1716 Nomination Annonay Archevêque de Vienne ex-libris

1716 Nomination Annonay Archevêque de Vienne ex-libris
1716 Nomination Annonay Archevêque de Vienne ex-libris
1716 Nomination Annonay Archevêque de Vienne ex-libris
1716 Nomination Annonay Archevêque de Vienne ex-libris
1716 Nomination Annonay Archevêque de Vienne ex-libris
1716 Nomination Annonay Archevêque de Vienne ex-libris
1716 Nomination Annonay Archevêque de Vienne ex-libris

1716 Nomination Annonay Archevêque de Vienne ex-libris
Document portant nomination de M. André CHABERT, curé de l’église paroissiale et collégiale d’Annonay en remplacement de Jean Moyret. Signé de François de Berton des Balbes de Crillon, archéveque de Vienne de 1714 à son décès le 30/10/1720. Petits défauts, quelques taches d’encre au revers apparaissant faiblement à travers le papier. Cachet épiscopal plaqué sous papier. Une notice de quelques lignes est jointe portant l’ex-libris de Charles Jaillet. Si vous avez des interrogations, merci de me poser vos questions en me laissant le temps d’y répondre. N’hésitez pas à grouper vos achats.
1716 Nomination Annonay Archevêque de Vienne ex-libris

Charles BAUDELAIRE Lettre autographe signée Flaubert 1857 Fleurs du mal

Charles BAUDELAIRE Lettre autographe signée Flaubert 1857 Fleurs du mal
Charles BAUDELAIRE Lettre autographe signée Flaubert 1857 Fleurs du mal
Charles BAUDELAIRE Lettre autographe signée Flaubert 1857 Fleurs du mal
Charles BAUDELAIRE Lettre autographe signée Flaubert 1857 Fleurs du mal
Charles BAUDELAIRE Lettre autographe signée Flaubert 1857 Fleurs du mal
Charles BAUDELAIRE Lettre autographe signée Flaubert 1857 Fleurs du mal

Charles BAUDELAIRE Lettre autographe signée Flaubert 1857 Fleurs du mal
Belle provenance : succession de Félicité Baudelaire. Une demi-page sur un double feuillet in-8 avec adresse autographe. Restauration de la déchirure de décachetage. Taille 21 x 27 cm. Cette lettre fut rédigée la veille du dépôt légal des Fleurs du Mal le 12 juin 1857. La « copie » que Baudelaire promet de livrer est vraisemblablement son article sur Madame Bovary dont la publication fut retardée pendant quelques mois, sa longueur dans L’Artiste est exactement de huit colonnes, comme. Le précise dans la lettre. Le texte sera finalement publié le 18 octobre 1857. L’Artiste avait précédemment publié trois poèmes des Fleurs du mal peu avant notre lettre, le 10 mai 1857 : L’Héautontimoroumenos, L’Irrémédiable et Francisca mea laudes. Je vous enverrai la moitié de la copie à 2 heures, et je vous posterai la fin à l’heure du dîner. Ayez l’obligeance de me dire si cela peut suffire comme rapidité. Un total de 8 col. [colonnes] à peu près. Je suis sûr de mon exactitude. Quai des Augustins 55. Ou à la personne chargée de la mise en pages de l’Artiste. Baudelaire, très jeune, s’enticha d’elle. En 1846, âgé de 25 ans, le poète entreprit de courtiser sa belle-sour et lui envoya son Choix de maximes consolantes sur l’amour avec une lettre galante à demi-mot, dans laquelle il se présente comme « un partisan de l’amour d’Antony », autrement dit de l’adultère, et invite l’épouse de son demi-frère à « être [s]a providence dans la carrière qui s’offre à [lui] par le canal de l’amour. » Corr. Pour Claude Pichois, il s’agit là d’un « jeu gentiment pervers », voire d’une « ironique vengeance », visant à l’embarrasser et à provoquer son demi-frère, qui a approuvé sa mise sous tutelle. Que Baudelaire fût épris de Félicité ou non, il fit d’elle sa muse, puisqu’elle lui inspira un petit « cycle » de trois poèmes, étudiés récemment par Andrea Schellino – et qu’elle passe également pour avoir servi de modèle au personnage de Mme de Cosmelly dans la nouvelle La Fanfarlo, parue en 1847. Après la mort d’Alphonse, en 1862, Félicité renoua avec Caroline Aupick, installée à Honfleur. Ce fut elle qui tint Charles Asselineau au courant de l’état de santé puis de la mort de la mère de Baudelaire durant l’été 1871. Elle hérita d’une partie des biens de Mme Aupick en 1871, et en particulier de documents intimes et de lettres de jeunesse de Charles, qui furent conservés dans sa famille après sa mort en 1902. » (Source : Alde, notes à propos de « Souvenirs provenant de Félicité Baudelaire »).
Charles BAUDELAIRE Lettre autographe signée Flaubert 1857 Fleurs du mal

Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare

Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare
Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare
Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare
Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare
Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare
Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare
Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare
Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare
Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare
Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare
Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare
Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare
Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare
Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare
Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare
Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare
Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare
Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare

Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare
Cahier renfermant une étude manuscrite intitulée « Quelques observations sur la force maritime actuelle» envoyée par l’ Amiral François Edmond PÂRIS à l’Amiral GUILLOIS en 1857. Cahier 22×28 cm, couverture abîmée, 35 pages écrites à la plume, autographe de l’auteur identique à celle figurant sur des documents publiés sur Gallica, le titre de cette étude technique n’apparait pas sur la liste de son ouvre également sur Gallica. D’autres documents de marine de cette époque disponibles. Mots-clé: Marine de guerre, navires cuirassés, navigation. Notebook containing a handwritten study entitled « Some observations on the current maritime force » sent by Admiral François Edmond PÂRIS to Admiral GUILLOIS in 1857. Notebook 22×28 cm, damaged cover, 35 pages written in pen, autograph of the author identical to that appearing on documents published on Gallica, the title of this technical study does not appear on the list of his work also on Gallica. Port avec assurance gratuit pour la France, Belgique et Luxembourg en Point Relais. Envoi sitôt réception du règlement. Remise en mains propres possible.
Marine, Amiral Edmond PRIS, Etude manuscrite autographe, 35 pages, 1857, Rare

Année 1810, Lettre Manuscrite Période Napoléonique, Grande R@RIT@’-4422

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Année 1810, Lettre Manuscrite Période Napoléonique, Grande R@RIT@'-4422
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Victor HUGO Lettre autographe signée Théodore de Banville Guernesey

Victor HUGO Lettre autographe signée Théodore de Banville Guernesey
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Victor HUGO Lettre autographe signée Théodore de Banville Guernesey
Victor HUGO Lettre autographe signée Théodore de Banville Guernesey
Victor HUGO Lettre autographe signée Théodore de Banville Guernesey

Victor HUGO Lettre autographe signée Théodore de Banville Guernesey
Lettre autographe signée de Victor Hugo à Théodore de Banville. Une page in-8° sur papier bleu. « Mon poète, je vous aime, car vous êtes un grand cour en même temps qu’un grand esprit. Amicale et chaleureuse lettre de Victor Hugo à son ami Théodore de Banville, le félicitant de la parution de sa comédie Florise. 22 avril [Hauteville House, 1870]. C’est charmant, c’est gai, c’est marrant. Oh, le doux et sombre poème! J’en ai l’esprit épanoui et le cour serré! Je relirai souvent cette Florise. Par exemple, il y a une faute d’impression page 132, nous l’essairons pour nous l’essairions. Le poème exquis, embaumé, flamboyant, vivant est sorti de mes quatre vers comme la tulipe sort de l’oignon. La vôtre tulipe, à vous, a le parfum. Mon poète, je vous aime, car vous êtes un grand cour en même temps qu’un grand esprit. J’aurais besoin d’une apparition comme la vôtre dans ma solitude. Vous faites ouvre sur ouvre, bravo, il vous sort des étoiles de la tête. Je voudrais voir jouer Florise. Quelques semaines après cette lettre, le 5 septembre 1870, Victor Hugo revint enfin en France, mettant un terme à près de vingt années d’exil. La lettre vient avec un élégant cadre en bois noir à coins rebouchés et fenêtre au dos laissant apparaître le nom du destinataire de la main de Victor Hugo. (Verre anti-UV et anti reflet). On joint un exemplaire de l’édition originale de Florise (1870), contenant bien la faute que relève Victor Hugo, avec envoi autographe de Théodore de Banville à Paul Foucher, également proche de Victor Hugo.
Victor HUGO Lettre autographe signée Théodore de Banville Guernesey

Jean-Louis ALIBERT. Hôpital Saint-Louis. Paris. 1810. Ordonnance signée

Jean-Louis ALIBERT. Hôpital Saint-Louis. Paris. 1810. Ordonnance signée
Jean-Louis ALIBERT. Hôpital Saint-Louis. Paris. 1810. Ordonnance signée
Jean-Louis ALIBERT. Hôpital Saint-Louis. Paris. 1810. Ordonnance signée

Jean-Louis ALIBERT. Hôpital Saint-Louis. Paris. 1810. Ordonnance signée
Ordonnance à en-tête de l’Hôpital Saint-Louis à Paris (« médecin-chirurgien en chef ») où le médecin exerça avant d’être nommé au service de Louis XVIII, puis Charles X. Datée et signée, 19 juillet 1810. Le médecin recommande à sa patiente Magdelaine Gaillard de manière « urgente » douches et bains de Tivoli (rue St-Lazare, Paris). Bon état, petits plis.
Jean-Louis ALIBERT. Hôpital Saint-Louis. Paris. 1810. Ordonnance signée