Ebauches Autographes Jean Cocteau Sur Photographies Et Cpa

Ebauches Autographes Jean Cocteau Sur Photographies Et Cpa
Ebauches Autographes Jean Cocteau Sur Photographies Et Cpa
Ebauches Autographes Jean Cocteau Sur Photographies Et Cpa
Ebauches Autographes Jean Cocteau Sur Photographies Et Cpa
Ebauches Autographes Jean Cocteau Sur Photographies Et Cpa
Ebauches Autographes Jean Cocteau Sur Photographies Et Cpa

Ebauches Autographes Jean Cocteau Sur Photographies Et Cpa
AU VERSO DE PHOTOGRAPHIES D’OBJETS EROTIQUES TROUVES A POMPEI. SANS LIEU NI DATE. 4 PHOTOGRAPHIES AU TIRAGE ARGENTIQUE ET UNE CARTE POSTALE. POUR TOUS RENSEIGNEMENTS, NOUS CONTACTER. L’item « EBAUCHES AUTOGRAPHES JEAN COCTEAU SUR PHOTOGRAPHIES ET CPA » est en vente depuis le jeudi 18 mai 2017. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Lettres ». Le vendeur est « hubac7″ et est localisé à/en achicourt. Cet article peut être expédié au pays suivant: France.
Ebauches Autographes Jean Cocteau Sur Photographies Et Cpa

Jules Bertaut littérature correspondance 12 lettres autographes signées lot

Jules Bertaut littérature correspondance 12 lettres autographes signées lot
Jules Bertaut littérature correspondance 12 lettres autographes signées lot
Jules Bertaut littérature correspondance 12 lettres autographes signées lot
Jules Bertaut littérature correspondance 12 lettres autographes signées lot
Jules Bertaut littérature correspondance 12 lettres autographes signées lot
Jules Bertaut littérature correspondance 12 lettres autographes signées lot
Jules Bertaut littérature correspondance 12 lettres autographes signées lot
Jules Bertaut littérature correspondance 12 lettres autographes signées lot
Jules Bertaut littérature correspondance 12 lettres autographes signées lot
Jules Bertaut littérature correspondance 12 lettres autographes signées lot

Jules Bertaut littérature correspondance 12 lettres autographes signées lot
12 lettres autographes signées. Soit 24 pages écrites entre décembre 1940 et avril 1943 de Cagnes-sur-Mer. Intéressante correspondance relative aux relations éditoriales que Bellet et Bertaut entretiennent au sujet de la Revue du Tarn et des projets darticles et douvrages. La correspondance est parsemée de notes de Bertaut sur la situation de la France occupée. Seule la première lettre est à len-tête du journal. Bertaut étant en zone libre : «. Je suis en zone libre, ce qui me permet de continuer ma collaboration au Temps. Il sintéresse au personnage de Las Casses et souhaiterait rassembler de la documentation et écrire dessus. Dans les autres lettres, il cite son ouvrage sur Madame de Genlis (publié en 1941 chez Grasset), remercie Bellet lorsquil va à Paris de « daller voir son appartement ». Il est toujours intéressé par ce qui se passe à Paris, les difficultés de ravitaillement, mais, il précise : « Dans notre coin, nous sommes bien mal ravitaillés, nous aussi ». Il envie Bellet « daller et venir entre les deux zones ». Il a envoyé son étude sur Las Casses et la commente de même que ses sources bibliographiques. Il ne sait pas combien demander comme rétribution 1 000 francs? Bertaut est toujours intéressé par échanger sur les problèmes politiques. Il est perplexe comme son correspondant sur une entente avec lAllemagne mais se résout : «. Au reste avons-nous le choix et pouvons-nous nous montrer difficile? Et puis un renversement des alliances nest pas une chose aussi rare. Il cite son ami Bellessort quil na pas pu voir en zone libre. « Cest un de mes amis que jaime beaucoup et au jugement duquel je me fie bien souvent ». Son article sur Las Casses va sortir en brochure éditée par la. Il y a des problèmes de papier pour les éditions de livres, notamment la version corrigée de son ouvrage Madame de Genlis que Grasset reporte de trimestre en trimestre. Il cite un autre livre en cours sur Madame de Tellien (qui sera publié en 1946). Il demande à Bellet de faire une démarche auprès dun éditeur «. En lespèce lancienne maison Calman Levy. Jappréhende comme vous lextension de la botte sur notre territoire qui deviendrait une fois de plus un champ de bataille et je souhaite ardemment que lorage sélargit de nos côtés. Mais je ne puis mempêcher de constater que si la guerre se prolonge seulement deux ans, les deux tiers des villes de lEurope seront détruites en quasi-totalité! Spectacle effarant auquel lhumanité assiste avec une placidité déconcertante qui prouverait que la destruction est bien son destin. Le pays est très difficile à tous points de vue et ne se prête pas à la culture, petite ou grande, malgré le soleil. Tout cela devient de plus en plus difficile. On me dit, du reste, quil en est de même à Paris et quil est impossible dy vivre sans le recours denvois de vivres. Les restaurants ont beaucoup, paraît-il, augmenté leur prix et on y mange de plus en plus mal. Je ne vous parle pas de ceux de Nice : cest une infamie. Il serait grand temps que tout cela finisse car nous allons à la négation de tout. L’item « Jules Bertaut littérature correspondance 12 lettres autographes signées lot » est en vente depuis le lundi 15 mai 2017. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Lettres ». Le vendeur est « christophe6584″ et est localisé à/en Paris. Cet article peut être livré partout dans le monde.
Jules Bertaut littérature correspondance 12 lettres autographes signées lot

Robert de Flers Lot Lettres autographes signées Marthe Régnier XIX eme

Robert de Flers Lot Lettres autographes signées Marthe Régnier XIX eme
Robert de Flers Lot Lettres autographes signées Marthe Régnier XIX eme
Robert de Flers Lot Lettres autographes signées Marthe Régnier XIX eme
Robert de Flers Lot Lettres autographes signées Marthe Régnier XIX eme
Robert de Flers Lot Lettres autographes signées Marthe Régnier XIX eme
Robert de Flers Lot Lettres autographes signées Marthe Régnier XIX eme

Robert de Flers Lot Lettres autographes signées Marthe Régnier XIX eme
Lot – Lettre autographe signée par Robert de Flers, adressée à Marthe Régnier, sans lieu, sans date (fin XIX eme / début XX ème) 1 p. Lettre autographe signée par Robert de Flers, adressée à « Mon cher ami », sans lieu, sans date (fin XIX eme / début XX ème) 3 pp – Lettre autographe signée par Robert de Flers, adressée à « Mon cher ami », sans lieu, sans date (fin XIX eme / début XX ème) 1 p. L’item « Robert de Flers Lot Lettres autographes signées Marthe Régnier XIX eme » est en vente depuis le mercredi 8 avril 2015. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Lettres ». Le vendeur est « tituslancien2202″ et est localisé à/en Paris. Cet article peut être expédié au pays suivant: France.
  • Nombre de documents: 1
  • Nombre de pages: 1

Robert de Flers Lot Lettres autographes signées Marthe Régnier XIX eme

Politique lot 14 lettres autographes signées Charles Duclerc à Comtesse Beaumont

Politique lot 14 lettres autographes signées Charles Duclerc à Comtesse Beaumont
Politique lot 14 lettres autographes signées Charles Duclerc à Comtesse Beaumont
Politique lot 14 lettres autographes signées Charles Duclerc à Comtesse Beaumont
Politique lot 14 lettres autographes signées Charles Duclerc à Comtesse Beaumont
Politique lot 14 lettres autographes signées Charles Duclerc à Comtesse Beaumont

Politique lot 14 lettres autographes signées Charles Duclerc à Comtesse Beaumont
Député de la gauche modérée, il fut ministre des Finances de la II. 14 lettres autographes signées + 1 enveloppe. 9 lettres sont à en-tête de la présidence du conseil, 3 à en-tête du Sénat. La comtesse lui demande des services, principalement dobtenir des décorations. Parfois, Charles Duclerc évoque la situation politique. La correspondance est avant tout amicale, Duclerc étant tombé sous le charme de Jeanne de Castries-Beaumont. En-tête estampé à son domaine « Bramepan ». « La démarche que vous désirez, faite de vive voix eut été sans doute plus efficace que par écrit Bien sûr jignore qui a recommandé M. Blanc : je ne veux savoir quune chose, cest que vous voulez, vous que ce ruban lui soit donné. Espérant que [Pierre Edmond] Teisserenc [de Bord, ministre de lagriculture] comprendra qu’il est nécessaire que votre volonté soir faite ». « Soit, nous ne causerons pas politique, mais je ne crois pas que comme vous le dites, vous soyez parvenue à vous en désintéresser tout à fait. Vous avez lâme trop grand pour cela. Quant à amoi, jaime aussi la France et comme je suis tenace, je laimerai tant que je vivrai ». En-tête de la présidence du Conseil. « Réponse : des croix militaires et des croix civils. Je vais cependant montrer votre lettre à Billot [sans doute le sénateur]. « Jai rempli vos ordres auprès du Ministre de lInstruction publique. Il ne connaît pas, ma-t-il dit, Monsieur de Lostalot. Je lui ai témoigné ma surprise et lai prié de se renseigner, jai dailleurs insisté. Pour Baudry, je dois déclarer quil le connaît. Par conséquent, il a pour lui la meilleure disposition. Il sexcuse : « une maladresse ma mis dans mon lit une entorse au genou ». Ce quil a demandé de la part de la comtesse avec insistance à un certain M. Duvaux [peut-être Jules Duvaux] na pas été pris en considération. « Jai enfin lespoir que bien des gens penseront comme vous que le patriotisme seul et la plus entière abnégation étaient seule capable de me faire accepter le redoutable fardeau qui pèse aujourdhui sur mes épaules. « avais-je besoin de vous dire que jai fait vos deux commissions et vous aurez la réponse de lInstruction publique et des Beaux-Arts dès que je laurai ». « si la démagogie parvient à prendre la République ce ne sera point ma faute ». 3 août septembre 1882. Il accepte son invitation et sera heureux de serrer la main à Decazes le duc Decazes? Il va « se dégager dun rendez-vous [quil a] eu la maladresse daccepter pour ce soir de 8 à 9 » pour venir chez elle. Il va passer chez elle. Il attendait la réponse du ministère de la Guerre qui ne se hâtait pas assez. Il aura cette réponse demain. Il espère quelle sera telle que sa correspondant désire. « Je vous aime toujours mieux que votre portrait ». Il désire, le premier, lui souhaiter ses meilleurs vux pour la prochaine année. « La dernière lettre que vous mavez écrite ma fait de la peine. Vous avez lair de douter que jai fait tout ce qui était de mon pouvoir pour vous satisfaire. « Non, il ne faut pas moublier car je suis bien au fond du cur, votre ami ». « Merci de ce que vous me dites de mon passage au Quai dOrsay. Il ma coûté cher ; mais, moi aussi, jai la confiance que je nai pas à la regretter. Seulement, ce nest pas à recommencer. Rapportant une conversation avec Decazes, il écrit : « elle moublie et je commence à croire quelle ne maime plus du tout. » Elle reçoit une lettre de la comtesse le lendemain Il ira la voir après avoir fait sa rentrée au Sénat mais « avant la discussion qui vous intéresse et surtout avant le vote ». Envoi GRATUIT en FRANCE. L’item « Politique lot 14 lettres autographes signées Charles Duclerc à Comtesse Beaumont » est en vente depuis le mercredi 29 mars 2017. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Lettres ». Le vendeur est « christophe6584″ et est localisé à/en Paris. Cet article peut être livré partout dans le monde.
  • Type: Lettre, Correspondance
  • Thème: Histoire, Politique

Politique lot 14 lettres autographes signées Charles Duclerc à Comtesse Beaumont

Lot Hector Malot Lettres autographes signées Photographie Nadar

Lot Hector Malot Lettres autographes signées Photographie Nadar
Lot Hector Malot Lettres autographes signées Photographie Nadar
Lot Hector Malot Lettres autographes signées Photographie Nadar
Lot Hector Malot Lettres autographes signées Photographie Nadar
Lot Hector Malot Lettres autographes signées Photographie Nadar
Lot Hector Malot Lettres autographes signées Photographie Nadar
Lot Hector Malot Lettres autographes signées Photographie Nadar
Lot Hector Malot Lettres autographes signées Photographie Nadar
Lot Hector Malot Lettres autographes signées Photographie Nadar
Lot Hector Malot Lettres autographes signées Photographie Nadar
Lot Hector Malot Lettres autographes signées Photographie Nadar

Lot Hector Malot Lettres autographes signées Photographie Nadar
LOT Hector Malot, Lettres autographes signées, plus une photographie d’époque de l’auteur par Nadar. Photographie dHector Malot, par Nadar, Exposition 1900, Hors-concours , Paris 11x16cm TRÈS BON ÉTAT , quelques petites piqures. S de Marthe Malot, femme de l’écrivain, à un docteur, Vendredi 6 avril 10h du matin, sans l’année, 4pp. Elle évoque les soucis de santé de son mari, elle décrit ses selles, ses nuits agitées et indique même sa température. Bien qu’il n’y ait pas d’année, il s’agit peut-être des dix dernières années d’Hector Malot, mais ce n’est qu’une supputation. S d’Hector Malot, Fontenay-sous-Bois, le 18 février 00 (1900), 6 pp, adressée son docteur à propos de Saint-Simon. Hector Malot joint avec ça lettre un extrait des « mémoires » de Saint-Simon, recopié sur autre feuille par la fille d’Hector Malot. D’Hector Malot, Fontenay-sous-Bois, le 21 février 00 (1900), 6 pp, adressée son docteur à propos de Saint-Simon et sur diverse personnalités de l’histoire de France. L’item « Lot Hector Malot Lettres autographes signées Photographie Nadar » est en vente depuis le jeudi 11 septembre 2014. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Lettres ». Le vendeur est « tituslancien2202″ et est localisé à/en Paris. Cet article peut être expédié au pays suivant: France.
  • Type: Lettre, Correspondance
  • Epoque: Belle Epoque
  • Nombre de documents: 4

Lot Hector Malot Lettres autographes signées Photographie Nadar

2 Lettres autographes signées Pauline Duchambge 1844

2 Lettres autographes signées Pauline Duchambge 1844
2 Lettres autographes signées Pauline Duchambge 1844
2 Lettres autographes signées Pauline Duchambge 1844
2 Lettres autographes signées Pauline Duchambge 1844

2 Lettres autographes signées Pauline Duchambge 1844
2 lettres – Lettre autographe signée de Pauline Duchambge, 1844 – Lettre autographe signée de Pauline Duchambge, sans lieu, ni date BON ÉTAT. L’item « 2 Lettres autographes signées Pauline Duchambge 1844″ est en vente depuis le mardi 24 novembre 2015. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Lettres ». Le vendeur est « tituslancien2202″ et est localisé à/en VINCENNES. Cet article peut être expédié au pays suivant: France.
  • Nombre de documents: 2
  • Nombre de pages: 2

2 Lettres autographes signées Pauline Duchambge 1844

8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894

8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894

8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
Lettre non daté, non située décembre 1889? Mon cher ami, le vendredi 21. Je serai pris par une des dernières répétitions du Petit Théâtre : je ne pourrai donc aller au Dîner Occulte. Mes vendredis étant pris ensuite par les représentations, je ne pourrai assister quau dîner de janvier ou février. Le mardi 25 a lieu une représentation pour nos souscripteurs seuls, sans journalistes, affiches, annonces ni compte-rendu. Ou préférez-vous assister à la 1. (pour la presse & le public) le vendredi 28? Jaurai plus de plaisir à cette dernière représ[entation] ; mais il y aura toujours un fauteuil pour vous le mardi 25 si vous le désirez. Je vous annonce avec satisfaction que je me suis marié récemment, ce qui ma délivré de bien des soucis. Je nai prévenu personne officiellement, mais mon amitié pour vous me fait un devoir de vous instruire de cette nouvelle. Tout à vous, cher ami, & à bientôt. Lettre sans date fin dannée. (Probablement fin décembre 1889). Mon cher Uzanne, je pars ce soir pour Alger. Ce qui mempêche, à mon vif regret, dassister au 2me Dîner Occulte. Je pense que Richepin. Ne pourra en être! Son père est très malade en ce moment, à La Fère. Je profiterai bientôt de la très amicale proposition que vous mavez faite de mettre dans le Livre. Notre boniment sur le Petit Théâtre. Cela peut nous être utile ; & nous avons grand besoin de trouver qqs souscripteurs. Ira vous voir un de ces matins, dès que nos prospectus seront imprimés, & il vous enverra le paquet quand vous voudrez. Grand merci davance & mille amitiés de fin dannée. Est venu très gracieusement au Petit Théâtre. Il a paru satisfait : mais cest un homme tellement poli que sil sétait mortellement ennuyé on nen aurait rien su. Pourriez [vous], dans le n° auquel seront joints nos prospectus, faire passer une note sur ma traduction 4 à 5 lignes – & où on dirait un mot des représentations? Ainsi vos lecteurs seraient avertis. Du reste je ne voudrais pas être indiscret. Faites, je vous prie, comme vous jugerez convenable de le faire. Lettre non datée, non située (probablement 1889 ou 1890). Mon cher Uzanne, merci bien pour les lignes trop amicales que vous avez consacrées dans le Livre à ma traduction de la Tempête. & surtout pour votre extrême obligeance à légard de mon ami Signoret & de notre Petit-Théâtre. Vers le 25 & jespère vous voir à notre première, le 1. Je ne pourrai malheureusement pas assister au Dîner Occulte dAvril, vendredi étant un de nos jours de pitrerie, mais jirai sûrement à celui de Mai. Dit sêtre fort amusé à lavant-dernier. Nous avons eu ici de la pluie en masse ; depuis hier on crève de chaud. Le soleil est brave tout de même. Elle est à prendre à la main, cest un astre à 3 dimensions, & non pas un clou peint sur le ciel. Elle est blanche, énorme & radieuse. Dailleurs, cest ainsi partout en ce moment mais ici les nuits sont souvent dune pureté merveilleuse, & tous les diamants vivants font peur à force déclat & de scintillement. Je me bourre des Evangiles pour le 2. Croyez-vous que Renan appelle disons « une personne supérieure. » quel langage de curé! Il dit aussi que, dans un tel sujet « lédification coule à pleins bords » nempêche quil a joliment du talent, ce bougre-là. Mais je trouve quil rapetisse les choses à force de les arrondir. Bien à vous & à bientôt. Lettre non datéé, non située (2 février 1890). Cher ami, merci bien pour larticle. Je suis aussi peu bibliophile que possible, & très ignare en la matière. Cependant, pour vous prouver ma bonne volonté, je vous envoie une ballade. Faite cette nuit & ce matin à votre intention. Jai pris la chose à un point de vue aussi général que possible, étant incapable de parler vieilles éditions elzéviers je doute que cela fasse votre affaire. Et puis, jai la tête & mon temps tellement pris, que jai bien pu écrire une parfaite couillonnade. Faites en ce que vous voulez! Jai écrit à Kolb. Je croyais que vous aviez Tobie. Si votre exemplaire a été égaré, je vous en donnerai un autre. Je voudrais bien que le dîner ait lieu le 20 décembre ; ou quil y en eût un au début de janvier ; car je compte me reposer quelques jours à Marseille en janvier. En tout cas, je ferai mon possible pour être des vôtres le plus tôt possible. Quelques temps après le 2 février 1890. Lettre non datée, non située (quelques temps après le 2 février 1890). Cher ami, je suis très heureux que ma ballade. Ait pu faire votre affaire. Si vous prenez un rendez-vous avec M. Qui est à Paris, voulez-vous me faire signe? Je serais heureux de faire sa connaissance. Jai reçu une charmante lettre de Lord Lytton. Qui me dit être souffrant. Inutile de vous dire que jirai avec joie au Dîner Occulte, que vous avez eu la gentillesse de retarder à cause de moi. Il nest cependant pas tout à fait certain que je puisse y assister, parce que Signoret. Voyant arriver tardivement un peu de public payant, & désireux de faire les frais si possible, à lintention de donner 1, 2 ou 3 représentations supplémentaires. Sil y en a 3, la 3. Sera justement le vendredi 20. Et en ce cas je ne serais pas libre. Cest là, vous le voyez, un cas de force majeure, très imprévu. Mais rien nest encore décidé, & jespère pouvoir être des vôtres tout en espérant le contraire. Jugez de létat de mon âme! En tous cas, je vous prierai de mexcuser pour me dérober ainsi très involontairement. Lettre non datée, non située (1892). Cher ami, je suis ravi de vous savoir prêt à partir pour Londres ; je pars dimanche avec Aspol. Jirai tout droit à Portland place, Langham hôtel. Je crois que je renoncerai au Lodging, parquAspol partira jeudi de Londres, sans doute pour revenir qqs jours après. Il restera donc à lhôtel, nayant pas de semaine complète à passer à Londres, & je ne veux pas labandonner. Moi-même je resterai une semaine et demie. Il me faudrait donc re-déménager, ce serait peu pratique. Jirai donc à Langham hôtel, décidé à y rester, si le prix nest pas excessif. Figurez-vous que jai écrit hier à Lady Brooke. Que vous étiez à Venise. & que jallais à Londres sans vous! Je vous croyais prêt à partir pour Venise, & votre concierge ma dit avant-hier que vous étiez en voyage. Alors jai cru la chose faite. Demain soir, avec Bouffe, 1èere dEros. Pièce à laquelle jai collaboré jen ai fait les vers sous le voile de lanonymat Donc impossible [de] partir avant dimanche matin. Jai beaucoup de choses à faire à Londres! Je suis ravi de vous savoir assez bien pour partir ainsi à limproviste. A bientôt donc & tout à vous. Lettre située Paris, 8 mai 18(93). Mon cher ami, jai lu vos 2 articles. Avec un vif plaisir : ils ont été très lus ici & ont fait sensation. A paru ce matin. Je vois avec plaisir que vous prenez gaîment ce voyage & quil vous laissera maints souvenirs qui ne seront perdus ni pour lhomme ni pour lécrivain. Jai reculé mon départ jusquau 20 mai, ce qui me fait craindre hélas! De vous manquer à N. Jy serai le 28, sil plait à Dieu, & jirai à lhôtel Martin, University place. Vous seriez bien aimable de my écrire un mot pour me faire quelque recommandation pratique sil y a lieu. Je pense aller à Chicago à Wellington hotel, Wabash avenue, où je connais vaguement quelquun. Si néanmoins vous me donnez une autre indication, avec chiffres à lappui, je la pèserai sérieusement. Je tiens à lEuropean style, c. À manger hors de lhôtel. Je nai pu obtenir aucune réduction de la Cie Transatl. [antique] qui a, de plus, augmenté ses prix. Je sais que vous-même vous avez eu des difficultés pour obtenir votre passage. Jespère avoir au moins un permis de circulation pour lExposition. Mais je nai rien encore. Si je partais les mains vides, à qui pensez-vous que je devrais madresser, soit à N. York soit à Chicago? Pardon de mettre ainsi votre amitié à contribution. Je suis très épouvanté des frais que jaurai. Jai réuni nos amis les Sympathistes. Vendredi dernier chez Lapeyrouse. Au prix de 10 fr. Par tête, cigares à part. Outre les dîneurs dont vous avez la liste imprimée, javais convié Legendre, plus Bodin & Boniface auteurs de la Tante Léontine, & forts braves gens. Nous étions 12, et jai bu à votre santé. Mille bonnes amitiés, mon cher Uzanne. Bouchor, hotel Martin, New York. [note écrite sur le côté en travers de la quatrième page] Je crois que mon ami Berr, du Figaro écrit à Heynie au sujet de ce permis de circulation pour moi. Ferrari, de la Revue bleue, est insaisissable & mollusque. Lettre du 2 janvier (1894). Cher ami, vous devez me trouver considérablement muffle de nêtre pas allé vous voir. A mon retour dAmérique, jai passé ici 8 jours, faisant de la copie à forces puis je suis allé à Royan avec ma famille. A mon retour, jai été absorbé par un grand travail, 40 chansons à lusage des écoles primaires, lesquelles seront soumises à un concours. Puis jai préparé les Mystères dEleusis. De plus en pleine répétitions. Avec tout cela je remettais toujours au lendemain le plaisir daller vous serrer la patte. Cher Uzanne, soyez miséricordieux! Jai reçu votre délicieuse carte, & je me suis dit quil fallait tout de même vous écrire! Javais pensé à vous envoyer un exempl. [aire] des Mystères avant la lettre c. Sans couverture, pour vous montrer que je pense à vous ; mais tous ceux que ma donnés Lecène. Ont servi plus ou moins à mes machinistes & sont maculés! Néanmoins, si je peux disposer dun, je vous lenverrai, sans préjudice dun plus propre, dans qqs temps. Entendu le brave Archbold. Le Petit Théâtre mort, jespère que vous ressusciterez notre dîner. Aura lieu le 16 janvier, un mardi. Jespère que vous serez là : je mets votre nom sur ma liste. Après la première, tout à votre disposition si vous voulez nous envoyer des amis. Nous jouerons les mardis & samedis, au moins 4 fois. Je compte sur un four puissant. A vous de cur, cher ami. 18 avenue de lObservatoire [Paris]. Cette lettre doit dater de la fin de lannée 1889. Maurice Bouchor possédait une résidence à Alger où il se rendait régulièrement. Les Dîners Occultes sont à linitiative dOctave Uzanne. On y retrouvait des personnalités des lettres tels Mallarmé, Octave Mirbeau, Maurice Bouchor, Jean Richepin, etc. On sait très peu de choses sur ces dîners. Il semble quil y en eu plusieurs, peut-être certains avortés. Voir à ce sujet la correspondance de Mallarmé. Jean Richepin a collaboré au Petit Théâtre. Cétait aussi un des premiers collaborateurs dUzanne pour sa revue Le Livre, parue entre 1880 et 1889. Il sagit en réalité du Livre Moderne publié entre 1890 et 1891. Le Petit Théâtre était un théâtre de marionnettes géré par Simonet avec laide de Bouchor comme auteur et quelques autres. Il se trouvait dans la Galerie Vivienne. Henri Signoret était le gérant du Petit Théâtre des marionnettes de la Galerie Vivienne. Lord Lytton était ambassadeur dAngleterre en France. Cétait un fin lettré. Il semble quil ait assisté à plusieurs représentations du Petit Théâtre de Signoret et Bouchor. La Tempête, comédie de William Shakespeare, traduite par Maurice Bouchor (Parvillez, 1888). Cela indiquerait que les Dîners Occultes organisés par Uzanne avaient une périodicité mensuelle. Il participe quelque temps à la. Les oiseaux senvolent et les fleurs tombent. Contient quelques thèmes propres à ce courant. Il est élu membre de l. Dès sa création, en. Bourges était donc des Dînes Occultes dUzanne. Passage assez confus teinté dhermétisme. Les Symboles, deuxième série, parait en 1895 seulement. Il sagit de la Ballade du Livre publiée dans la revue Le Livre Moderne entre les pages 96 et 97 du premier volume. Cest un poème entièrement gravé et décoré par Evert Van Muyden quOctave Uzanne. Il est daté du 1. Ce qui permet de dater la lettre du 2 février 1890 puisque Bouchor indique quil la composé dans la nuit. Ernest Kolb est éditeur. Tobie est une des ces pièces à succès pour marionnettes quil jouait au Petit Théâtre. Ambassadeur dAngleterre en France et fin lettré. A assisté aux représentations du Petit Théâtre des marionnettes à la Galerie Vivienne. Le 20 décembre 1889. Bouchor semble à la recherche dargent. Uzanne a fait un voyage à Venise en 1889. (Jules Noriac/Adolphe Jaime fils/Maurice Bouchor), fantaisie lyrique en 3 actes (1892, Paris). Cette pièce jouée pour la première fois en 1892 situe la date de cette lettre cette même année. Uzanne sembarque pour New York sur le paquebot La Gascogne (départ du Havre) le 10 avril 1893. Il restera environ 3 mois sur le continent nord américain il parcourt New York, Chicago,, Boston, Philadelphie, Montréal, Québec, etc. Cette lettre date donc du 8 mai 1893. Probablement des articles parus dans le Figaro du mois davril 1893 rendant compte des visites dUzanne sur le continent nord américain. Uzanne transcrira ses souvenirs de voyage sous la forme dun livre-guide touristique. Vingt jours dans le Nouveau Monde. 175 illustrations daprès nature. Paris, May & Motteroz, s. In-8 oblong à litalienne de 214 pages. Tirage sur papier vélin teinté ordinaire il na été tiré que 2 exemplaires sur papier de Chine selon les propres déclarations de lauteur. Voir catalogue de la vente de ses livres (2 et 3 mars 1894). Il sagit de lExposition Universelle de Chicago (Illinois) ou. Elle se déroula du 1. Mai au 3 octobre 1893. Uzanne sy rendait pour en rendre compte dans les colonnes du Figaro. Les Sympathistes était une sorte de confrérie qui conserve encore tout son mystère. Restaurant du quai des Grands-Augustins, à Paris, créé par un certain Lauvergniat au XIXe siècle, ce modeste bouchon proposait des huîtres et des entrecôtes. En 1850, du fait de l’affluence, le neveu du propriétaire, Jules Lapérouse, ouvrit une salle au premier étage; puis des cabinets particuliers dans les chambres de domestique de ce vieil hôtel, et l’établissement devint un restaurant de luxe. Il attire les gens du quartier : éditeurs, libraires et écrivains, parmi lesquels Emile Zola, Guy de Maupassant, Alexandre Dumas et Victor Hugo. Parmi ses grandes créations, il compte le « canard Colette » baptisé par la romancière, et la « poularde docteur » dédiée au docteur Paul, médecin légiste de la première moitié du XXe siècle (la poularde cuite aux trois quarts, est imbibée de porto, mijotée dans du jus de veau et servie avec de l’estragon et des lamelles de veau). Maurice Bouchor était en Amérique en mai 1893. Cette lettre date donc du 2 janvier 1894. Publié par Lecène et Oudin en 1894. Editeur des Mystères dEleusis. Archbold reste inconnu à ce jour. Ancienne collection Bertrand Hugonnard-Roche. Renseignements complémentaires sur simple demande. Libraire spécialiste du livre rare et d’occasion depuis 2002. Ou 06 79 90 96 36. Beaux livres, documents, autographes, estampes. Dessins originaux, photographies anciennes et modernes, etc. Visitez notre site internet. L’item « 8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894″ est en vente depuis le dimanche 16 avril 2017. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Lettres ». Le vendeur est « librairie_ancienne_varia » et est localisé à/en Alise Ste Reine. Cet article peut être livré partout dans le monde.
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894

8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894

8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894

8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894
Lettre non daté, non située décembre 1889? Mon cher ami, le vendredi 21. Je serai pris par une des dernières répétitions du Petit Théâtre : je ne pourrai donc aller au Dîner Occulte. Mes vendredis étant pris ensuite par les représentations, je ne pourrai assister quau dîner de janvier ou février. Le mardi 25 a lieu une représentation pour nos souscripteurs seuls, sans journalistes, affiches, annonces ni compte-rendu. Ou préférez-vous assister à la 1. (pour la presse & le public) le vendredi 28? Jaurai plus de plaisir à cette dernière représ[entation] ; mais il y aura toujours un fauteuil pour vous le mardi 25 si vous le désirez. Je vous annonce avec satisfaction que je me suis marié récemment, ce qui ma délivré de bien des soucis. Je nai prévenu personne officiellement, mais mon amitié pour vous me fait un devoir de vous instruire de cette nouvelle. Tout à vous, cher ami, & à bientôt. Lettre sans date fin dannée. (Probablement fin décembre 1889). Mon cher Uzanne, je pars ce soir pour Alger. Ce qui mempêche, à mon vif regret, dassister au 2me Dîner Occulte. Je pense que Richepin. Ne pourra en être! Son père est très malade en ce moment, à La Fère. Je profiterai bientôt de la très amicale proposition que vous mavez faite de mettre dans le Livre. Notre boniment sur le Petit Théâtre. Cela peut nous être utile ; & nous avons grand besoin de trouver qqs souscripteurs. Ira vous voir un de ces matins, dès que nos prospectus seront imprimés, & il vous enverra le paquet quand vous voudrez. Grand merci davance & mille amitiés de fin dannée. Est venu très gracieusement au Petit Théâtre. Il a paru satisfait : mais cest un homme tellement poli que sil sétait mortellement ennuyé on nen aurait rien su. Pourriez [vous], dans le n° auquel seront joints nos prospectus, faire passer une note sur ma traduction 4 à 5 lignes – & où on dirait un mot des représentations? Ainsi vos lecteurs seraient avertis. Du reste je ne voudrais pas être indiscret. Faites, je vous prie, comme vous jugerez convenable de le faire. Lettre non datée, non située (probablement 1889 ou 1890). Mon cher Uzanne, merci bien pour les lignes trop amicales que vous avez consacrées dans le Livre à ma traduction de la Tempête. & surtout pour votre extrême obligeance à légard de mon ami Signoret & de notre Petit-Théâtre. Vers le 25 & jespère vous voir à notre première, le 1. Je ne pourrai malheureusement pas assister au Dîner Occulte dAvril, vendredi étant un de nos jours de pitrerie, mais jirai sûrement à celui de Mai. Dit sêtre fort amusé à lavant-dernier. Nous avons eu ici de la pluie en masse ; depuis hier on crève de chaud. Le soleil est brave tout de même. Elle est à prendre à la main, cest un astre à 3 dimensions, & non pas un clou peint sur le ciel. Elle est blanche, énorme & radieuse. Dailleurs, cest ainsi partout en ce moment mais ici les nuits sont souvent dune pureté merveilleuse, & tous les diamants vivants font peur à force déclat & de scintillement. Je me bourre des Evangiles pour le 2. Croyez-vous que Renan appelle disons « une personne supérieure. » quel langage de curé! Il dit aussi que, dans un tel sujet « lédification coule à pleins bords » nempêche quil a joliment du talent, ce bougre-là. Mais je trouve quil rapetisse les choses à force de les arrondir. Bien à vous & à bientôt. Lettre non datéé, non située (2 février 1890). Cher ami, merci bien pour larticle. Je suis aussi peu bibliophile que possible, & très ignare en la matière. Cependant, pour vous prouver ma bonne volonté, je vous envoie une ballade. Faite cette nuit & ce matin à votre intention. Jai pris la chose à un point de vue aussi général que possible, étant incapable de parler vieilles éditions elzéviers je doute que cela fasse votre affaire. Et puis, jai la tête & mon temps tellement pris, que jai bien pu écrire une parfaite couillonnade. Faites en ce que vous voulez! Jai écrit à Kolb. Je croyais que vous aviez Tobie. Si votre exemplaire a été égaré, je vous en donnerai un autre. Je voudrais bien que le dîner ait lieu le 20 décembre ; ou quil y en eût un au début de janvier ; car je compte me reposer quelques jours à Marseille en janvier. En tout cas, je ferai mon possible pour être des vôtres le plus tôt possible. Quelques temps après le 2 février 1890. Lettre non datée, non située (quelques temps après le 2 février 1890). Cher ami, je suis très heureux que ma ballade. Ait pu faire votre affaire. Si vous prenez un rendez-vous avec M. Qui est à Paris, voulez-vous me faire signe? Je serais heureux de faire sa connaissance. Jai reçu une charmante lettre de Lord Lytton. Qui me dit être souffrant. Inutile de vous dire que jirai avec joie au Dîner Occulte, que vous avez eu la gentillesse de retarder à cause de moi. Il nest cependant pas tout à fait certain que je puisse y assister, parce que Signoret. Voyant arriver tardivement un peu de public payant, & désireux de faire les frais si possible, à lintention de donner 1, 2 ou 3 représentations supplémentaires. Sil y en a 3, la 3. Sera justement le vendredi 20. Et en ce cas je ne serais pas libre. Cest là, vous le voyez, un cas de force majeure, très imprévu. Mais rien nest encore décidé, & jespère pouvoir être des vôtres tout en espérant le contraire. Jugez de létat de mon âme! En tous cas, je vous prierai de mexcuser pour me dérober ainsi très involontairement. Lettre non datée, non située (1892). Cher ami, je suis ravi de vous savoir prêt à partir pour Londres ; je pars dimanche avec Aspol. Jirai tout droit à Portland place, Langham hôtel. Je crois que je renoncerai au Lodging, parquAspol partira jeudi de Londres, sans doute pour revenir qqs jours après. Il restera donc à lhôtel, nayant pas de semaine complète à passer à Londres, & je ne veux pas labandonner. Moi-même je resterai une semaine et demie. Il me faudrait donc re-déménager, ce serait peu pratique. Jirai donc à Langham hôtel, décidé à y rester, si le prix nest pas excessif. Figurez-vous que jai écrit hier à Lady Brooke. Que vous étiez à Venise. & que jallais à Londres sans vous! Je vous croyais prêt à partir pour Venise, & votre concierge ma dit avant-hier que vous étiez en voyage. Alors jai cru la chose faite. Demain soir, avec Bouffe, 1èere dEros. Pièce à laquelle jai collaboré jen ai fait les vers sous le voile de lanonymat Donc impossible [de] partir avant dimanche matin. Jai beaucoup de choses à faire à Londres! Je suis ravi de vous savoir assez bien pour partir ainsi à limproviste. A bientôt donc & tout à vous. Lettre située Paris, 8 mai 18(93). Mon cher ami, jai lu vos 2 articles. Avec un vif plaisir : ils ont été très lus ici & ont fait sensation. A paru ce matin. Je vois avec plaisir que vous prenez gaîment ce voyage & quil vous laissera maints souvenirs qui ne seront perdus ni pour lhomme ni pour lécrivain. Jai reculé mon départ jusquau 20 mai, ce qui me fait craindre hélas! De vous manquer à N. Jy serai le 28, sil plait à Dieu, & jirai à lhôtel Martin, University place. Vous seriez bien aimable de my écrire un mot pour me faire quelque recommandation pratique sil y a lieu. Je pense aller à Chicago à Wellington hotel, Wabash avenue, où je connais vaguement quelquun. Si néanmoins vous me donnez une autre indication, avec chiffres à lappui, je la pèserai sérieusement. Je tiens à lEuropean style, c. À manger hors de lhôtel. Je nai pu obtenir aucune réduction de la Cie Transatl. [antique] qui a, de plus, augmenté ses prix. Je sais que vous-même vous avez eu des difficultés pour obtenir votre passage. Jespère avoir au moins un permis de circulation pour lExposition. Mais je nai rien encore. Si je partais les mains vides, à qui pensez-vous que je devrais madresser, soit à N. York soit à Chicago? Pardon de mettre ainsi votre amitié à contribution. Je suis très épouvanté des frais que jaurai. Jai réuni nos amis les Sympathistes. Vendredi dernier chez Lapeyrouse. Au prix de 10 fr. Par tête, cigares à part. Outre les dîneurs dont vous avez la liste imprimée, javais convié Legendre, plus Bodin & Boniface auteurs de la Tante Léontine, & forts braves gens. Nous étions 12, et jai bu à votre santé. Mille bonnes amitiés, mon cher Uzanne. Bouchor, hotel Martin, New York. [note écrite sur le côté en travers de la quatrième page] Je crois que mon ami Berr, du Figaro écrit à Heynie au sujet de ce permis de circulation pour moi. Ferrari, de la Revue bleue, est insaisissable & mollusque. Lettre du 2 janvier (1894). Cher ami, vous devez me trouver considérablement muffle de nêtre pas allé vous voir. A mon retour dAmérique, jai passé ici 8 jours, faisant de la copie à forces puis je suis allé à Royan avec ma famille. A mon retour, jai été absorbé par un grand travail, 40 chansons à lusage des écoles primaires, lesquelles seront soumises à un concours. Puis jai préparé les Mystères dEleusis. De plus en pleine répétitions. Avec tout cela je remettais toujours au lendemain le plaisir daller vous serrer la patte. Cher Uzanne, soyez miséricordieux! Jai reçu votre délicieuse carte, & je me suis dit quil fallait tout de même vous écrire! Javais pensé à vous envoyer un exempl. [aire] des Mystères avant la lettre c. Sans couverture, pour vous montrer que je pense à vous ; mais tous ceux que ma donnés Lecène. Ont servi plus ou moins à mes machinistes & sont maculés! Néanmoins, si je peux disposer dun, je vous lenverrai, sans préjudice dun plus propre, dans qqs temps. Entendu le brave Archbold. Le Petit Théâtre mort, jespère que vous ressusciterez notre dîner. Aura lieu le 16 janvier, un mardi. Jespère que vous serez là : je mets votre nom sur ma liste. Après la première, tout à votre disposition si vous voulez nous envoyer des amis. Nous jouerons les mardis & samedis, au moins 4 fois. Je compte sur un four puissant. A vous de cur, cher ami. 18 avenue de lObservatoire [Paris]. Cette lettre doit dater de la fin de lannée 1889. Maurice Bouchor possédait une résidence à Alger où il se rendait régulièrement. Les Dîners Occultes sont à linitiative dOctave Uzanne. On y retrouvait des personnalités des lettres tels Mallarmé, Octave Mirbeau, Maurice Bouchor, Jean Richepin, etc. On sait très peu de choses sur ces dîners. Il semble quil y en eu plusieurs, peut-être certains avortés. Voir à ce sujet la correspondance de Mallarmé. Jean Richepin a collaboré au Petit Théâtre. Cétait aussi un des premiers collaborateurs dUzanne pour sa revue Le Livre, parue entre 1880 et 1889. Il sagit en réalité du Livre Moderne publié entre 1890 et 1891. Le Petit Théâtre était un théâtre de marionnettes géré par Simonet avec laide de Bouchor comme auteur et quelques autres. Il se trouvait dans la Galerie Vivienne. Henri Signoret était le gérant du Petit Théâtre des marionnettes de la Galerie Vivienne. Lord Lytton était ambassadeur dAngleterre en France. Cétait un fin lettré. Il semble quil ait assisté à plusieurs représentations du Petit Théâtre de Signoret et Bouchor. La Tempête, comédie de William Shakespeare, traduite par Maurice Bouchor (Parvillez, 1888). Cela indiquerait que les Dîners Occultes organisés par Uzanne avaient une périodicité mensuelle. Il participe quelque temps à la. Les oiseaux senvolent et les fleurs tombent. Contient quelques thèmes propres à ce courant. Il est élu membre de l. Dès sa création, en. Bourges était donc des Dînes Occultes dUzanne. Passage assez confus teinté dhermétisme. Les Symboles, deuxième série, parait en 1895 seulement. Il sagit de la Ballade du Livre publiée dans la revue Le Livre Moderne entre les pages 96 et 97 du premier volume. Cest un poème entièrement gravé et décoré par Evert Van Muyden quOctave Uzanne. Il est daté du 1. Ce qui permet de dater la lettre du 2 février 1890 puisque Bouchor indique quil la composé dans la nuit. Ernest Kolb est éditeur. Tobie est une des ces pièces à succès pour marionnettes quil jouait au Petit Théâtre. Ambassadeur dAngleterre en France et fin lettré. A assisté aux représentations du Petit Théâtre des marionnettes à la Galerie Vivienne. Le 20 décembre 1889. Bouchor semble à la recherche dargent. Uzanne a fait un voyage à Venise en 1889. (Jules Noriac/Adolphe Jaime fils/Maurice Bouchor), fantaisie lyrique en 3 actes (1892, Paris). Cette pièce jouée pour la première fois en 1892 situe la date de cette lettre cette même année. Uzanne sembarque pour New York sur le paquebot La Gascogne (départ du Havre) le 10 avril 1893. Il restera environ 3 mois sur le continent nord américain il parcourt New York, Chicago,, Boston, Philadelphie, Montréal, Québec, etc. Cette lettre date donc du 8 mai 1893. Probablement des articles parus dans le Figaro du mois davril 1893 rendant compte des visites dUzanne sur le continent nord américain. Uzanne transcrira ses souvenirs de voyage sous la forme dun livre-guide touristique. Vingt jours dans le Nouveau Monde. 175 illustrations daprès nature. Paris, May & Motteroz, s. In-8 oblong à litalienne de 214 pages. Tirage sur papier vélin teinté ordinaire il na été tiré que 2 exemplaires sur papier de Chine selon les propres déclarations de lauteur. Voir catalogue de la vente de ses livres (2 et 3 mars 1894). Il sagit de lExposition Universelle de Chicago (Illinois) ou. Elle se déroula du 1. Mai au 3 octobre 1893. Uzanne sy rendait pour en rendre compte dans les colonnes du Figaro. Les Sympathistes était une sorte de confrérie qui conserve encore tout son mystère. Restaurant du quai des Grands-Augustins, à Paris, créé par un certain Lauvergniat au XIXe siècle, ce modeste bouchon proposait des huîtres et des entrecôtes. En 1850, du fait de l’affluence, le neveu du propriétaire, Jules Lapérouse, ouvrit une salle au premier étage; puis des cabinets particuliers dans les chambres de domestique de ce vieil hôtel, et l’établissement devint un restaurant de luxe. Il attire les gens du quartier : éditeurs, libraires et écrivains, parmi lesquels Emile Zola, Guy de Maupassant, Alexandre Dumas et Victor Hugo. Parmi ses grandes créations, il compte le « canard Colette » baptisé par la romancière, et la « poularde docteur » dédiée au docteur Paul, médecin légiste de la première moitié du XXe siècle (la poularde cuite aux trois quarts, est imbibée de porto, mijotée dans du jus de veau et servie avec de l’estragon et des lamelles de veau). Maurice Bouchor était en Amérique en mai 1893. Cette lettre date donc du 2 janvier 1894. Publié par Lecène et Oudin en 1894. Editeur des Mystères dEleusis. Archbold reste inconnu à ce jour. Ancienne collection Bertrand Hugonnard-Roche. Renseignements complémentaires sur simple demande. Libraire spécialiste du livre rare et d’occasion depuis 2002. Ou 06 79 90 96 36. Beaux livres, documents, autographes, estampes. Dessins originaux, photographies anciennes et modernes, etc. Visitez notre site internet. L’item « 8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894″ est en vente depuis le mardi 28 mars 2017. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Lettres ». Le vendeur est « librairie_ancienne_varia » et est localisé à/en Alise Ste Reine. Cet article peut être livré partout dans le monde.
8 LAS Maurice Bouchor à Octave Uzanne Lettres autographes 1889 1890 1892.1894