RARE MANUSCRIT 8 pages 1637 LATIN OCCITAN ou VIEUX FRANCAIS

RARE MANUSCRIT 8 pages 1637 LATIN OCCITAN ou VIEUX FRANCAIS

RARE MANUSCRIT 8 pages 1637 LATIN OCCITAN ou VIEUX FRANCAIS
Page écriture de l’époque. 8 pages format 26 cm x 17 cm. Vieux français, latin ou Occitan. Document de la Région de Montauban. L’item « RARE MANUSCRIT 8 pages 1637 LATIN OCCITAN ou VIEUX FRANCAIS » est en vente depuis le samedi 9 février 2013. Il est dans la catégorie « Livres, BD, revues\Livres anciens, de collection ». Le vendeur est « livres_anciens_and_books » et est localisé à/en La Madeleine. Cet article peut être livré partout dans le monde.
  • Époque: Jusqu’au XVIIème siècle
  • Sujet: Histoire

RARE MANUSCRIT 8 pages 1637 LATIN OCCITAN ou VIEUX FRANCAIS

Gerard Oury (1919-2006) Realisateur Francais. Exceptionnelle Lettre A. S. G296

Gerard Oury (1919-2006) Realisateur Francais. Exceptionnelle Lettre A. S. G296

Gerard Oury (1919-2006) Realisateur Francais. Exceptionnelle Lettre A. S. G296
EXCEPTIONNELLE ET LONGUE LETTRE AUTOGRAPHE SIGNEE [G296] Exceptionnelle et longue Lettre Autographe Signée. SUPERBE ET RARE LETTRE AMICALE: «… Remarque que je ne dis pas que cela est impossible, seulement tu ne rencontreras l’être qui te les donneras qu’une fois dans ta vie et tu ne seras sûre de son amour qu’après des preuves véritables, pendant une durée de temps respectable… Alors seulement tu pourras dire que son sentiment est vrai et profond… » « tu es une adorable petite fille qui a besoin de tendresse, qui a besoin aussi de donner son affection… En attendant le vrai élu, contente toi de l’affection de bons vieux amis, dont tu es sûre… » Gérard Oury , de son vrai nom Max-Gérard Houry Tannenbaum est un réalisateur, scénariste, metteur en scène et acteur français né le 29 avril 1919 à Paris et mort le 19 juillet 2006 à Saint-Tropez (France). En tant que réalisateur, ses plus grands succès sont Le Corniaud et La Grande Vadrouille. Fils d’un violoniste dorigine juive russe, Serge Tannenbaum, et de Marcelle Houry, journaliste critique d’art à Paris-Soir, résidant rue de la Tour, à Paris, il mène une scolarité sans histoire au lycée Janson-de-Sailly. Il y côtoie François Périer, Jean Dutourd, Maurice Siegel. À 17 ans, il suit les cours de René Simon, puis il entre au Conservatoire en 1938, aux côtés de Bernard Blier et François Périer, dans la classe de Mme Dussane. Pensionnaire de la Comédie-Française en 1939, il obtient son premier rôle que lui confie Edouard Bourdet dans Britannicus, en remplacement d’un acteur mobilisé. En 1940, il fuit la zone occupée avec sa compagne comédienne, Jacqueline Roman (élue Miss Exposition en 1937), d’abord en zone libre, puis à Marseille, à Monaco et enfin à Genève afin d’échapper aux mesures antijuives ayant cours en France occupée. En 1942, il ne reconnaît pas sa fille unique : la réalisatrice Danièle Thompson, pour lui éviter ce statut. À Marseille, il participe aux émissions de théâtre de la radio nationale, repliée sur place. À nouveau évincé pour les mêmes raisons, il est remarqué par Paul Olivier, l’agent de Raimu, qui l’engage dans une revue avec Alibert, Raimu et Rellys. Raimu le prend un temps sous son aile. C’est aussi à cette époque, en zone libre, qu’il fait ses premiers pas au cinéma, en tant qu’acteur, dans Les Petits riens et dans Médecin des neiges (1942), de Marcel Ichac. Après la Seconde Guerre mondiale, il revient en France, retrouve la Comédie-Française, s’y bat même avec Robert Hirsch. Il joue au théâtre (notamment Les Vivants d’Henri Troyat, au Vieux-Colombier en 1945), et quelques seconds rôles au cinéma (Antoine et Antoinette, de Jacques Becker, en 1948). Il boucle ses fins de mois avec les toiles que lui remettait Raoul Dufy, un des amis artistes de sa mère, qui l’avait initié à l’art. On le verra aussi dans La Belle que voilà (1949) de Jean-Paul Le Chanois. C’est dans ce film, dont le scénario est de Françoise Giroud, qu’il embrasse pour la première fois Michèle Morgan, dans une scène tournée dans un ascenseur. Un baiser de cinéma qui n’enflamme pas l’actrice. Dans Le Passe-Muraille, il reçoit des claques de la part de Bourvil, « le meilleur homme qu’il m’ait été donné de connaître », disait-il. On le voit encore dans La nuit est mon royaume (1951) de Georges Lacombe, La Fille du fleuve (1954) de Mario Soldati, La Meilleure part (1955) d’Yves Allégret ou encore Le Dos au mur (1958) d’Édouard Molinaro. En 1958, il s’essaie au scénario dans Le Miroir à deux faces, coécrit avec André Cayatte. C’est à cette occasion qu’il entame une relation avec Michèle Morgan, qui demeure sa compagne jusqu’à son décès. Ce document ancien est l’original. J’en garantis la totale authenticité. Frais d’envoi : 6,40 euro. L’item « GERARD OURY (1919-2006) REALISATEUR FRANCAIS. EXCEPTIONNELLE LETTRE A. S. G296″ est en vente depuis le mercredi 17 décembre 2014. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Autographes\Autres ». Le vendeur est « autographesanciens » et est localisé à/en Differdange, Housbann. Cet article peut être livré partout dans le monde.
  • Type: Autographe, Dédicace
  • Sous-type: Autographe sur papier
  • Epoque: 20ème siècle
  • Région: France
  • Thème: Cinéma
  • Nombre de documents: 1
  • Nombre de pages: 2

Gerard Oury (1919-2006) Realisateur Francais. Exceptionnelle Lettre A. S. G296

Gerard Oury (1919-2006) Realisateur Francais. Exceptionnelle Lettre A. S. G296

Gerard Oury (1919-2006) Realisateur Francais. Exceptionnelle Lettre A. S. G296

Gerard Oury (1919-2006) Realisateur Francais. Exceptionnelle Lettre A. S. G296
EXCEPTIONNELLE ET LONGUE LETTRE AUTOGRAPHE SIGNEE [G296] Exceptionnelle et longue Lettre Autographe Signée. SUPERBE ET RARE LETTRE AMICALE: «… Remarque que je ne dis pas que cela est impossible, seulement tu ne rencontreras l’être qui te les donneras qu’une fois dans ta vie et tu ne seras sûre de son amour qu’après des preuves véritables, pendant une durée de temps respectable… Alors seulement tu pourras dire que son sentiment est vrai et profond… » « tu es une adorable petite fille qui a besoin de tendresse, qui a besoin aussi de donner son affection… En attendant le vrai élu, contente toi de l’affection de bons vieux amis, dont tu es sûre… » Gérard Oury , de son vrai nom Max-Gérard Houry Tannenbaum est un réalisateur, scénariste, metteur en scène et acteur français né le 29 avril 1919 à Paris et mort le 19 juillet 2006 à Saint-Tropez (France). En tant que réalisateur, ses plus grands succès sont Le Corniaud et La Grande Vadrouille. Fils d’un violoniste dorigine juive russe, Serge Tannenbaum, et de Marcelle Houry, journaliste critique d’art à Paris-Soir, résidant rue de la Tour, à Paris, il mène une scolarité sans histoire au lycée Janson-de-Sailly. Il y côtoie François Périer, Jean Dutourd, Maurice Siegel. À 17 ans, il suit les cours de René Simon, puis il entre au Conservatoire en 1938, aux côtés de Bernard Blier et François Périer, dans la classe de Mme Dussane. Pensionnaire de la Comédie-Française en 1939, il obtient son premier rôle que lui confie Edouard Bourdet dans Britannicus, en remplacement d’un acteur mobilisé. En 1940, il fuit la zone occupée avec sa compagne comédienne, Jacqueline Roman (élue Miss Exposition en 1937), d’abord en zone libre, puis à Marseille, à Monaco et enfin à Genève afin d’échapper aux mesures antijuives ayant cours en France occupée. En 1942, il ne reconnaît pas sa fille unique : la réalisatrice Danièle Thompson, pour lui éviter ce statut. À Marseille, il participe aux émissions de théâtre de la radio nationale, repliée sur place. À nouveau évincé pour les mêmes raisons, il est remarqué par Paul Olivier, l’agent de Raimu, qui l’engage dans une revue avec Alibert, Raimu et Rellys. Raimu le prend un temps sous son aile. C’est aussi à cette époque, en zone libre, qu’il fait ses premiers pas au cinéma, en tant qu’acteur, dans Les Petits riens et dans Médecin des neiges (1942), de Marcel Ichac. Après la Seconde Guerre mondiale, il revient en France, retrouve la Comédie-Française, s’y bat même avec Robert Hirsch. Il joue au théâtre (notamment Les Vivants d’Henri Troyat, au Vieux-Colombier en 1945), et quelques seconds rôles au cinéma (Antoine et Antoinette, de Jacques Becker, en 1948). Il boucle ses fins de mois avec les toiles que lui remettait Raoul Dufy, un des amis artistes de sa mère, qui l’avait initié à l’art. On le verra aussi dans La Belle que voilà (1949) de Jean-Paul Le Chanois. C’est dans ce film, dont le scénario est de Françoise Giroud, qu’il embrasse pour la première fois Michèle Morgan, dans une scène tournée dans un ascenseur. Un baiser de cinéma qui n’enflamme pas l’actrice. Dans Le Passe-Muraille, il reçoit des claques de la part de Bourvil, « le meilleur homme qu’il m’ait été donné de connaître », disait-il. On le voit encore dans La nuit est mon royaume (1951) de Georges Lacombe, La Fille du fleuve (1954) de Mario Soldati, La Meilleure part (1955) d’Yves Allégret ou encore Le Dos au mur (1958) d’Édouard Molinaro. En 1958, il s’essaie au scénario dans Le Miroir à deux faces, coécrit avec André Cayatte. C’est à cette occasion qu’il entame une relation avec Michèle Morgan, qui demeure sa compagne jusqu’à son décès. Ce document ancien est l’original. J’en garantis la totale authenticité. Frais d’envoi : 6,40 euro. L’item « GERARD OURY (1919-2006) REALISATEUR FRANCAIS. EXCEPTIONNELLE LETTRE A. S. G296″ est en vente depuis le mercredi 17 décembre 2014. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Autographes\Autres ». Le vendeur est « autographesanciens » et est localisé à/en Differdange, Housbann. Cet article peut être livré partout dans le monde.
  • Type: Autographe, Dédicace
  • Sous-type: Autographe sur papier
  • Epoque: 20ème siècle
  • Région: France
  • Thème: Cinéma
  • Nombre de documents: 1
  • Nombre de pages: 2

Gerard Oury (1919-2006) Realisateur Francais. Exceptionnelle Lettre A. S. G296