





(Précision: sur photos, si marques rouges ou noires elles sont non inscrites à l’origine, c’est un montage réalisé grâce à « PAINT » & « PICASSA » pour vous, tout blason ou photo ne sont à vendre sauf mention contraire dans descriptif, ils ont servi pour les recherches concernant le document). Le Site, recopiez ce lien dans navigateur google. Lettre 1800 témoignage décès cousine Vicomte DE CHATEAUBRIAND. Relaté dans ses « Mémoires d’Outre tombe ». Type de document: lettre postale « marque postale & manuscrite sur le recto ». Nombre de document: 1 – Nombre de pages: 2, 1 écrite. Lieux: Paris à Rennes, France. Date: 5/12/1800 (14 Frimaire an 9) – période CONSULAT 1799/1804 – Premier Consul « NAPOLEON BONAPARTE ». Lettre autographe signée L. : la lettre est entièrement écrite par son signataire. Celui-ci peut signer de son prénom, de ses initiales ou de son nom. Lettre à la Vicomtesse DE BEDEE Marie-Angélique-Fortunée-Céline-Renée née GUINGUENE 1729-? Portrait du Vicomte CHATEAUBRIAND, filleul de la Vicomtesse DE BEDEE qui reçu ce pli en 1800. De Chateaubriand, né le. Il est considéré comme l’un des précurseurs et pionniers du romantisme français. Et l’un des grands noms de la littérature française. Issu de la noblesse. Membre le plus célèbre de sa famille. Chateaubriand s’inscrit politiquement dans la mouvance royaliste. Auprès de souverains divers, il est nommé, en 1822, sous la Restauration. Ministre des Affaires étrangères. Et occupe cette fonction jusqu’en 1824. Sous le règne de. Il compte parmi les ultraroyalistes. Les nombreuses responsabilités politiques et diplomatiques qui jalonnent sa carrière ainsi que son goût pour le voyage, en Amérique puis dans le bassin méditerranéen. Structurent une vie marquée par l’ exil. Et la nostalgie de la stabilité. Ses premières publications majeures, l’ Essai sur les révolutions. (1797) et le Génie du christianisme. (1802), manifestent son engagement politique alors en faveur de la contre-révolution. Et en défense de la société d’Ancien Régime. Mais la question idéologique s’entremêle très rapidement à la promotion d’une esthétique originale qui remporte un grand succès populaire et littéraire : la description de la nature. Et l’analyse des sentiments du « Moi. », qu’il met en ouvre dans les fictions Atala. D’abord publiées comme illustrations des thèses du Génie puis rattachées au vaste cycle romanesque des Natchez. (intégralement paru en 1826), elles sont un modèle pour la génération suivante des écrivains français. Sa propension au mystère, à l’amplitude, à l’emphase, à la grandeur mélancolique, sa tentative d’exprimer une souffrance indicible et sa soif d’ exotisme. Qu’il réaffirme dans le récit de son voyage en Méditerranée Itinéraire de Paris à Jérusalem. , lui ont valu d’être considéré a posteriori comme l’un des « préromantiques. » les plus influents de sa génération. La sensibilité douloureuse de ce. « vague des passions. Illustré à travers le personnage de René, connaît une importante postérité dans le romantisme français. Le « mal du siècle. Ou le « spleen. Peuvent en être considérés, entre autres, comme de lointains avatars. Mais l’ouvre monumentale de Chateaubriand réside dans les Mémoires d’outre-tombe. Parus à titre posthume dès 1849, dont les premiers livres recréent son enfance et sa formation dans son milieu social de petite noblesse à Saint-Malo et à Combourg. Les livres suivants relèvent davantage du tableau historique des périodes dont il a été le témoin de 1789 à 1841. Ce texte, à la fois chef-d’ouvre autobiographique. Et témoignage historique de premier plan, manifeste une évolution de sa prose qui ne demeure pas moins influente sur la littérature française. Les Mémoires d’outre-tombe sont la principale ouvre de François-René de Chateaubriand. Sous le titre Mémoires de ma vie, et s’achève en 1841. L’édition originale des Mémoires d’outre-tombe, titre final du projet, est publiée en douze volumes entre 1849. Chez Penaud frères (Paris), après une diffusion en feuilleton. Dans le journal La Presse. Chateaubriand souhaitait que ces mémoires ne soient publiés qu’après sa mort, d’où leur titre. Décrit les Mémoires d’outre-tombe comme un. Concernant le mari de la Vicomtesse DE BEDEE, l’oncle du Vicomte DE CHATEAUBRIAND. (la mère de l’écrivain est la sour de Antoine de Bedée). A l’évidence c’est une des silhouettes les plus affectueusement dessinées de tous les Mémoires d’outre-tombe. Il se destina de bonne heure à la carrière des armes : à l’âge de 17 ans, le 17 septembre 1744, il fut reçu page du roi ; il accompagna Louis XV en cette qualité dans la campagne de Flandre et assista à la bataille de Fontenoy qu’il aimait à raconter. Il bâtit Montchoix en 1759 et y établit sa résidence. Le 11 mai 1745. Armes famille « DE BEDEE ». Est un gigantesque dispositif de pompage. Des eaux de la. Par le maître charpentier et mécanicien liégeois. D’après le projet d. Elle s’inspirait des machines d. Ce qui en faisait l’une des machines les plus complexes de son temps. Elle fonctionna 133 ans, mais ne parvint jamais longtemps à fournir le débit attendu, et fut remplacée, en. Par plusieurs pompes successives plus performantes, jusqu’à des électro-pompes en. Marques postales: au recto R/ marque postale de départ de Paris en port dû triangle ouvert. Au verso V/ cachet de cire. (LAC) 2 pages, 1 écrite, signature C. Dimensions: 11 x 9 cm. + Liens = recherches, concernant ce document: personnages, lieux, édifices… Recopiez les liens dans navigateur google. Sur Vicomtesse DE BEDEE et son mari en lien au Vicomte DE CHATEAUBRIAND = généalogie. Sur Bataille de Fontenoy. Sur Vicomte DE CHATEAUBRIAND François-René. Sur MEMOIRES D’OUTRE TOMBE. Sur BUCHERE Avocat au Parlement de Paris « Franc-maçon ». Sur LA LOGE DES ELEVES DE LA NATURE. Sur MACHINE DE MARLY. Seul le document est à vendre (lettre, document, monnaie), les images ont parfois des explications avec: portraits, blasons, cartes, photos, châteaux… Etc ils ne sont pas à vendre, ils servent d’argumentation à l’objet.
