PLACARD 1815 TRAHISON DE LA GARNISON DE BORDEAUX. Duchesse d’Angoulême

PLACARD 1815 TRAHISON DE LA GARNISON DE BORDEAUX. Duchesse d'Angoulême

PLACARD 1815 TRAHISON DE LA GARNISON DE BORDEAUX. Duchesse d'Angoulême
Placard (51 X 42 cm). Bulletin officiel publié par ordre du préfet du Rhône concernant une dépêche télégraphique du 5 avril 1815 adressée par le gouvernement aux autorités civiles et militaires portant textuellement ce qui suit. Bordeaux a arboré le drapeau tricolore. Le Général DESJARDIN est entré dans cette ville le deux, sans brûler une amorce. La Duchesse d’Angoulême s’est embarquée à Pouillac. Lyon, Michel Leroy, 1815. Etat : un coin émargé, déchirures consolidées par un doublement en parchemin. La Duchesse d’Angoulême au retour de Napoléon en mars 1815 fut chargée par le roi alors en exil de défendre Bordeaux, ville qui lui est tout acquise exceptée la garnison. Les soldats trahissent la cause des bourbons et passent dans le camp adverse. La Duchesse d’Angoulême s’embarque le 2 avril 1815 pour l’Angleterre.
PLACARD 1815 TRAHISON DE LA GARNISON DE BORDEAUX. Duchesse d'Angoulême

Document 1798 duchesse d’Angoulême, cardinal de Montmorency-Laval

Document 1798 duchesse d'Angoulême, cardinal de Montmorency-Laval
Document 1798 duchesse d'Angoulême, cardinal de Montmorency-Laval
Document 1798 duchesse d'Angoulême, cardinal de Montmorency-Laval
Document 1798 duchesse d'Angoulême, cardinal de Montmorency-Laval
Document 1798 duchesse d'Angoulême, cardinal de Montmorency-Laval
Document 1798 duchesse d'Angoulême, cardinal de Montmorency-Laval
Document 1798 duchesse d'Angoulême, cardinal de Montmorency-Laval
Document 1798 duchesse d'Angoulême, cardinal de Montmorency-Laval
Document 1798 duchesse d'Angoulême, cardinal de Montmorency-Laval
Document 1798 duchesse d'Angoulême, cardinal de Montmorency-Laval
Document 1798 duchesse d'Angoulême, cardinal de Montmorency-Laval
Document 1798 duchesse d'Angoulême, cardinal de Montmorency-Laval

Document 1798 duchesse d'Angoulême, cardinal de Montmorency-Laval
Document de vente publique 2ème jour de l’an VI ou VII? De Pluviose (soit 21 janvier 1798 ou 1799) de biens nationaux ayant appartenus et confisqués à Louis-Joseph de Montmorency-Laval (1724/1808), évêque de Metz, grand aumonier de France(1786) cardinal (1789) émigre en 1791. Le 10 juin 1799, soit quelques mois après la vente de ses biens nationalisés, le cardinal émigré marie à Mittau Madame Royale (fille de Louis16 et de Marie-Antoinette) avec son cousin le duc d’Angoulême, fils de Louis 18. Très bon état H40 cm(fermé) X 51cm(ouvert). Me demander tous renseignements souhaités avant achat. Cet item est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Vieux papiers\Autres ». Le vendeur est « oxnadalur » et est localisé dans ce pays: FR. Cet article peut être expédié au pays suivant: Monde entier.
Document 1798 duchesse d'Angoulême, cardinal de Montmorency-Laval

G. ROGER OFFENBACH GRANDE DUCHESSE 1948 PROGRAMME SIGNE PAR MARCEL CERDAN Boxe

G. ROGER OFFENBACH GRANDE DUCHESSE 1948 PROGRAMME SIGNE PAR MARCEL CERDAN Boxe

G. ROGER OFFENBACH GRANDE DUCHESSE 1948 PROGRAMME SIGNE PAR MARCEL CERDAN Boxe
Aux enchères et dans ma Boutique « AmidesLivres ». En même temps qu’un très bel ensemble de rares photographies. En tirage argentique d’époque. Provenant des archives personnelles de. Cinéma, Opérette, et bien entendu un grand nombre de photographies des divers spectacles du. Fameux Théatre de la Gaîté-Lyrique qu’elle dirigea après guerre. Luis Mariano, André Dassary, Rudy Hirigoyen, Maurice Baquet, Francis Blanche. Les Compagnons de la Chanson, Claudine Cereda &c… Et elle-même en tant qu’actrice et artiste Lyrique. Nous vendons un important ensemble de. Pour la Création en. Au Théatre de la Gaité Lyrique. De l’Opéra-bouffe de Jacques Offenbach. Victoria Calixte Bousquet dite Germaine Roger, née le 12 février 1910 à Marseille et morte le 20 avril 1975 à Savigny-sur-Orge, est une chanteuse d’opérette et directrice de théâtre. Après avoir remporté un concours de beauté dans sa ville natale en 1929, elle est admise comme soprano léger au conservatoire de Marseille, puis débute à Paris à la Gaîté-Lyrique. Elle se partage alors entre le répertoire (Mam’zelle Nitouche) et des créations d’Albert Willemetz, de Josef Szulc, de Georges van Parys. De Louis Beydts ou de Maurice Yvain. Elle entreprend aussi une carrière au cinéma et va devenir la vedette des opérettes de Vincent Scotto portées à l’écran : Trois de la marine (1934), Un de la Canebière (1938, où elle interprète notamment Le Plus Beau Tango du monde, en duo avec Alibert), Les Gangsters du Château d’If (1939). Après la Seconde Guerre mondiale, Henri Montjoye Henri Barbero, dit. Ayant conservé le nom porté pendant la Résistance. Et son épouse Germaine. Roger prennent la direction. Du T héâtre de la Gaité Lyrique. Après la mort de son mari en 1950, elle lui succède seule à la direction jusqu’à ce que ce temple parisien de l’opérette soit obligé de fermer en 1964 pour des raisons financières. En tant que Directrice du Théatre de la Gaité Lyrique. De nombreuses reprises ou créations d’opérettes à grand succès. Ouvrages donnés avec de belles distributions : Luis Mariano, André Dassary, Rudy Hirigoyen, Jean Bretonnière, Les Compagnons de la chanson, Armand Mestral, Maurice Baquet, Rellys, Duvaleix, Annie Cordy, Germaine Roger, Andrée Grandjean, Gise Mey, Ginette Baudin. Reprise au Théatre de la Gaîté-Lyrique. Date de la 1ère. Mardi 16 Novembre 1948. Opérette en 3 actes et 5 tableaux ; livret de Meilhac et Halévy. Version nouvelle de Albert Willemetz et André Mouezy-Eon. Mise en scène de Louis Musy et Henri Montjoye. Grande Duchesse et Wanda : Jeanne Perriat, Baronne Ortrude. Frantz ; Marcel Vallée, Général Boum ; Jack Claret, Prince Paul ; Léo Bardollet, Baron Puck ; Henri Despuech, Népomuc ; Simonne Cordat, Iza ; Renée Horsch, Amélie ; Cécilia Bert, Olga ; Jany Dujour, Charlotte. Corps de ballet de la gaité Lyrique et petits rats. Danses réglées par Corbay. Chef d’Orchestre : Marcel Cariven. Décors et costumes de Raymond FOST. Programme original de la « Première ». (époux de Germaine Roger et directeur du Théatre de la Gaité). Dédicacé et signé par Marcel CERDAN. Etonnante pièce de collection! Quelques explications sont nécessaires. Le 16 Novembre 1948, la célébrité de notre immense boxeur français est à son Zénith.. Marcel Cerdan vient de battre l’Américain Tony Zale le 21 septembre 1948 sur le ring du Roosevelt Stadium de Jersey City pour le titre de. De retour en France, il vit une période effervescente durant laquelle le « Tout-Paris » se l’arrache. Il est l’invité d’honneur partout. On le voit entre autres à l’Opéra accompagné de Jean Cocteau. Et il assiste à la première de la Grande Duchesse un des spectacles. Les plus attendus de l’époque au Théatre de la Gaité. Il n’assiste pas seulement en spectateur à cette soirée de Gala, soirée du « Ruban rouge ». Donnée au bénéfice des caisses d’entraide de la Légion d’honneur. Mais prête également son concours. Aussitôt l’Opéra-bouffe terminé, et en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire. La scène est transformée en ring, et Cerdan, certainement sous les hourras du public, rejoue en tenue sportive (avec Vartanian dans le rôle de Tony Zale) les deux derniers rounds de son déja fameux combat, inclus le crochet du gauche de la dernière seconde du 11e round qui ruina définitivement les espoirs de son adversaire. Lors du championnat du monde. Pour couronner le tout, Germaine Roger à son tour monte sur le ring et vient porter. Un coup de poing impressionnant au champion. Scène qui ravira les photographes et fera. Une grande publicité à la pièce. (voir ci-dessous divers articles de presse et photos relatifs à cet amusant épisode). Le 28 Octobre 1949, soit moins d’un an plus tard, Marcel Cerdan. Disparaissait dans un tragique accident d’avion.. Fascicule agrafé In-4 (27,5x21cm), 8pp. Couvertures de Papier fort crème, ornement or et couleurs pastels. (armes de Gerolstein estampées en relief) au premier plat. Ensemble assez propre, Légères traces anciennes ou plis mineurs sur bords du premier plat. Infime manque de papier vers le coin inférieur droit. Vendu en l’état décrit, tel que trouvé. Ci-dessous, Quelques extraits de la Presse de l’époque. La Grande Duchesse de Gerolstein. GRANDE DUCHESSE DE GEROLSTEIN (LA). LA GRANDE DUCHESSE DE GEROLSTEIN. L’Empire est à son apogée. L’exposition ouvre ses portes le 1er avril et le public va pouvoir admirer les progrès du commerce et de l’industrie. Les visiteurs, notamment les étrangers, viennent aussi pour se distraire, grâce à Paris, ses théâtres, ses restaurants, ses petites femmes. Jacques Offenbach est au sommet de sa gloire. Le triomphe de La Belle Hélène (1864) et de La Vie Parisienne (1866). Sont encore dans tous les esprits. À la fin de 1866, Offenbach et ses deux complices, Meilhac et Halévy, se mettent au travail et préparent La Grande Duchesse de Gérolstein qui est présenté sur la scène des Variétés au moment de l’ouverture de l’exposition. Avec cet opéra bouffe, Offenbach et ses auteurs parodient, sous une apparence frivole, les petites cours européennes et l’Armée, ou plutôt l’esprit militaire déformé et l’amour immodéré du galon. Et la défaite de l’Autriche à Sadova (1867), les critiques contenues dans La Grande Duchesse prennent plus d’importance qu’il n’y paraît au premier abord. Les répétitions se déroulent dans de bonnes conditions. Hortense Schneider, satisfaite de son rôle, contrôle ses nerfs et ne crée pas d’incident grave. Par contre, au moment du lever du rideau de la première représentation, elle apprend que la censure estime que le Grand Cordon et la Croix fantaisistes qu’elle doit arborer sur son costume, risque de faire affront à l’Empereur. On la prie de retirer ces décorations. La jeune femme se fâche, sanglote, refuse de jouer. Offenbach, sans perdre la tête, ordonne au chef d’orchestre d’attaquer l’ouverture. Quelques instants plus tard, Hortense entre en scène, les yeux séchés, le sourire aux lèvres, et sans le Cordon. Certes, certains historiens restent sceptiques sur la véracité de cette anecdote. Légende ou pas, on pouvait, l’année suivante admirer. Le portrait de la diva, peint par Pérignon. Sur le costume, elle arborait fièrement sa belle décoration. Après quelques représentions, au cours desquelles les auteurs font quelques ajustements indispensables, Paris fait un accueil triomphal à La Grande Duchesse, à Offenbach, Meilhac, Halévy et Hortense Schneider qui devient la véritable reine de Paris. Un défilé d’Empereurs, de Rois, de Princes de tous les pays viennent l’acclamer et lui présenter leurs hommages. Ces têtes couronnées la traitent comme une véritable Grande Duchesse. Ils sont tellement nombreux ces rois, à lui faire la cour, que la chronique scandaleuse s’en donne à cour joie. Léa Silly, son ennemie intime (avec laquelle elle s’était sans cesse disputée au moment de La Belle Hélène), surnomme Hortense « le passage des princes ». Méchant peut-être, mais sans doute pas toujours faux. Bientôt, La Grande Duchesse est jouée un peu partout dans le monde. On note plusieurs reprises de La Grande Duchesse de Gérolstein à Paris. Paola Marié (1878), Anna Judic (1887), Jeanne Granier (1890) et près de nous Germaine Roger (1948), Suzanne Lafaye (1966), Régine Crespin (1981) ont chanté le rôle créé par. Après 1890, Le « Bruyas » ne signale aucune série de représentations, dans la capitale. De l’opéra bouffe d’Offenbach, avant la reprise dans une nouvelle version profondément. Remaniée et « arrangée » de la Gaîté-Lyrique (octobre 1948). Renouvelant leur expérience de 1942 avec Les Cent Vierges, Albert Willemetz et André Mouezy-Eon rédigent à cette occasion une nouvelle version de l’ouvrage d’Offenbach baptisé La Grande Duchesse. Les rôles de Wanda et de la Grande Duchesse sont tenus par la même artiste. Fritz devient Frantz (Jacques Jansen). En février 1949, l’ouvrage est retiré de l’affiche. Une tournée a lieu à Monaco et au Grand Théatre de Genève. (dans la version originale de 1867). L’action se passe vers 1720 dans le Grand Duché imaginaire de Gérolstein. Acte I : Le camp des soldats du Grand Duché. En attendant leur départ pour la guerre, les soldats de la Grande Duchesse de Gérolstein chantent et dansent gaiement avec les paysannes et les vivandières. Boum, le général en chef, interrompt bientôt la fête. C’est Fritz, le plus beau, et sans doute le plus naïf des fusiliers, qu’il accuse être responsable du chahut. Il est vrai que Boum et Fritz se disputent le cour de la petite Wanda. Le général, accepte mal que le beau soldat. Lui soit préféré par la jeune fille. La souveraine a vingt ans et s’ennuie. Boum et le baron Puck, qui se partagent en fait le pouvoir, craignent l’apparition d’un favori. Pour la distraire, ils déclarent la guerre et lui cherchent un mari. Mais le Prince Paul, le prétendant retenu, jeune homme ridicule, laisse indifférente la Grande Duchesse. Elle refuse même de recevoir le baron Grog, envoyé extraordinaire du père du Prince Paul, qui a mission de la décider au mariage. Ce jour-là, la Grande Duchesse vient passer ses troupes en revue avant leur départ pour la guerre. Elle remarque le beau soldat Fritz. Malgré la visible mauvaise humeur de Boum, elle lui fait gravir en quelques minutes tous les échelons de la hiérarchie militaire. Le jeune homme se retrouve général, il conteste la tactique proposée par Boum pour la campagne qui s’ouvre. Son propre plan est retenu par la souveraine. Elle le nomme général en chef et lui confie le sabre de son père. Acte II : Une salle du Palais Ducal. La campagne est terminée. Fritz a obtenu la victoire en faisant s’enivrer ses ennemis. Il revient en grand triomphateur. Boum, Puck, le Prince Paul font grise mine et complotent contre le presque favori. Tout le monde (sauf l’intéressé) se rend en effet compte que la souveraine est amoureuse de son beau vainqueur. Son rang ne lui permettant pas de se déclarer ouvertement, elle lui fait des confidences à mots couverts. Fritz ne comprend rien de rien et va même, quelques instants plus tard, jusqu’à lui demander l’autorisation d’épouser Wanda. La Grande Duchesse, furieuse, se joint aux conspirateurs. Acte III : 1er tableau : La chambre rouge. Les conspirateurs se réunissent et il leur est intimé l’ordre de donner une bonne leçon au général Fritz. À cette occasion, la Grande Duchesse fait la connaissance du baron Grog. Sa belle prestance impressionne favorablement la souveraine. Le baron en profite pour plaider la cause de son Prince et finit par emporter la décision. La Grande Duchesse et le Prince Paul s’épouseront dans l’heure qui suit. Nouveaux mariés, Fritz et Wanda ne restent pas seuls bien longtemps. Sur l’ordre de la Grande Duchesse, le général en chef est prié de monter à cheval et d’aller au-devant de l’ennemi qui fait un retour offensif. 2e tableau : Le camp des soldats du Grand Duché. Le Prince Paul et la Grande Duchesse sont mariés depuis quelques instants lorsque Fritz revient en piteux état, le sabre du papa de sa souveraine tout tordu. En fait, Puck l’a envoyé chez une dame qu’il » visite » régulièrement en l’absence du mari, n’ignorant pas que ce dernier commençait à avoir des soupçons. Fritz est tombé sur le mari qui, le prenant pour le galant de sa femme, l’a copieusement rossé. La Grande Duchesse est satisfaite. La conduite inqualifiable du général Fritz lui permet de le rétrograder. Il se retrouve simple fusilier comme avant. Elle accepte même sa démission de l’armée. Elle va pouvoir disposer des honneurs en faveur du baron Grog qu’elle regarde avec de plus en plus de bienveillance ; en apprenant qu’il est marié et père de quatre enfants, elle a un moment de découragement. Se résignant enfin, elle rend grades et honneurs au général Boum et décide d’essayer, puisqu’elle ne peut avoir ce qu’elle aime, d’aimer ce qu’elle a. Bonne fille dans le fond, elle nomme Fritz maître d’école dans son village : ainsi, au moins, il va pouvoir apprendre à lire! Acte I : Chour de soldats « En attendant que l’heure sonne », Chanson de Fritz « Allez, jeunes filles, dansez et tournez », Couplets « A cheval sur la discipline » (Boum), Duo « Me voici, me voici » (Wanda, Fritz) ; Rondo « Ah! Que j’aime les militaires » (la Grande Duchesse) ; Chanson du régiment « Ah! C’est un fameux régiment » (La Grande Duchesse, Fritz) ; Chronique de la gazette de Hollande « Pour épouser une Princesse » (Prince Paul) ; Final I : Chour des soldats « Ils vont tous partir », Couplets du Sabre « Voici le sabre de mon père » (la Grande Duchesse), Départ de l’armée « Vous pouvez sans terreur » (tous). Acte II : Entracte ; Chour des demoiselles d’honneur « Enfin la guerre est terminée », Couplets des lettres « Je t’ai sur mon cour » ; Chour « Après la victoire » ; Rondo « En très bon ordre nous partîmes » (Fritz) ; Duetto et Déclaration « Oui général. Dites-lui qu’on l’a remarqué » (Fritz, La Grande Duchesse) ; Trio bouffe et Ballade « Ne devinez-vous pas. Max était soldat de fortune » (Boum, Puck, Paul) ; Mélodrame et finale « Logeons-le donc » (La Grande Duchesse, Boum, Puck, Paul). Acte III, 1er tableau : Duetto « O grandes leçons du passé » (La Grande Duchesse, Boum) ; Conjuration « Sortez de ce couloir », Chant des rémouleurs « Tournez, tournez manivelles », (les conjurés) ; Chant nuptial « Nous amenons la jeune femme », Nocturne « Bonne nuit, monsieur » ; Couplets des mariés « Faut-il, mon Dieu, que je sois bête » (Vanda, Fritz) ; Sérénade (chour en coulisse) ; Ensemble « A cheval, vite monsieur le général ». 2e tableau : Entr’acte-galop ; Chour de noce « Au repas comme à la bataille » ; Légende du verre « Il était un de mes aïeux » (La Grande Duchesse, choeur) ; Retour et complainte de Fritz « Eh bien, Altesse, me voilà! » ; Finale III « Enfin j’ai repris le panache » (tous). Cet item est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Vieux papiers\Autres ». Le vendeur est « amideslivres » et est localisé dans ce pays: FR. Cet article peut être expédié aux pays suivants: Amérique, Europe, Asie, Australie.
  • Type: Autographe, Dédicace
  • Epoque: XXe
  • Thème: Sport

G. ROGER OFFENBACH GRANDE DUCHESSE 1948 PROGRAMME SIGNE PAR MARCEL CERDAN Boxe

Médaille Décoration du Lys 1814 Par la Duchesse dAngoulème

Médaille Décoration du Lys 1814 Par la Duchesse dAngoulème
Médaille Décoration du Lys 1814 Par la Duchesse dAngoulème
Médaille Décoration du Lys 1814 Par la Duchesse dAngoulème
Médaille Décoration du Lys 1814 Par la Duchesse dAngoulème
Médaille Décoration du Lys 1814 Par la Duchesse dAngoulème

Médaille Décoration du Lys 1814 Par la Duchesse dAngoulème
Tableau représentant la remise de décoration du Lys en 1814 par la Duchesse dAngoulème. Tableau de 39,4cm sur 31cm. L’item « Médaille Décoration du Lys 1814 Par la Duchesse dAngoulème » est en vente depuis le lundi 22 novembre 2021. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Autographes\Autres ». Le vendeur est « deuche94″ et est localisé à/en La Varenne St Hilaire. Cet article peut être expédié au pays suivant: France.
  • Sous-type: Décoration du Lys
  • Epoque: Début 19ème
  • Région: Vichy

Médaille Décoration du Lys 1814 Par la Duchesse dAngoulème

La Duchesse De Pomar Lady Caithness Spirite Et Occultiste Medium De Marie Stuart

La Duchesse De Pomar Lady Caithness Spirite Et Occultiste Medium De Marie Stuart

La Duchesse De Pomar Lady Caithness Spirite Et Occultiste Medium De Marie Stuart
Marie Duchesse de POMAR [Londres 1830 1895] Spirite et occultiste Née Maria de Mariategui, elle épousa en première noce le Général Conde de Medina-Pomar et vécut avec lui à Cuba où il possédait des plantations Veuve, elle sinstalla en Angleterre et épousa le Comte de Caithness Cest dans le château familial de Caithness dans les Highlands quelle eut les premières apparitions de Mary Stuart qui lui confia la mission de se consacrer cur et âme au progrès spirituel de lhumanité Elle devint la medium et la prophétesse de la Reine, sidentifiant au fil du temps à elle De nouveau veuve en 1881, elle sétablit à Paris Le Pape Léon XIII lui avait conféré entre-temps le titre de Duchesse de Pomar Elle tint un salon spiritualiste dans son hôtel particulier parisien et y pratiquait ses séances dans un décor totalement inspiré de lépoque Stuart A Nice, elle donnait rendez-vous aux plus grands spirites et occultistes de son temps dans le Palais Tiranti. Lettre écrite et signée de sa main  » Duchesse de Pomar « , 1 page petit in-4, en-tête  » Marie  » à la couronne ducale et devise  » In my en dis my begining « ,  » En ma fin est mon commencement « , la devise de Marie Stuart , Paris (51 rue de lUniversité), un 25 novembre (année 1887 marquée dune autre main). « En réponse à votre lettre sollicitant une audience je regrette quil me soit impossible de vous recevoir, étant très occupée par mes préparatifs de départ. Recevez, Monsieur mes salutations et toutes mes excuses ». L’item « LA DUCHESSE DE POMAR LADY CAITHNESS SPIRITE ET OCCULTISTE MEDIUM DE MARIE STUART » est en vente depuis le lundi 1 septembre 2014. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Autographes\Autres ». Le vendeur est « laon-collections » et est localisé à/en Aulnois sous Laon. Cet article peut être livré partout dans le monde.
La Duchesse De Pomar Lady Caithness Spirite Et Occultiste Medium De Marie Stuart

La duchesse de Berry évoque l’exil du comte de Chambord et sa tristesse

La duchesse de Berry évoque l'exil du comte de Chambord et sa tristesse

La duchesse de Berry évoque l'exil du comte de Chambord et sa tristesse
La duchesse de Berry évoque l’exil du comte de Chambord et sa tristesse. Lettre signée avec quatre lignes autographes. Deux petites déchirures sans atteinte au texte. Emouvante lettre de la duchesse de Berry, avec quatre lignes autographes, à l’avocat Nibelle. « [.] chaque jour la somme de douleurs augmente pour moi, après la mort de mon bien aimé frère, arrive le départ de ma fille [Louise d’Artois] de ses états, je ne sais quand s’arrêteront tous ces malheurs. Il faut une grande résignation pour souffrir en silence [.] ». Elle mentionne les terribles ravages de la guerre, la tranquillité de Brünnsee, et son moral vacillant face à l’isolement « la soif de nouvelles me donne la fièvre ». « J’ai de bonnes nouvelles de mon fils [le comte de Chambord], le Roi de Hollande le sachant en quête d’une habitation, lui a si gracieusement offert un de ses châteaux qu’un refus eut été impossible ». Le duc della Grazia salue M. Marie Caroline de Bourbon-Siciles ajoute de sa main « Milles choses à votre fille prions dieu dans ces tristes moments croyez bien à mon affection. Encre brune sur double feuillet. Marie Caroline Berry (duchesse de) (Palerme, 1798/1870). Mère du comte de Chambord. Frais fixes : mêmes coûts pour tous les acheteurs. Lettre recommandée – 15,00. Remise en mains propres – 0,00 (29, rue de Condé – 75006 Paris). Délai d’expédition : 1 jour ouvrable. Assurance : inclus dans les frais d’expédition. Frais d’assurance : 0,00. Exclure des lieux de livraison. Lieux exclus : Aucun lieu n’est exclu. Méthodes de paiement acceptées. Virement bancaire : (IBAN : FR76 3000 4008 8200 0100 2373 669 ; BIC : BNPAFRPPPRG). Contactez-nous pour toute question. L’item « La duchesse de Berry évoque l’exil du comte de Chambord et sa tristesse » est en vente depuis le samedi 3 octobre 2020. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Autographes\Personnalités historiques ». Le vendeur est « lettresautographes » et est localisé à/en Paris. Cet article peut être livré partout dans le monde.
La duchesse de Berry évoque l'exil du comte de Chambord et sa tristesse

LETTRE MANUSCRITE AVEC CACHET AUX ARMES DUCHESSE DE SULLY AU DUC c. 1690

LETTRE MANUSCRITE AVEC CACHET AUX ARMES DUCHESSE DE SULLY AU DUC c. 1690

LETTRE MANUSCRITE AVEC CACHET AUX ARMES DUCHESSE DE SULLY AU DUC c. 1690
Pour Tous Renseignements, je suis à votre disposition par téléphone au 06 09 82 43 86. Référence : 3412.2016.02. DUCHESSE DE SULLY (de COURVILLE). LETTRE MANUSCRITE AVEC CACHET de DEUIL AUX ARMES. AU DUC DE SULLY PAIR DE FRANCE Chevalier de la Toison d’Or. En son hôtel ruë des Vieilles Tuileries faux bourg St Germain à Paris. Lettre autographe vers 1690, sur 2 ff. De 4 pages manuscrites avec CACHET ARMORIE des Béthune Sully, plié en forme de billet adressé par la Duchesse de Sully au Duc de SULLY pair de France, Chevalier de la Toison d’Or en son hôtel ruë des Vieilles Tuileries faux bourg St Germain à Paris. Vous voilà donc content Monsieur le pluie et le vent ont tellement acomodé les chemins qu’on ne peut passer ainsi nous voilà icy tant qu’il plaira à dieu il faloit me dire sincerement que vous voulié que je reste icy mais cela ne fera nu épargne y estant toute seule manquamnt de tout vous scavé que je vous ay dit que par le temps qu’il faisoit il faloit prendre less instant et ceux de ma santé’jay eu de la fievre tout hyer et point de someil et ayant retardé votre voyage pour votre comodité et ayant trouvé le moment de passer il faloit s’en aller tous ensemble et je croit que cela devoit venir de vous et partant tous le jeudy vous serié arrivé de même le samedy. Je ne sais dont plus trop bien traité car voilà la premièrefois qu’on ma laissé.. Les gages je vous souhaite un bon voyage il y a aparences que je ne vous veré pas avant vous… Qu’il ne me fit de la peine par amitié pour vous dire… Mais je ne m’attendoit pas qu’il se trouva de cette façon pour moy votre fille resetera toute seule à paris, vou sluy diré vos intention pour vos affaires je suis bien sincerement toute à vous. J’ay de plus à tous le reste les mavuais chevauyx pas le meilleur postillon ils sont arrivé.. Come rendu je souhaite que le peu dargent que jay me mene jusque à mon arrivé à paris si cela est long. A vilbon ce dimanche 11 décembre je crois mon amitié pour Vilbon perdu. J’ay esté très malade toute la nuit et je suis très jaune ce matin, la bile me monte jusquà la gorge depuis votre départ je nay pas mangé ne je peut avaler et quoique acoutumé au chagrin celui cy me me surmonte au pont que je ne scay ce qui marivera. Le boucher hyer a pencé rester dans les caves je ne scay si nous aurons de la viande demain cela est pire qu’il y a huit jours et cest a cause que vous l’aviez éprouvé que vous devie prendre l’instant pour nous dautant plus que l’on ne fait rien le dimnache. Est très chagrine dans la pensée que je ne luy reste malade et on ne pouroit aller chercher du secours si je narive pas il faut me renvoyer ma valise car je paye rien icy…… Il ne falloit pas au moins faire partir la charette si vite et faire des reflexions pour les autres come pour soy. Le prince a bien voulu passer et ma aporté mes lettres ainsi put réondre à celle de ma fille et vous prie de luy mender que je ne scay quand je la veray. ETONNANTE LETTRE DE FORTS REPROCHES AU DUC DE SULLY. LA DUCHESSE SE PLAINT DE SA MALADIE, DU COMPORTEMENT DU DUC DE SULLY ET D’ETRE BLOQUEE SANS ARGENT NI BAGAGE ET NE POUVANT REVENIR A PARIS. LETTRE SANS PONCTUATIONS. Thème(s) trouvé(s) : Aucun. Track Page Views With. Auctiva’s FREE Counter. L’item « LETTRE MANUSCRITE AVEC CACHET AUX ARMES DUCHESSE DE SULLY AU DUC c. 1690″ est en vente depuis le jeudi 18 avril 2019. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Autographes\Personnalités historiques ». Le vendeur est « bernlecture » et est localisé à/en Blet. Cet article peut être livré partout dans le monde.
LETTRE MANUSCRITE AVEC CACHET AUX ARMES DUCHESSE DE SULLY AU DUC c. 1690

Arrivée et séjour de S. A. R. MADAME DUCHESSE DANGOULÊME. Affiche Nantes. 1823

Arrivée et séjour de S. A. R. MADAME DUCHESSE DANGOULÊME. Affiche Nantes. 1823
Arrivée et séjour de S. A. R. MADAME DUCHESSE DANGOULÊME. Affiche Nantes. 1823
Arrivée et séjour de S. A. R. MADAME DUCHESSE DANGOULÊME. Affiche Nantes. 1823
Arrivée et séjour de S. A. R. MADAME DUCHESSE DANGOULÊME. Affiche Nantes. 1823
Arrivée et séjour de S. A. R. MADAME DUCHESSE DANGOULÊME. Affiche Nantes. 1823
Arrivée et séjour de S. A. R. MADAME DUCHESSE DANGOULÊME. Affiche Nantes. 1823

Arrivée et séjour de S. A. R. MADAME DUCHESSE DANGOULÊME. Affiche Nantes. 1823
Arrivée et séjour de S. Affiche imprimée à Nantes, chez Mellinet-Malassis. Pour larrivée de la Duchesse dAngoulême à la Porte de Pont-Rousseau, le 19 septembre 1823. Par le Maire L. Belle Affiche avec gravure de médaillon aux Armes de France, sur papier vergé de lépoque, format 45 x 60cm. L’item « Arrivée et séjour de S. A. R. MADAME DUCHESSE DANGOULÊME. Affiche Nantes. 1823″ est en vente depuis le lundi 12 mars 2018. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Autographes\Personnalités historiques ». Le vendeur est « lg44noir » et est localisé à/en Nantes. Cet article peut être livré partout dans le monde.
Arrivée et séjour de S. A. R. MADAME DUCHESSE DANGOULÊME. Affiche Nantes. 1823