Livre dédicacé + 2 dessins originaux par Benjamin Lacombe! (Autographe)

Livre dédicacé + 2 dessins originaux par Benjamin Lacombe! (Autographe)
Livre dédicacé + 2 dessins originaux par Benjamin Lacombe! (Autographe)
Livre dédicacé + 2 dessins originaux par Benjamin Lacombe! (Autographe)
Livre dédicacé + 2 dessins originaux par Benjamin Lacombe! (Autographe)
Livre dédicacé + 2 dessins originaux par Benjamin Lacombe! (Autographe)

Livre dédicacé + 2 dessins originaux par Benjamin Lacombe! (Autographe)
Autographe / dédicace + dessins originaux de Benjamin Lacombe. Le livre  » Madame Butterfly » dédicacé par Benjamin Lacombe avec 2 dessins originaux. Livre en bon état. Grand format : 39 x 27,7 x 2 cm. Autographe obtenu en personne. C’est une pièce unique : ce n’est ni un imprimé, ni une signature de secrétaire. Je suis moi-même Collectionneur, et je ne vends que mes doubles.
Livre dédicacé + 2 dessins originaux par Benjamin Lacombe! (Autographe)

Roi LOUIS-PHILIPPE autographe 1792 (RARE de cette période) et documents

Roi LOUIS-PHILIPPE autographe 1792 (RARE de cette période) et documents

Roi LOUIS-PHILIPPE autographe 1792 (RARE de cette période) et documents
01/04/1792 : « J’ai reçu de mon père [Le duc d’Orléans, Philippe-Egalité] la somme de douze mille francs pour trois mois. » Le futur roi de France est alors âgé de 19 ans et colonel du 14° dragons à l’armée du Nord. Il devait, six mois plus tard, s’illustrer à Valmy. Rare de cette période. Projet de médaille à son effigie (1834) sur p in-4, B/TBE, notice historique imprimée de Georges Lenôtre titrée A la cour du roi-citoyen, carte de collection début XX° au portrait du roi en pied.
Roi LOUIS-PHILIPPE autographe 1792 (RARE de cette période) et documents

Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°

Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°

Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°
Le Site, cliquez sur ce lien. Lettre type « facture » L. = lettre autographe signée. 26/05/1837 – période « Monarchie, règne Roi LOUIS PHILIPPE I° ». Aux négociants en fer bordelais « HOLLAGRAY ». Très reconnu à cette époque. + Lettre autographe signée de.  » Charlotte CHAPPUIS dit Veuve MULLER « . Fille naturelle de l’Empereur NAPOLEON. Maîtresse de forges à Champagnole (au décès de son mari Etienne-Jacob MULLER en 1836). De 1836 à sa mort. Charlotte naît en 1795, dans la commune d’ Arnay-le-Duc. Sa mère, Antoinette Cattin, est une fille de joie. Qui en 1794, passe une nuit à Auxonne. Avec un jeune général : Napoléon Bonaparte. Peu après, la jeune prostituée, originaire de Bourgogne, tombe enceinte. Après la naissance de sa fille, elle épouse un moine défroqué, Georges Chappuis, qui accepte de donner son nom à Charlotte, ainsi qu’à tous les autres enfants d’Antoinette (14 au total). Antoinette confie l’éducation de sa fille à son frère, qui habite dans le Jura. Après une enfance relativement heureuse, Charlotte est envoyée dans un pensionnat à Paris. Pour y parfaire son éducation. Elle en sort en 1807, à l’âge de 17 ans, et se rend aussitôt au chevet de sa mère qui lui révèle l’identité de son présumé père biologique. LA FILLE DE NAPOLEON. Après avoir appris l’identité de son père, elle tente de prouver à tous qu’elle est bien la fille de Napoléon. Elle enchaîne les relations avec des officiers et se rapproche du milieu bonapartiste. En 1815, elle emménage à Salins. Et ouvre une pension pour jeunes filles, où elle reçoit la visite de plusieurs admirateurs. Au même moment, l’ Empire. S’effondre après la fin des Cent-Jours. Et l’exil de Napoléon sur l’île de Sainte-Hélène. Les partisans de l’empereur sont alors activement recherchés par la police du roi Louis XVIII. Alors qu’elle tente de rentrer en contact avec l’épouse de Napoléon, l’ex-impératrice Marie-Louise. La police l’arrête et elle est enfermée à la prison de Baume-les-Dames. Dans sa cellule, elle reçoit des lettres et également des visites de partisans bonapartistes. Le gouvernement s’inquiète de sa popularité, et charge la police secrète de l’envoyer dans la prison de Bellevaux. Elle change une troisième fois de lieu de détention et se retrouve ensuite au dépôt de mendicité de Dôle, dans le Jura. La police la libère à la condition qu’elle contracte un mariage avec un citoyen ordinaire, et non un bonapartiste. Elle est ainsi fiancé à l’un de ses cousins et sort donc de prison en mars 1817. Mais très vite, elle quitte son fiancé et épouse un maître de Forges, de vingt ans son aîné, Etienne-Jacob Muller, le. Et s’installe avec lui à Champagnole. Ensemble, ils ont cinq enfants. Antoine Muller, né le. Marié avec Jeanne-Marguerite Pinon en 1841 (sans postérité). Paul-Antoine Muller, né le. Et marié en 1845 avec Adrienne Félicité Delort (sans postérité). Marie-Louise Muller, née le. Mariée avec Joseph-Gustave Morel en 1841 (postérité). Adrien Muller, né le. Entre 1855 et 1900 (postérité). Étienne Muller, maître de forges. Charlotte & Etienne avec leurs enfants. Photographie de Charlotte (Veuve MULLER), à la fin de sa vie. Jacob Muller meurt le. À l’âge de 63 ans, faisant de sa veuve la nouvelle maîtresse de Forges. Fortunée, Charlotte est l’une des rares femmes à diriger un établissement industriel. Lorsque le cousin de Charlotte, Louis-Napoléon Bonaparte. Neveu de Napoléon, se présente à l’ élection présidentielle de 1848. On lui demande de soutenir sa candidature. Elle le fait avec plaisir et aide à financer sa campagne. Il est élu président de la République puis devient empereur sous le nom de Napoléon III, à la suite du Coup d’État du 2 décembre 1851. Pour remercier Charlotte, le nouvel empereur nomme son fils, Adrien Muller, maire de Champagnole. Ce dernier exercera cette fonction à différentes reprises, d’abord de 1855 à 1870, puis de 1871 à 1878, et enfin de 1884 à sa mort en 1900. Charlotte Chappuis meurt en 1880 à Champagnole, où elle est inhumée dans un cercueil semé d’abeilles impériales. Antoinette CATTIN, la mère de Charlotte (Veuve MULLER). Qui passa en 1794 une nuit à Auxonne. + Marcophilie: Au recto/. Cachet type 12 noir.  » CHAMPAGNOLE 27 MAI 1837 « . Tampon « Rare »:- /Vve MULLER – CHAMPAGNOLE (JURA)/.  » BORDEAUX 1 JUIN 1837 « . + Format lettre: 11.5 x 8.5 cm; filigrane présent, à identifier, voir photo. Charlotte CHAPPUIS « Veuve MULLER » fille naturelle de l’Empereur NAPOLEON. Et aussi – généalogie. + Antoinette CATTIN ou COTAIN, mère de Charlotte CHAPPUIS = rencontre & relation avec le jeune général BONAPARTE à Auxonne en 1794. + LES HOLLAGRAY, famille de négociants bordelais en fer.
Autographe 1837 Charlotte CHAPPUIS Vve MULLER (1795-1880) fille de NAPOLEON I°

NAPOLÉON III / Lettre autographe signée / Tendresse pour Eugénie et leur fils

NAPOLÉON III / Lettre autographe signée / Tendresse pour Eugénie et leur fils
NAPOLÉON III / Lettre autographe signée / Tendresse pour Eugénie et leur fils

NAPOLÉON III / Lettre autographe signée / Tendresse pour Eugénie et leur fils
Lettre autographe signée « N » à son épouse l’impératrice Eugénie [Camden Place, Chislehurst], le 2 août [1872], 1 p. 1/2 in-8° à en-tête de la résidence d’exil de la famille impériale Traces de pliures d’époque, infimes rousseurs sur le second feuillet, petite fente en marge supérieure de la pliure centrale Légère décharge d’encre de la deuxième page sur la page opposée témoignant d’un pliage de Napoléon III alors que l’encre n’était pas encore sèche Filigrane « Joynson 1872″. Tendre lettre à son épouse l’impératrice, alors en voyage en Écosse avec leur fils unique le Prince Impérial. « Ma chère Eugénie. Je te remercie de ta lettre du 31 juillet. Je suis bien heureux de savoir que ton voyage te plaît, que Louis. [leur fils le Prince Impérial] va bien et que vous êtes bien reçus. Tous les matins je sais par le Times ce que tu as fait la veille. Cela est très agréable. Ici rien de nouveau [.] Camden est bien triste, le temps redevient froid [.] Je serai bien content de te revoir ainsi que Louis, car votre absence laisse un grand vide et quoiqu’habitant sous le même toit nous nous voyons peu, il est toujours bien doux de sentir près de soit ceux que l’on aime. Je t’embrasse tendrement. N J’embrasse Louis aussi bien tendrement ». La tendresse qui transparaît dans cette épître ne manque pas de surprendre tant on connaît les épisodes orageux qui ont jalonné la vie du couple impérial. Si l’on ne prête aucune relation extra conjugale à l’impératrice, il en fut tout le contraire pour l’empereur. De nombreux intimes du couple ont à l’époque témoigné de scènes orageuses dues au comportement très volage de Napoléon III. Sans doute l’exil de la famille impériale et la maladie déjà très avancée de l’empereur adoucirent-ils les relations entre les deux époux. L’impératrice Eugénie et son fils unique le Prince Impérial étaient alors en voyage en Écosse à l’été 1872. Eugénie était, par sa mère, d’ascendance écossaise. Cette dernière, de son nom complet María Manuela Kirkpatrick de Closeburn y de Grévignée, aristocrate d’origine écossaise et belge, est la fille de l’écossais William Kirkpatrick qui fut nommé consul des États-Unis à Malaga, et la nièce du comte Mathieu de Lesseps. Ancienne collection Jean-Claude Lachnitt.
NAPOLÉON III / Lettre autographe signée / Tendresse pour Eugénie et leur fils