Fernand despres 15 documents AUTOGRAPHES 1947-1949 manuscrits ANARCHIE

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Artisan cordonnier né dans le Berry, autodidacte. S’installe à Paris et abandonne tout travail manuel pour se consacrer à la politique et au journalisme. Il commence à fréquenter les milieux libertaires et fait la connaissance de Jean-Baptiste Vigo dit. , l’un des fondateurs du. Où il fait la connaissance d. Compromis dans des affaires de détention et de fabrica­tion d’explosifs (1901) et de faux mandats internationaux (1909), il bénéficie par deux fois de non-lieux. En 1912, il se consacre à La Bataille syndicaliste. Ins­crit au carnet B, il en devient un des principaux rédacteurs sous le pseudonyme d. Mais il présente avec. Sa démission du journal, devenu. Et cela en raison de sa ligne « Union sacrée » qui lui interdit de prendre la défense de. En 1918 – 1919, à la suite d’un séjour à Genève chez R. Rolland, à qui il a rendu une visite clandestine, il est inculpé d’intelligence avec l’ennemi. Poursuivi devant le 3ème tribunal de guerre de la Seine, il bénéficie à nouveau d’un non-lieu. De janvier 1918 à octobre 1920, il collabore à. Et d’avril à mai 1918 à. Revue internationaliste harcelée par la censure et bien­tôt interdite, qu’il dirige avec. Après la guerre il mène une carrière mou­vementée au parti communiste. Militant très actif à la 20ème section de la Fédération de la Seine, il collabore à L’Interna­tionale et à. Dont il est administrateur. En octobre 1922, il est délégué au 11ème congrès du Parti communiste ; on le retrouve en 1926 membre de la commis­sion coloniale. En 1932, le Parti Communiste le pré­sente aux élections législatives de Fontenay-le-Comte (Vendée). Il travaille plus tard comme correcteur d’imprimerie tout en collaborant aux rubriques judiciaires et littéraires de L’Humanité. Au début de la guerre, il quitte Paris pour se rendre à Nice. Au moment de sa mort en 1949, il travaillait à la radiodiffusion d’Alger.
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