 1836 France En 1813 Napoléon Europe Collection Antiquarium
Carte historique de la France de 1836, montrant la division politique de l’Europe en 1813 à l’époque de Napoléon. Un excellent ajout pour les collectionneurs d’objets historiques, cette carte antique montre les détails géographiques de cette période en français. Une pièce unique d’avant 1860, parfaite pour les amateurs de cartes et d’antiquités.
Carte Historique 1836 France En 1813 Napoléon Europe Collection Antiquarium

NAPOLEON III / Lettre autographe signée / Sedan / Bismarck / Captivité / Chute

NAPOLEON III / Lettre autographe signée / Sedan / Bismarck / Captivité / Chute
NAPOLEON III / Lettre autographe signée / Sedan / Bismarck / Captivité / Chute

NAPOLEON III / Lettre autographe signée / Sedan / Bismarck / Captivité / Chute
Lettre autographe signée « Napoléon » à Édouard Vandal [Château de] Wilhelmshöhe, 18 déc[embre] 1870, 1 p. 1/2 in-8° sur papier vergé Gaufré à son chiffre « N », orné d’une couronne impériale, Filigrane « CRC » Deux mots caviardés de la main de l’empereur Trace de pliure centrale. Tenu en captivité par Bismarck après la défaite française à Sedan, Napoléon III garde l’espoir d’un retour de l’Empire. « Mon cher Monsieur Vandal. On m’a remis hier vôtre lettre dont j’ai été très touché. Je suis heureux par ces temps de diffamations et. D’ingratitudes, de pouvoir compter sur des dévouements comme le vôtre. Je crois comme vous que les événements vont se précipiter et qu’il serait bon que tous mes amis se réunissent en différents points. Je voudrais donc que vous puissiez vous rendre à Genève. Vous y trouverez l’ancien préfet de police qui vous donnera tous les détails de la situation actuelle. Lorsque vous y serez arrivé faites le moi savoir. En attendant recevez l’assurance de mes sentiments d’amitié. Empereur déchut après la cuisante défaite de Sedan le 2 septembre 1870 contre les armées prussiennes de Bismarck, Napoléon III est fait prisonnier dès le lendemain. Il quitte définitivement la France pour se rendre en Prusse et y être interné au château de Wilhelmshöhe. Il devient le quatrième souverain français à être capturé sur un champ de bataille. Les mois suivants, Napoléon III a écho des nombreuses manifestation bonapartistes qui se tiennent dans plusieurs départements et provinces de France, notamment en Normandie, en Charentes, dans le Limousin et en Corse. Il compte alors sur une éventuelle consultation directe du peuple sur la nature du prochain régime par les autorités françaises pour rétablir la situation tandis que le nouveau système de scrutin par liste lamine les bonapartistes, obligés non seulement de faire liste commune avec les monarchistes mais de le faire en rang modeste, ce qui ne permet le retour que de 20 leurs élus sur 675 à la Chambre. Mars 1871, l’Assemblée nationale, qui s’est réunie à Bordeaux, vote la déchéance officielle de Napoléon III et de sa dynastie, le déclarant « responsable de la ruine, de l’invasion et du démembrement de la France ». L’empereur déchut est libéré par Bismarck le 19 mars 1871. Il rejoindra sa famille et ses proches, exilés en Angleterre. Le comte Vandal devient ensuite président de la Compagnie générale transatlantique de 1871 à 1875.
NAPOLEON III / Lettre autographe signée / Sedan / Bismarck / Captivité / Chute

BONAPARTE (Napoléon) Général. Empereur des Français. Note autographe. Réf. G 551

BONAPARTE (Napoléon) Général. Empereur des Français. Note autographe. Réf. G 551

BONAPARTE (Napoléon) Général. Empereur des Français. Note autographe. Réf. G 551
Général de la Révolution. 1/3 page in-4. Papier vergé de Hollande. Campagne d’Égypte (1797). La mer rouge a 380 l de long sur 40 de large… Le Bab-el-Mandeb est un détroit qui relie le Golfe d’Aden à la Mer Rouge ; Socotora est une île de l’Océan indien, à 250 kms au large des côtes de Somalie.
BONAPARTE (Napoléon) Général. Empereur des Français. Note autographe. Réf. G 551

H. MARET, duc de Bassano. LETTRE SUR UNE STATUE DE NAPOLEON, 1836, EMPIRE, CORSE

H. MARET, duc de Bassano. LETTRE SUR UNE STATUE DE NAPOLEON, 1836, EMPIRE, CORSE

H. MARET, duc de Bassano. LETTRE SUR UNE STATUE DE NAPOLEON, 1836, EMPIRE, CORSE
Secrétaire d’Etat, ministre des Affaires étrangères. Lettre autographe signée, Paris le 22 août 1836. Elle est adressée à Monsieur le Président du Conseil général du département de la Haute-Marne. 1 page in-4 (21 x 31 cm) sur double feuillet. Au mois de juillet 1831, nous eûmes l’honneur de vous offrir un extrait du Moniteur relatif à la souscription ouverte pour élever un monument à la mémoire de l’Empereur Napoléon dans sa ville natale. Notre lettre accidentellement retournée ne parvient qu’au jour de la clôture de la session. Cette souscription étant demeurée jusqu’à ce jour, la commission, persuadée que vous voudrez bien concourir avec elle à l’accomplissement d’un vou national que Sa Majesté a adopté en se plaçant à la tête des souscripteurs, vous prie par votre organisation, Monsieur le Président, de mettre la pièce ci-jointe sous les yeux du Conseil Général et vous présente l’expression de sa considération la plus distinguée (.). Proche conseiller de Napoléon où durant 15 ans il fut le négociateur infatigable, Maret le suivra jusqu’à Fontainebleau et fera ses adieux à celui-ci pour son départ sur l’ile d’Elbe (1814). Le roi Louis-Philippe l’élèvera au rang de Pair de France en 1831. Quant à la statue dont il est question, rappelons que dès le début du XIXe siècle, les élus de la municipalité d’Ajaccio souhaitèrent une statue de Napoléon que l’on tarda de mettre en place, faute de moyens. Ce sera finalement le 05 mai 1850 que l’on inaugurera une statue de l’Empereur sur un piédestal suite au don du cardinal Fesch. Tous les ouvrages, lettres, gravures que je propose sont en excellent état et les défauts, s’il y en a, sont scrupuleusement décrits. Les colis, parfaitement sécurisés, sont expédiés dans les 48 h. Je réponds à vos questions et vous adresse des photos supplémentaires si vous le souhaitez. Merci de votre intérêt et de votre confiance.
H. MARET, duc de Bassano. LETTRE SUR UNE STATUE DE NAPOLEON, 1836, EMPIRE, CORSE

Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°

Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°

Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Le Site, cliquez sur ce lien. Lettre type « facture » L. = lettre autographe signée. 26/05/1837 – période « Monarchie, règne Roi LOUIS PHILIPPE I° ». Aux négociants en fer bordelais « HOLLAGRAY ». Très reconnu à cette époque. + Lettre autographe signée de.  » Charlotte CHAPPUIS dit Veuve MULLER « . Fille naturelle de l’Empereur NAPOLEON. Maîtresse de forges à Champagnole (au décès de son mari Etienne-Jacob MULLER en 1836). De 1836 à sa mort. Charlotte naît en 1795, dans la commune d’ Arnay-le-Duc. Sa mère, Antoinette Cattin, est une fille de joie. Qui en 1794, passe une nuit à Auxonne. Avec un jeune général : Napoléon Bonaparte. Peu après, la jeune prostituée, originaire de Bourgogne, tombe enceinte. Après la naissance de sa fille, elle épouse un moine défroqué, Georges Chappuis, qui accepte de donner son nom à Charlotte, ainsi qu’à tous les autres enfants d’Antoinette (14 au total). Antoinette confie l’éducation de sa fille à son frère, qui habite dans le Jura. Après une enfance relativement heureuse, Charlotte est envoyée dans un pensionnat à Paris. Pour y parfaire son éducation. Elle en sort en 1807, à l’âge de 17 ans, et se rend aussitôt au chevet de sa mère qui lui révèle l’identité de son présumé père biologique. LA FILLE DE NAPOLEON. Après avoir appris l’identité de son père, elle tente de prouver à tous qu’elle est bien la fille de Napoléon. Elle enchaîne les relations avec des officiers et se rapproche du milieu bonapartiste. En 1815, elle emménage à Salins. Et ouvre une pension pour jeunes filles, où elle reçoit la visite de plusieurs admirateurs. Au même moment, l’ Empire. S’effondre après la fin des Cent-Jours. Et l’exil de Napoléon sur l’île de Sainte-Hélène. Les partisans de l’empereur sont alors activement recherchés par la police du roi Louis XVIII. Alors qu’elle tente de rentrer en contact avec l’épouse de Napoléon, l’ex-impératrice Marie-Louise. La police l’arrête et elle est enfermée à la prison de Baume-les-Dames. Dans sa cellule, elle reçoit des lettres et également des visites de partisans bonapartistes. Le gouvernement s’inquiète de sa popularité, et charge la police secrète de l’envoyer dans la prison de Bellevaux. Elle change une troisième fois de lieu de détention et se retrouve ensuite au dépôt de mendicité de Dôle, dans le Jura. La police la libère à la condition qu’elle contracte un mariage avec un citoyen ordinaire, et non un bonapartiste. Elle est ainsi fiancé à l’un de ses cousins et sort donc de prison en mars 1817. Mais très vite, elle quitte son fiancé et épouse un maître de Forges, de vingt ans son aîné, Etienne-Jacob Muller, le. Et s’installe avec lui à Champagnole. Ensemble, ils ont cinq enfants. Antoine Muller, né le. Marié avec Jeanne-Marguerite Pinon en 1841 (sans postérité). Paul-Antoine Muller, né le. Et marié en 1845 avec Adrienne Félicité Delort (sans postérité). Marie-Louise Muller, née le. Mariée avec Joseph-Gustave Morel en 1841 (postérité). Adrien Muller, né le. Entre 1855 et 1900 (postérité). Étienne Muller, maître de forges. Charlotte & Etienne avec leurs enfants. Photographie de Charlotte (Veuve MULLER), à la fin de sa vie. Jacob Muller meurt le. À l’âge de 63 ans, faisant de sa veuve la nouvelle maîtresse de Forges. Fortunée, Charlotte est l’une des rares femmes à diriger un établissement industriel. Lorsque le cousin de Charlotte, Louis-Napoléon Bonaparte. Neveu de Napoléon, se présente à l’ élection présidentielle de 1848. On lui demande de soutenir sa candidature. Elle le fait avec plaisir et aide à financer sa campagne. Il est élu président de la République puis devient empereur sous le nom de Napoléon III, à la suite du Coup d’État du 2 décembre 1851. Pour remercier Charlotte, le nouvel empereur nomme son fils, Adrien Muller, maire de Champagnole. Ce dernier exercera cette fonction à différentes reprises, d’abord de 1855 à 1870, puis de 1871 à 1878, et enfin de 1884 à sa mort en 1900. Charlotte Chappuis meurt en 1880 à Champagnole, où elle est inhumée dans un cercueil semé d’abeilles impériales. Antoinette CATTIN, la mère de Charlotte (Veuve MULLER). Qui passa en 1794 une nuit à Auxonne. + Marcophilie: Au recto/. Cachet type 12 noir.  » CHAMPAGNOLE 27 MAI 1837 « . Tampon « Rare »:- /Vve MULLER – CHAMPAGNOLE (JURA)/.  » BORDEAUX 1 JUIN 1837 « . + Format lettre: 11.5 x 8.5 cm; filigrane présent, à identifier, voir photo. Charlotte CHAPPUIS « Veuve MULLER » fille naturelle de l’Empereur NAPOLEON. Et aussi – généalogie. + Antoinette CATTIN ou COTAIN, mère de Charlotte CHAPPUIS = rencontre & relation avec le jeune général BONAPARTE à Auxonne en 1794. + LES HOLLAGRAY, famille de négociants bordelais en fer.
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°

NAPOLÉON III / Lettre autographe signée / Tendresse pour Eugénie et leur fils

NAPOLÉON III / Lettre autographe signée / Tendresse pour Eugénie et leur fils
NAPOLÉON III / Lettre autographe signée / Tendresse pour Eugénie et leur fils

NAPOLÉON III / Lettre autographe signée / Tendresse pour Eugénie et leur fils
Lettre autographe signée « N » à son épouse l’impératrice Eugénie [Camden Place, Chislehurst], le 2 août [1872], 1 p. 1/2 in-8° à en-tête de la résidence d’exil de la famille impériale Traces de pliures d’époque, infimes rousseurs sur le second feuillet, petite fente en marge supérieure de la pliure centrale Légère décharge d’encre de la deuxième page sur la page opposée témoignant d’un pliage de Napoléon III alors que l’encre n’était pas encore sèche Filigrane « Joynson 1872″. Tendre lettre à son épouse l’impératrice, alors en voyage en Écosse avec leur fils unique le Prince Impérial. « Ma chère Eugénie. Je te remercie de ta lettre du 31 juillet. Je suis bien heureux de savoir que ton voyage te plaît, que Louis. [leur fils le Prince Impérial] va bien et que vous êtes bien reçus. Tous les matins je sais par le Times ce que tu as fait la veille. Cela est très agréable. Ici rien de nouveau [.] Camden est bien triste, le temps redevient froid [.] Je serai bien content de te revoir ainsi que Louis, car votre absence laisse un grand vide et quoiqu’habitant sous le même toit nous nous voyons peu, il est toujours bien doux de sentir près de soit ceux que l’on aime. Je t’embrasse tendrement. N J’embrasse Louis aussi bien tendrement ». La tendresse qui transparaît dans cette épître ne manque pas de surprendre tant on connaît les épisodes orageux qui ont jalonné la vie du couple impérial. Si l’on ne prête aucune relation extra conjugale à l’impératrice, il en fut tout le contraire pour l’empereur. De nombreux intimes du couple ont à l’époque témoigné de scènes orageuses dues au comportement très volage de Napoléon III. Sans doute l’exil de la famille impériale et la maladie déjà très avancée de l’empereur adoucirent-ils les relations entre les deux époux. L’impératrice Eugénie et son fils unique le Prince Impérial étaient alors en voyage en Écosse à l’été 1872. Eugénie était, par sa mère, d’ascendance écossaise. Cette dernière, de son nom complet María Manuela Kirkpatrick de Closeburn y de Grévignée, aristocrate d’origine écossaise et belge, est la fille de l’écossais William Kirkpatrick qui fut nommé consul des États-Unis à Malaga, et la nièce du comte Mathieu de Lesseps. Ancienne collection Jean-Claude Lachnitt.
NAPOLÉON III / Lettre autographe signée / Tendresse pour Eugénie et leur fils

Napoléon Bonaparte Cent-Jours lettre témoignage rencontre de Laffrey 7 mars 1815

Napoléon Bonaparte Cent-Jours lettre témoignage rencontre de Laffrey 7 mars 1815
Napoléon Bonaparte Cent-Jours lettre témoignage rencontre de Laffrey 7 mars 1815
Napoléon Bonaparte Cent-Jours lettre témoignage rencontre de Laffrey 7 mars 1815
Napoléon Bonaparte Cent-Jours lettre témoignage rencontre de Laffrey 7 mars 1815
Napoléon Bonaparte Cent-Jours lettre témoignage rencontre de Laffrey 7 mars 1815

Napoléon Bonaparte Cent-Jours lettre témoignage rencontre de Laffrey 7 mars 1815
Je vous propose cette lettre document que nous venons de retrouver dans un livre de 1830. C’est un témoignage de première main sur la rencontre de Laffrey du 7 mars 1815 à 10 heures du matin entre Napoléon Bonaparte et les troupes envoyées de Grenoble pour arrêter sa progression. Un passage fait témoignage aussi les ordres donnés de tirer sur l’Empereur et de ne pas discuter avec lui. Ordre non suivis car le gendarme porteur du dit ordre c’est fait intercepter par les gens de l’Empereur. Ce document a visiblement été dans les mains d’Adolphe Thiers. Deux feuillets chargés d’un épisode très important de l’histoire de France.
Napoléon Bonaparte Cent-Jours lettre témoignage rencontre de Laffrey 7 mars 1815