TOULET. Carte Bristol adressée à un ami, vers 1905

TOULET. Carte Bristol adressée à un ami, vers 1905
TOULET. Carte Bristol adressée à un ami, vers 1905

TOULET. Carte Bristol adressée à un ami, vers 1905
Écrivain et poète français. Carte bristol autographe, 1 page et demi in-18 oblong, (110 x 75), adressées à un ami, [vers 1905], Saint-Loubès, (Gironde). Toulet est en villégiature chez sa sour au château de la Rafette à Saint-Loubès en Gironde. Il demande à un ami de lui rendre un service. Il s’agit de passer au journal La Vie Parisienne, de trouver et de lui envoyer deux lettres « que j’attends, que tu y trouverais peut-être et pourrais m’envoyer (toi-même) » il précise que « Curnonsky que j’en avais chargé ne se grouille non plus qu’une solive. » L’ami en question, qui n’a pu être identifié, fait probablement partie des collaborateurs de Toulet au journal La Vie Parisienne, ainsi lui précise-t-il : « Si tu trouves vraiment quelque chose, tu pourras remercier du zèle qu’on met dans cette maison à obliger les anciens collaborateurs. » Toulet contribuait régulièrement à cette revue mondaine sous le pseudonyme de Maxy.
TOULET. Carte Bristol adressée à un ami, vers 1905

Placard / Affiche 1697 Ordonnance. Finances. Dauphine. Droits féodaux

Placard / Affiche 1697 Ordonnance. Finances. Dauphine. Droits féodaux
Placard / Affiche 1697 Ordonnance. Finances. Dauphine. Droits féodaux
Placard / Affiche 1697 Ordonnance. Finances. Dauphine. Droits féodaux
Placard / Affiche 1697 Ordonnance. Finances. Dauphine. Droits féodaux
Placard / Affiche 1697 Ordonnance. Finances. Dauphine. Droits féodaux

Placard / Affiche 1697 Ordonnance. Finances. Dauphine. Droits féodaux
Placard / Affiche – Document historique. Droits féodaux, Louis XIV. Ordonnance du Bureau des Finances et Chambre du Domaine du Dauphiné. Concernant la liquidation et payement des droits feodaux de lods & ventes…. Donné à Gr enoble au bureau le 25 juin 1697. 48 X 32 cm env. Ancienne trace de pliure. Envoi rapide et soigné.
Placard / Affiche 1697 Ordonnance. Finances. Dauphine. Droits féodaux

Commune archives Georges BOURGIN à Charles PROLÈS lettre dactylographiée signée

Commune archives Georges BOURGIN à Charles PROLÈS lettre dactylographiée signée
Commune archives Georges BOURGIN à Charles PROLÈS lettre dactylographiée signée

Commune archives Georges BOURGIN à Charles PROLÈS lettre dactylographiée signée
Très intéressante lettre adressée à Charles. Journaliste républicain, est considéré comme un des mieux documenté sur la Commune. Il a publié les biographies des principaux membres de l’insurrection avec sa série : Les Hommes de la Révolution de 1871. Il prépare l’édition des procès-verbaux de la Commune de 71. « Je cherche à m’entourer des renseignements les plus précis possibles pour donner à cette édition toute la valeur critique. J’ai déjà reçu plusieurs indications de quelques-uns des membres survivants de la Commune et de personnes qui ont été à même de voir de près son fonctionnement ». Il lui demande s’il a des indications sur « l’organisation du secrétariat et sur la rédaction des procès-verbaux de la Commune » et profiterait volontiers de ses souvenirs. Il ajoute à la main « C’est à Monsieur A. Goullé que je dois de posséder votre adresse : je connaissais depuis longtemps Prolès ». C’e n’est qu’en 1924 que Bourgin pour publia avec Gabriel Henriot, le premier tome des Procès-verbaux de la Commune de 1871. Envoi GRATUIT en FRANCE.
Commune archives Georges BOURGIN à Charles PROLÈS lettre dactylographiée signée

Astronomie 4 Diplomes Legion Honneur Societe Royale Observatoire Couder Institut

Astronomie 4 Diplomes Legion Honneur Societe Royale Observatoire Couder Institut
Astronomie 4 Diplomes Legion Honneur Societe Royale Observatoire Couder Institut
Astronomie 4 Diplomes Legion Honneur Societe Royale Observatoire Couder Institut
Astronomie 4 Diplomes Legion Honneur Societe Royale Observatoire Couder Institut
Astronomie 4 Diplomes Legion Honneur Societe Royale Observatoire Couder Institut
Astronomie 4 Diplomes Legion Honneur Societe Royale Observatoire Couder Institut
Astronomie 4 Diplomes Legion Honneur Societe Royale Observatoire Couder Institut
Astronomie 4 Diplomes Legion Honneur Societe Royale Observatoire Couder Institut
Astronomie 4 Diplomes Legion Honneur Societe Royale Observatoire Couder Institut
Astronomie 4 Diplomes Legion Honneur Societe Royale Observatoire Couder Institut
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« Diplôme de Chevalier de la Légion d’Honneur décerné à André Couder ». « Diplôme d’officier de la Légion d’Honneur décerné à André Couder ». Diplôme « The Royal Astronomical Society ». Diplôme « Société Royale des Sciences de Liège ». Dimensions 44 x 56cm (pour le plus grands). Etat correct, pliures sur certains. André Couder, né le 27 novembre 1897 à Alençon et mort le 16 janvier 1979 à Suresnes[1], est un ingénieur-opticien et astronome français. Issu de l’Institut de chimie de Paris, André Couder est employé à l’observatoire astronomique de Strasbourg sous la direction d’Ernest Esclangon, avant de rejoindre, à l’initiative d’André Danjon, le laboratoire optique de l’observatoire de Paris en 1925 dont il devient le directeur et où il acquiert vite une réputation mondiale. On lui doit désormais, et jusqu’à sa retraite en 1968, la plupart des parties optiques des instruments français, de l’astrolabe de 6 centimètres d’ouverture au télescope de 193 centimètres qui équipe l’observatoire de Haute-Provence[2]. Il a contribué de façon importante à presque chaque aspect du système optique des télescopes. Il a développé des techniques de polissage des surfaces paraboliques après déformation thermique. Il a inventé l’écran à échancrures, l’anastigmat de Couder à 2 miroirs, un développement du télescope de Schwarzschild. Il a également inventé « l’essai nul » et a préconisé des améliorations pour la fabrication des miroirs. Élu membre de la section d’astronomie de l’Académie des sciences le 14 juin 1954 et de la section des sciences de l’univers en 1976, il en est devenu le président en 1968. Il est le père d’Yves Couder. Il est inhumé au cimetière de Bourg-la-Reine[4] où il résidait. La « loi de Couder » est la loi fondamentale des supports primaires de miroir. Un cratère sur la Lune a été nommé Couder en son honneur. « Astronome et opticien. Chef du Laboratoire d’optique à l’Observatoire de Paris. Il allie à la fois les qualités d’un astronome observateur et celle d’un technicien habile. A beaucoup d’imagination d’une part, et possède à un haut degré l’esprit de réalisation. C’est le type du chercheur par excellence ». Note d’Ernest Esclangon le concernant[5]. « La plupart des parties optiques des instruments français construits jusqu’à son départ à la retraite en 1967 sont de sa main. L’Observatoire de Paris.
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