PAULHAN (Jean), écrivain, critique littéraire et éditeur français (1884-1968)

PAULHAN (Jean), écrivain, critique littéraire et éditeur français (1884-1968)

PAULHAN (Jean), écrivain, critique littéraire et éditeur français (1884-1968)
Intéressante lettre dans laquelle il lui demande de lui adresser immédiatement ses notes concernant le poète Pierre Jean Jouve, ainsi que celles sur Paul Eluard. En revanche, il craint de ne pas pouvoir lui donner avant Août son Gracian. « Les numéros sont serrés à ne pas y glisser trois lignes. En post scriptum il ajoute et lui demande d’écrire « une (petite) note sur la Stratégie littéraire de Divoire. C’est un sujet qui vous revient après Gracian. Avez-vous le livre, dois-je vous l’envoyer? Probablement destiné à l’article de la revue de mai 1928, « Les nouvelles. Littéraires, artistiques et scientifiques. », consécutif à la parution de l’ouvrage de Fernand Divoire en Janvier 1928. Cet item est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Lettres ». Le vendeur est « librairie_monogramme » et est localisé dans ce pays: FR. Cet article peut être expédié au pays suivant: Europe.
PAULHAN (Jean), écrivain, critique littéraire et éditeur français (1884-1968)

PAULHAN (Jean) critique et écrivain français (1884-1968)

PAULHAN (Jean) critique et écrivain français (1884-1968)
PAULHAN (Jean) critique et écrivain français (1884-1968)
PAULHAN (Jean) critique et écrivain français (1884-1968)
PAULHAN (Jean) critique et écrivain français (1884-1968)

PAULHAN (Jean) critique et écrivain français (1884-1968)
3 signés lettres aux membres du C. Et lettre de démission de 1946, ainsi. En-tête de la NRF pour 4 lettres. [de 1941 à 1947] et 7 p. ½ gd in-4 pour. Il avoue être bien ennuyé que René Jouglet sera «. Décision officielle, seul directeur en titre des éditions. La France toute sa figure et toutes ses voix me semble. Ce moment, aussi impérieux que l’était, en 1940. Et je ne vois guère qui aillent là. Il lui assure que personne n’a eu le plus. Beaucoup, que vous ne seriez peut-être pas courageux. Résistant au sein du Groupe du musée de l’Homme. Je vous écris, sans grande. Des prés et leur brebis, ce grand calme, ces silences, ces arbres qui blanchissent. Tous à la fois, il est peut-être plus honteux qu’ailleurs de se sentir du côté de ceux. Qui sont protégés, non de ceux qui protègent. Je suis surpris, quand je me rappelle. 1914, de voir à quel point la guerre m’était indifférente, je ne me posais même pas. Evidemment, cela tient de la maison GR. , mais je n’aurais pas. Pensé (tout en m’attendant vaguement à quelque chose) qu’ils pussent être aussi. Il lui confirme que pour J. (Jacques Decour), « il a été exécuté le 30. Sybilla et Saint-Saturnin : je continue à penser que la nrf devait les publier. Même manqués : ne fût-ce que pour donner l’exemple d’un grand dessein – de ces. Grands desseins qui nous manquent. Et que l’auteur fût un peu inférieur au dessein. Ce n’en était que plus excitant. Il me semble que tu vois un peu trop dans la nrf un. Palmarès : ce n’est pas [seulement] parce qu’ils étaient meilleurs que d’autres. Qu’on publiait un récit, un poème ; ou moins bons, qu’on les refusait. Lui semble une excellente chose pour son ami. Sans ce voile d’action politique (qui fait tellement illusion) tout à fait en face de toi. Je crois que tu dois- si même tu ne le sens pas tout prêt en toi, et exigeant- te. Les écrivais trop vite, tous ces derniers temps. Je sais bien que cela leur donnait. Peut-être une sorte d’indolence gracieuse ; naturellement, tu écris « charmant ». Mais tu peux avoir une force, qui ne se montre qu’à la longue, et que moi du. De la Bataille les écris-tu toujours? Impossible de la trouver en Suisse ici non. Supplémentaires à Jean Blanzat sont destinées au Comité national des écrivains. Critique sévère à l’égard de Romain Rolland qui selon lui, aurait trahi la cause de. La France d’après une lettre qu’il aurait écrite à Bachelin en avril 1921, et publiée. Dans le catalogue Charavay, lettre, qu’il cite partiellement. «. Ma conviction est. Avoué de détruire la nation qui travaillait le mieux, au profit des nations qui. Travaillaient moins bien, et principalement l’Angleterre. C’est un crime contre les. Elle le paiera », poursuivant, « Voilà donc ce que pensait. Voilà ce qu’écrivait Rolland, alors que la France, deux fois envahie en quarante. Cinq ans, rassemblait déjà ses forces – et tentait de grouper celles du monde. En conclusion, il précise que cette « vérité » provoque. Remous et de grandes émotions au sein du CNE. « vingt ripostes, une lettre signée. Par seize écrivains qui. M’adjurent de changer d’avis, une page entière des Lettres. Françaises (avec échos anonymes, mensonges et faux), une soirée commémorative. En Sorbonne [.] On m’a toujours assuré qu’il fallait, à tous risques, dire la vérité. Considérant que ce manifeste qui cite, «. Non sans éloge, divers textes de. Drôle de mensonge : naïf. Trac se trouve encore dans les bibliothèques. A-t-il un tel mépris de ses lecteurs. Qu’il pense les gagner à sa cause par des procédés. Dont le savon Cadum ne. Mensonge Rimbaud, comme l’erreur Rolland, posent des problèmes, qui dépassent. De loin le cas d’Aragon. Pour conclure, il ajoute de sa main : «. Souffert des mensonges des gens de droite. Ne laissons pas trop mentir les gens de. Enfin dans la dernière lettre du 4 juillet 1947, Paulhan qui défend les principes de. « Responsabilité de l’écrivain », (débat déclenché par l’épuration des intellectuels). Je ne suis pas un moraliste. Je ne sais s’il faut être patriote, et l’on m’assure. Qu’un mensonge peut avoir sa raison d’être ; même sa noblesse. Ce n’est pas mon. Ce que je cherche, c’est la raison d’un certain malaise, que je ne suis pas. Je dois l’avouer, au sein du C. Si peu que j’y ai mis les pieds. Il ne veut pas se sentir « l’âme » d’un juge. « Quand je vous. Demande au nom de quels principes vous jugez, et ce que signifie votre liste noire. Vous me faites deux sortes de réponses – dont la première est plaisante, évidement. Sincère, au demeurant indiscutable. Indiscutable, parce qu’elle ne prête pas à. Paulhan évoque également la conception de Vercors en le citant. (Petit pamphlet des dîners chez Gazette) : « Je ne juge pas. Je ne les condamne pas. De penser à eux, ça me soulève le cour. On ne veut pas les voir, c’est. Parce qu’ils nous dégoûtent, qu’ils nous débectent, que leur physionomie nous. Cet item est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Lettres ». Le vendeur est « librairie_monogramme » et est localisé dans ce pays: FR. Cet article peut être expédié au pays suivant: Europe.
PAULHAN (Jean) critique et écrivain français (1884-1968)