MATHIEU (Georges) peintre français (1921- 1912)

MATHIEU (Georges) peintre français (1921- 1912)
MATHIEU (Georges) peintre français (1921- 1912)

MATHIEU (Georges) peintre français (1921- 1912)
Dessin avec dédicace autographe signée. Au verso d’une photo, datée de 1969, le représentant lors d’une exposition à la Manufacture de Sèvres, Cité de la céramique, exposition qui lui était consacrée, où il avait réalisé de nombreuses décorations à l’or sur des services de table qui seront présents aux Expositions de Montréal et d’Osaka. Encadrement double face permettant la vue des 2 côtés. (34,5 x 23 cm). On le retrouve en compagnie d’un groupe d’admirateurs en pleine démonstration.
MATHIEU (Georges) peintre français (1921- 1912)

LAS Eugène Grasset peintre décorateur à Octave Uzanne 1890 Vitraux

LAS Eugène Grasset peintre décorateur à Octave Uzanne 1890 Vitraux

LAS Eugène Grasset peintre décorateur à Octave Uzanne 1890 Vitraux
Lettre de Eugène Grasset à Octave Uzanne. 65 Bd Arago Paris 25 juill[et] [18]90. C’est entendu, je vous attendrai jeudi à 5h. Et je préviendrai notre vitrailleur. Pour qu’il se trouve là, mais ne venez pas trop tard de façon à ce que nous. Puissions le voir avant 6h. Eugène Grasset, né à Lausanne le 25 mai 1845 et mort le 23 octobre 1917 à Sceaux, est un graveur, affichiste et décorateur et architecte français d’origine suisse, représentatif de l’Art nouveau. Né d’un père décorateur et sculpteur, Eugène Grasset étudie le dessin avec François Bocion, puis l’architecture au Polytechnicum de Zurich à partir de 1861. À la fin de ses études, en 1866, il visite l’Égypte, dont on retrouve l’inspiration dans ses ouvres ultérieures. Il est aussi un admirateur de l’art du Japon, qui influence nombre de ses ouvres à partir de 1871. En 1869 et 1870, il travaille comme peintre et sculpteur à la décoration du théâtre de Lausanne, puis s’installe à Paris en 1871 et fournit des modèles pour des fabriques de fournitures, de tapisseries, de céramiques et de joaillerie, où il acquiert vite une bonne réputation. Il découvre les travaux de Viollet-le-Duc qui exerce sur lui une grande influence. En 1880, il dessine le mobilier de Charles Gillot, conservé au musée des arts décoratifs de Paris, que l’ébéniste Fulgraff réalise sous la surveillance de Grasset. Il s’agit d’un buffet pour la salle à manger, en chêne et en noyer sculptés, orné d’animaux fantastiques et de personnages de l’art populaire, d’un lit (aujourd’hui disparu) ainsi qu’une cheminée monumentale. En 1905, il réalise, pour Madame Marcelle Seure, la fille de Charles Gillot, une salle à manger en noyer une grande table, un buffet, six chaises, une desserte et deux consoles d’applique. À partir de 1877, il réalise des illustrations pour des ouvrages comme : Les Fêtes Chrétiennes – 1880 (pour l’Abbé Drioux), Les Quatre Fils Aymon – 1883, Le Petit Nab – 1883, La Plante et ses applications ornementales – 1896, Nouveau Larousse illustré – 1897, Le Procurateur de Judée – 1902 éd. Édouard Pelletan, L’Almanach du Bibliophile pour l’année 1901 (Édouard Pelletan), Méthode de composition ornementale – 1905, (Librairie Centrale des Beaux-Arts), Larousse pour tous – 1910. Il crée aussi des tissus (La Marseillaise), des papiers peints, des mosaïques, des vitraux religieux et profanes, des lithographies et des affiches. Il dessine également des cartes postales et des timbres pour les Administrations française et suisse. Pour sa réouverture, Grasset dessine l’enseigne du nouveau cabaret du Chat Noir, la silhouette d’un chat sur un soleil d’or se prélassant entre deux colossales lanternes de fer forgé, tandis qu’à l’intérieur il dessine la cheminée et des lustres. Il dessine des cartons pour des vitraux : l’Église Saint-Étienne de Briare, La vie de Saint Joseph dans l’Église de la Sainte Madeleine à Troyes en 1894, Le Saint Hubert à Lyon Saint Michel – Jeanne d’Arc – La Musique – Le Printemps – L’Automne à Châlons Cathédrale d’Orléans (non réalisés). Pour la réalisation de ces vitraux, il collabore avec son ami Félix Gaudin à partir de 1887 et jusqu’à sa mort. Par ailleurs, Félix va organiser en mars 1918 en quatre ventes à l’Hôtel Drouot, la dispersion du fonds d’atelier Grasset. Parmi les toiles exécutées : Au Jardin, Pauvre quartier, La Seine à l’Institut. En 1890, il crée le logotype de la Semeuse soufflant une fleur de pissenlit pour le dictionnaire Larousse, qui figure sur la plupart des ouvrages des éditions Larousse de 1890 à 1952 environ et reparaîtra dans les années 1970. En 1894, il crée la mosaïque La Mosaïste en émaux de Briare, conservée au musée de la mosaïque et des émaux de Briare. Par ailleurs, la quasi-totalité des sols de l’Église Saint-Étienne de Briare sont des mosaïques réalisées sur des cartons de Grasset en 1895, de nombreuses mosaïques ornent les différentes façades extérieures de l’édifice, mosaïques fournies par Jean-Félix Bapterosses et exécutées par les ouvriers de la Manufacture de Briare. Devenu mondialement célèbre, il est contacté par plusieurs publications américaines. En 1892, il fait la couverture du numéro de Noël du Harper’s Magazine et en 1894, il crée la publicité The Wooly Horse pour The Century Magazine. Il est l’un des initiateurs de l’Art nouveau aux États-Unis. En 1898, pour la Fonderie G. Peignot et Fils, il crée le caractère d’imprimerie Grasset, qui est présenté lors de l’Exposition universelle de 1900 à Paris et utilisé sur ses affiches et posters. Il obtient la nationalité française en 1891, est nommé chevalier en 1895, puis officier de la Légion d’honneur en 1911. Il est membre et/ou collaborateur de plusieurs revues : Art & Décoration, L’Estampe et L’Affiche, Les maîtres de l’affiche, Ver Sacrum (un parmi les 49 membres d’en dehors d’Autriche) Il est cofondateur avec Hector Guimard de la Société des artistes décorateurs. Avec René Lalique, il cofonde la Société de l’art décoratif français. Avec Henri Cazalis, (Jean Caselli / Jean Lahor), René Lalique, Émile Gallé, Alphonse Mucha et Victor Horta, il cofonde la Société internationale de l’art populaire. Membre de la Société nationale des beaux-arts, il est élu membre permanent du jury de l’Union centrale des arts décoratifs. Son début en tant qu’enseignant fut à l’École de la rue Thévenot (Syndicat des ouvriers bijoutiers) entre 1875 et 1877 avec un cours de principes généraux de décoration, suivi des cours éparses dans l’atelier de vitraux de son ami, Félix Gaudin. Il reprend cette activité avec un cours de dessin d’art industriel et composition décorative à l’École Guérin de la rue Vavin de 1890 à 1903. Puis il enseigne à l’École d’Art graphique de la rue Madame de 1903 à 1904, et enchaîne avec des cours à l’Académie de la Grande Chaumière de 1904 à 1913. Ensuite, il donne un cours d’histoire et de dessin de la lettre à l’École Estienne jusqu’à sa mort. Il pourrai s’agir de.
LAS Eugène Grasset peintre décorateur à Octave Uzanne 1890 Vitraux

MARCELLO CASTIGLIONE COLONNA (Adèle d’Affry, duchesse de), peintre suisse

MARCELLO CASTIGLIONE COLONNA (Adèle d'Affry, duchesse de), peintre suisse
MARCELLO CASTIGLIONE COLONNA (Adèle d'Affry, duchesse de), peintre suisse
MARCELLO CASTIGLIONE COLONNA (Adèle d'Affry, duchesse de), peintre suisse

MARCELLO CASTIGLIONE COLONNA (Adèle d'Affry, duchesse de), peintre suisse
Lettre autographe signée « la Duchesse de Castiglione Colonna » à la comtesse. Afin d’échapper à cette époque au double handicap d’être une femme et une aristocrate, elle prend le pseudonyme masculin de « Marcello », afin de présenter lors de son premier salon, celui de 1863, une sculpture ayant pour titre « Bianca Capello ». Une intrigante de la Renaissance italienne, sculpture qui rencontra un très grand succès auprès du public et qui lui valu une considération immédiate, marquant ainsi, le début de sa carrière officielle. « Votre lettre me parvient après un long circuit à ma recherche. Je ne puis que confirmer les bons renseignements qu’on vous adonné sur Mr Bruyer, (sculpteur Léon Bruyer) praticien, n’ayant eu qu’à m’en louer durant nos courts rapports ensemble. Il m’avait été très recommandé, au double point de vue de l’honnêteté, et du talent, par le pauvre Carpeaux. J’espère Madame, qu’il vous secondera dans les ouvrages dont j’ai déjà entendu dire tant de bien. Que vous produisez en sculpture, et j’aurais été charmée de vous apporter la réponse, moi-même. Si je m’étais trouvée à Paris ce printemps. Ma santé m’en éloigne, bien à regret.
MARCELLO CASTIGLIONE COLONNA (Adèle d'Affry, duchesse de), peintre suisse

Joseph TERDJAN 1924-2001 belle archive manuscrite sur peintre arménien libanais

Joseph TERDJAN 1924-2001 belle archive manuscrite sur peintre arménien libanais
Joseph TERDJAN 1924-2001 belle archive manuscrite sur peintre arménien libanais
Joseph TERDJAN 1924-2001 belle archive manuscrite sur peintre arménien libanais
Joseph TERDJAN 1924-2001 belle archive manuscrite sur peintre arménien libanais
Joseph TERDJAN 1924-2001 belle archive manuscrite sur peintre arménien libanais

Joseph TERDJAN 1924-2001 belle archive manuscrite sur peintre arménien libanais
Ensemble documentaire concernant ce peintre actif à Paris à partir de 1949 où il décéda dans le dénuement. Totalement oublié aujourd’hui, il avait pourtant exposé ses ouvres de plus en plus abstraites, à plusieurs reprises, dans des galeries reconnues, dont celle de Lucie Krogh en 1953, et participa à la Biennale de Paris en 1959. Le peintre fut remarqué par Stanislas Fumet, Gabriel Marcel, Waldemar-George et Salah Stétié. Les différents textes autographes, dont certains signés, permettent de cerner la personnalité de l’artiste et son. Approche du monde en tant qu’intellectuel chrétien. 5 manuscrits autographes, parfois signés. De brouillons de textes sur l’art. Une quinzaine de pages in-8. « Je veux créer un rapport entre gravité et légèreté. J’aime la totalité, j’aime l’infini. L’Art est un système de contraintes’. Je veux – au moins, au plus – faire un rappel du contraire de toute qualité cherchée. Légèreté et gravité se rejoignent dans le portrait plus naturellement qu’ailleurs, j’imagine. Peindre un paysage n’est pas opération moins intérieure mais un fabuleux combat où déplacer des arbres ou déplacer des montagnes est deviner leur Raison ». « Je n’écris pas une défense, par l’art, de la religion. Je voudrais que la peinture ne fût plus expliquée par les historiens. Pourquoi sommes-nous détournés de contempler? Il faut une ascèse d’admirer. Et la peinture existe seulement pour nous la demander ». « Parce qu’il a nourri dans une durée propre la mystérieuse opération de créer, l’artiste ne prêtera qu’une attention particulière à ceux qui voudront la lui expliquer. Son ouvre pourtant n’est pas achevée. Elle demande encore à être reçue, c’est-à-dire qu’il y aura une seconde création de l’ouvre dans le spectateur ». 1 copie de lettre dactylographiée de son père. Au directeur général de l’Éducation nationale et des Beaux-Arts du Liban avec un. De la carrière de son fils. La lettre évoque une bourse promise que son fils n’a jamais reçue. 3 brouillons de lettres manuscrites. « cher maître ». Dans lesquels il lui exprime toute sa reconnaissance de l’avoir aidé pour son exposition à la galerie Greuze tout en évoquant des problèmes pour la financer. De nombreux brouillons autographes signés. De lettres évoquant sa vie personnelle adressés à Nicole avec des. Lettres reçues, Jacqueline, Monique, Anne. 2 invitations à une. Au Cercle de la jeunesse catholique ; 1 invitation personnelle du Centre catholique des intellectuels français ; 1 texte dactylographié de 2 p. ½ in-4 sur la condition des étudiants étrangers catholiques en France en rapport avec un numéro spécial de la revue. 1 extrait d’un article de Gabriel Marcel sur lui et des extraits de critique sur lui. « La joie du. Chrétien selon Bernanos ». Manuscrit autographe signé de Raphaël Terdjan. ½ in-4 ; et divers courriers. Administratifs : comité d’accueil des étudiants étrangers en France. Envoi gratuit en France.
Joseph TERDJAN 1924-2001 belle archive manuscrite sur peintre arménien libanais

MAX JACOB (né Max Jacob Alexandre) romancier et peintre français (1876-1944)

MAX JACOB (né Max Jacob Alexandre) romancier et peintre français (1876-1944)

MAX JACOB (né Max Jacob Alexandre) romancier et peintre français (1876-1944)
Huile sur panneau signée en bas à gauche. Petites imperfections (20 x 11 cm). « Homme au chapeau dans un paysage nocturne ». Cet item est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Lettres ». Le vendeur est « librairie_monogramme » et est localisé dans ce pays: FR. Cet article peut être expédié au pays suivant: Europe.
MAX JACOB (né Max Jacob Alexandre) romancier et peintre français (1876-1944)