Jean-Louis ALIBERT. Hôpital Saint-Louis. Paris. 1810. Ordonnance signée

Jean-Louis ALIBERT. Hôpital Saint-Louis. Paris. 1810. Ordonnance signée
Jean-Louis ALIBERT. Hôpital Saint-Louis. Paris. 1810. Ordonnance signée
Jean-Louis ALIBERT. Hôpital Saint-Louis. Paris. 1810. Ordonnance signée

Jean-Louis ALIBERT. Hôpital Saint-Louis. Paris. 1810. Ordonnance signée
Ordonnance à en-tête de l’Hôpital Saint-Louis à Paris (« médecin-chirurgien en chef ») où le médecin exerça avant d’être nommé au service de Louis XVIII, puis Charles X. Datée et signée, 19 juillet 1810. Le médecin recommande à sa patiente Magdelaine Gaillard de manière « urgente » douches et bains de Tivoli (rue St-Lazare, Paris). Bon état, petits plis.
Jean-Louis ALIBERT. Hôpital Saint-Louis. Paris. 1810. Ordonnance signée

Victor HUGO et les suites de la Commune de Paris 1874

Victor HUGO et les suites de la Commune de Paris 1874
Victor HUGO et les suites de la Commune de Paris 1874
Victor HUGO et les suites de la Commune de Paris 1874

Victor HUGO et les suites de la Commune de Paris 1874
Victor HUGO (1802 – 1885) – Poète et dramaturge. Adressée à Madame Zélie Robert – [Paris]. [1874] – 1 page sur un double feuillet in-16, deuil [François-Victor est décédé le 26 décembre 1873], enveloppe conservée. Mots de réconfort à une. Digne et noble mère. « Mes informations, Madame, concordent avec les vôtres. Je comptais vous en donner les détails de vive voix. Je ne puis que bien peu de chose. Mais votre pauvre fils m’intéresse très vivement, et le peu que je puis et le peu que je suis est à vos ordres et à vos pieds, digne et noble mère. Il est question ici de leur fils cadet, Aristide, qui fut arrêté lors de l’insurrection, puis condamné le 5 février 1872 par le 11. Conseil de guerre à la déportation simple, coupable d’avoir porté une arme et un uniforme dans un mouvement insurrectionnel ; ses parents sollicitèrent alors le soutien de Victor Hugo. Aristide Robert dut embarquer le 1. Janvier 1873 à Saint-Martin de Ré pour la Nouvelle-Calédonie, qu’il atteint le 3 mai. Il passera 6 ans en exil et sera de retour le 29 mai 1879. Deux ans plus tard, il s’installera comme peintre à Paris. Petits accidents marginaux et traces d’usure, voir photos.
Victor HUGO et les suites de la Commune de Paris 1874

Cartes à jouer XVIII° Portrait de Paris 3 valets de Pique variantes, jeu

Cartes à jouer XVIII° Portrait de Paris 3 valets de Pique variantes, jeu
Cartes à jouer XVIII° Portrait de Paris 3 valets de Pique variantes, jeu

Cartes à jouer XVIII° Portrait de Paris 3 valets de Pique variantes, jeu
Carte à jouer XVIII° siècle. 3 valets pique Type II Portrait de Paris (1719). Variantes : feuillage, fleur, jambe gauche avec initiales LR (nom prénom du cartier). 5,7×8,5 cm. Au dos notes manuscrites, ces cartes ont dû être utilisées comme fiche généalogique. État :état correct, sur deux des cartes traces légères de trou d’épingle.
Cartes à jouer XVIII° Portrait de Paris 3 valets de Pique variantes, jeu

Lettre autographe commune de Paris 1871 communard Fenouillas dit Philippe

Lettre autographe commune de Paris 1871 communard Fenouillas dit Philippe
Lettre autographe commune de Paris 1871 communard Fenouillas dit Philippe
Lettre autographe commune de Paris 1871 communard Fenouillas dit Philippe

Lettre autographe commune de Paris 1871 communard Fenouillas dit Philippe
COMMUNE DE PARIS 1871. Le 16 avril, il fut élu membre de la Commune par 3 483 voix du XIIe arrondissement ; il assista aux séances, y vota pour le Comité de salut public, mais ouvra surtout comme « maire du XIIe ». Les Prussiens l’arrêtèrent le 28 mai ; envoyé à Brest sur les pontons et reprenant là son nom de Fenouillas, il fut traduit devant le 5e conseil et condamné à mort le 1er juillet 1872. Conduit sur le plateau de Satory le 22 janvier 1873, il tomba en criant : « Vive la République sociale! « Le Membre de la Commune Philippe », et de l’adjudant de servide du 51e btaillon, Paris 30 avril 1871. Cachet encre Commune de Paris, Mairie du XIIe arrondissement. Cachet encre 51e bataillon, garde sédentaire de la seine. Bon pour 30 kg pour le poste de police.
Lettre autographe commune de Paris 1871 communard Fenouillas dit Philippe

Rare Carte VIP Discothèque l’Apocalypse 1980 Paris. Exc. Etat

Rare Carte VIP Discothèque l'Apocalypse 1980 Paris. Exc. Etat
Rare Carte VIP Discothèque l'Apocalypse 1980 Paris. Exc. Etat
Rare Carte VIP Discothèque l'Apocalypse 1980 Paris. Exc. Etat
Rare Carte VIP Discothèque l'Apocalypse 1980 Paris. Exc. Etat
Rare Carte VIP Discothèque l'Apocalypse 1980 Paris. Exc. Etat

Rare Carte VIP Discothèque l'Apocalypse 1980 Paris. Exc. Etat
Rare: Carte VIP Discothèque « l’Apocalypse » 1980 Paris. Carte plastique rigide au format carte de crédit (8cmX8,4cm). Nom et signature du titulaire inscrits au dos. L’Apocalypse, rue du Colisée, tout comme Régine, Castel, L’Elizées-Matignon, les Bains Douches, était un haut lieu des nuits parisiennes, fréquentes par la Jet Set et la jeunesse dorée au début des années 80 à Paris. Club select dont l’entrée était réservée aux membres munies de la présente carte. Envoi soigné, protégé et rapide. Autres photos ou précisions sur demande. International buyers are welcome but contact me. EU, UK, USA, AUSTRALIA, NZ, JAPAN. Sending by International Letter with signature. Other photos or details on request.
Rare Carte VIP Discothèque l'Apocalypse 1980 Paris. Exc. Etat

Théophile GAUTIER / Reçu signé / Revue de Paris / Salon de 1841 au Louvre

Théophile GAUTIER / Reçu signé / Revue de Paris / Salon de 1841 au Louvre

Théophile GAUTIER / Reçu signé / Revue de Paris / Salon de 1841 au Louvre
Reçu signé « Théophile Gautier » [Paris], 19 avril 1841, 1 p. Petit in-8° oblongue En-tête de la Revue de Paris / Quai Malaquais, 17 Petites rousseurs en marge droite. Reçu signé de la main de Gautier pour son article consacré au Salon de 1841. L’article relatif à ce reçu semble correspondre aux pages 255 à 270 de la Revue de Paris en 1841. Organisée au Louvre sous la Mornarchie de Juillet, Gautier y fait une critique détaillée de la plus importante exposition d’art du pays. Étaient présentées de la peinture, sculpture et architecture. Delacroix, si cher au cour du poète, y présenta trois ouvres : Entrée des croisés à Constantinople, Le Naufrage de Don Juan et Noces juives au Maroc.
Théophile GAUTIER / Reçu signé / Revue de Paris / Salon de 1841 au Louvre