Paul Verlaine, Poème manuscrit 1891

Paul Verlaine, Poème manuscrit 1891
Paul Verlaine, Poème manuscrit 1891

Paul Verlaine, Poème manuscrit 1891
POÈME autographe signé « Paul Verlaine », Littérature, [1891] ; 1 page in-8, montée sur onglets sur papier fort en un volume in-8, reliure demi-maroquin rouge. Publié dans La Revue Blanche de novembre 1891, ce poème sera recueilli en 1896 dans Invectives L. Vanier, 1896 ; Verlaine a noté dans le coin supérieur gauche de notre manuscrit Invectives ; à gauche du titre Littérature, il a inscrit « (Epitre) ». Le poème, en octosyllabes, est composé de 5 quintains. On relève une rature et quelques variantes. Verlaine s’y plaint de ses « confrères mal frères », et de leur silence à son égard. « Bons camarades de la Presse. Comme aussi de la Poésie. Fleurs de mufflisme et de bassesse ». On a joint une longue L. De Roger Lhombreaud, Oxford 10 juillet 1951, au sujet de Romances sans paroles.
Paul Verlaine, Poème manuscrit 1891

Jugement du tribunal criminel (Haute-marne) discrédité les assignats AN II

Jugement du tribunal criminel (Haute-marne) discrédité les assignats AN II
Jugement du tribunal criminel (Haute-marne) discrédité les assignats AN II
Jugement du tribunal criminel (Haute-marne) discrédité les assignats AN II
Jugement du tribunal criminel (Haute-marne) discrédité les assignats AN II
Jugement du tribunal criminel (Haute-marne) discrédité les assignats AN II

Jugement du tribunal criminel (Haute-marne) discrédité les assignats AN II
Jugement du tribunal criminel (Haute-marne), rendu à Chaumont le 22 Messidor de l’an II, contre Charles Lamotte, marchand mercier demeurant à Choiseul, district de Bourmont, lequel est accusé d’avoir « discrédité les assignats ». Mentions manuscrites & signatures du greffier et du président 51,5 x 42,5 cm.
Jugement du tribunal criminel (Haute-marne) discrédité les assignats AN II

Faculté de droit de l’université de Paris (1722-1725)

Faculté de droit de l'université de Paris (1722-1725)
Faculté de droit de l'université de Paris (1722-1725)
Faculté de droit de l'université de Paris (1722-1725)
Faculté de droit de l'université de Paris (1722-1725)
Faculté de droit de l'université de Paris (1722-1725)
Faculté de droit de l'université de Paris (1722-1725)
Faculté de droit de l'université de Paris (1722-1725)
Faculté de droit de l'université de Paris (1722-1725)
Faculté de droit de l'université de Paris (1722-1725)

Faculté de droit de l'université de Paris (1722-1725)
Dispense accordée par le roi Louis XV en présence du Régent. Elle lui permet d’abréger son temps d’étude à un an au lieu de trois pour obtenir sa licence. Dans les faits, il effectue six mois d’étude pour obtenir son baccalauréat et sa licence. L’édit royal de 1679 modifie l’enseignement à la faculté de droit de l’université de Paris et durcit les conditions d’accès au titre d’avocat et aux charges dans le domaine de la justice. En principe seuls les élèves ayant suivi l’intégralité des enseignements et obtenu leur licence étaient reçus « au serment d’avocats ». Toutefois, quelques élèves, dits « favorisés. « , bénéficiaient de dispense de temps d’étude et/ou d’interstice. Grand-Maître des Eaux et Forêts de la généralité de Metz. Est l’un de ces « favorisés ». Il est le fils de. Et commissaire ordinaire de l. En février 1690, le roi. Anoblit son père en récompense de ses services. En avril 1722, Edmond obtient du roi une dispense de temps d’étude et d’interstices. Elle lui permet d’abréger son temps d’étude à un an au lieu de trois pour obtenir sa. Dans les faits, il effectue six mois d’étude: trois mois (avril-juillet 1722), au lieu de deux ans, pour le. Et trois mois (juillet-octobre 1724), au lieu d’un an, pour la licence. L’interstice entre les deux diplômes est de deux ans. Licencié en mars 1725, Edmond Coulon est «. Reçu au serment d’avocat en parlement. » en mai 1725. En 1732, il peut acquérir la charge. Et rendre la justice. Dispense de temps d’étude. Dispense accordée le 23 avril 1722 par. » Jean Frédéric Phélypeaux de Maurepas? Document sur vélin (500 x 335 mm) avec forts plis dans les sens de la largeur et la longueur. Importants manque de papier et déchirure en bas à droite du document. Le baccalauréat (395 x 210) et la licence (395 x 198) sont sur parchemins timbrés. Timbres de la généralité de. Portant la mention « LETTRES DE CHANC[ELLERIE] 8 S[OLS] ». Du 5 septembre 1724, et celui de la licence, du 20 mars 1725, sont globalement conçus dans les mêmes termes. Pour la licence figure la dénomination du grade «. Gradu Licentiatus in utroque jure. » et plus de formules. Au verso de la licence, deux textes manuscrits. Le premier de 10 lignes est de. Pierre Gilbert de Voisins. Le second de quatre lignes nous informe que Edmond COULON prête son serment d’avocat le 3 mai 1725. Sur les deux diplômes figurent des signatures de membres de la faculté de droit de l’université de Paris dont celles notamment des docteurs agrégés. Professeur en 1703, il occupe pendant quarante-quatre ans une chaire à Paris et il est doyen des professeurs pendant vingt-huit ans. On lui doit le Dictionnaire de droit et de pratique (1718). Jean-Baptiste Amyot (décédé en 1743). Bourdot de richebourg, greffier (Scriba facultatis). Signalons la pliure particulière dans le sens de la longueur du bas de chaque diplôme. Pour la licence, ce pli dans le sens du recto laisse apparaitre deux informations dont les trimestre d’étude effectués. En bas de chaque diplôme, quatre trous pour laisser passer un petit ruban vert. Les produits proposés à la vente sont de nature, de poids et de tailles très hétérogènes. Le paiement est considéré comme « soldé » une fois que l’argent envoyé par l’acheteur a été déposé sur le compte du vendeur. Paiement en ligne par carte bancaire. Par virement national ou international.
Faculté de droit de l'université de Paris (1722-1725)