5 DOCUMENTS (LETTRES / CARTES PNEUMATIQUES / CARTE LETTRE) MANUSCRITS. Envoyés par » DERVILLE STEPHANE « . Lettre manuscrite écrite par. À Paris PLM 88 rue Saint Lazare – cabinet du président. / handwritten letter written. In Paris PLM 88 street Saint Lazare. Office of the president. Lettre in folio 1 feuillet (4 pages) / The letter in folio is in 1 sheet (4 pages). La lettre mesure. / the letter do 13.5 10.5 cm. Carte Lettre manuscrite écrite par. À Paris Pau 37 rue Fortuny adressée au président. 37 rue Fortuny send to the president. La carte lettre est écrite recto verso elle mesure. / the letter card is writen on both side it do 13.8 9.5 cm. En Italie Monticello Carrare et parlant de Madame Lefevre Pontalis. In Italia Monticello Carrare and talking about Madame Lefevre Pontalis. / the letter do 16.7 12 cm. Carte pneumatique fermée tilmbrée écrite par. La carte mesure. / the card do 13.1 11.1 cm. Send to the president. / the card do 13 11.1 cm. VOIR SVP MES AUTRES DOCUMENTS MANUSCRITS DE PERSONNALITES QUE JE VENDS. LEASE SEE MY OTHER HANDWRITTEN DOCUMENTS OF PERSONALITIES THAT I SELL. Stéphane Adolphe Dervillé, né le. Est une personnalité industrielle française. Qui a reçu de nombreuses distinctions et rempli de multiples charges. Stéphane Adolphe Dervillé est né le. À Saint-Maurice-Montcouronne à l’époque Seine-et-Oise. Devenue plus tard Essonne. Cette année-là, son père, Cyr Adolphe a 33 ans et sa mère Louise Catherine Eudoxie Belland des Communes, 28 ans. Il est l’aîné de trois enfants. Ils arrivent à Paris pour ses 2 ans, et sa première sour Marie Catherine naît en 1850. Celle-ci épousera Maître Bezanson et deviendra la grand-mère maternelle de Jean Sangnier, fils du célèbre Marc Sangnier. Son grand-père maternel est Étienne François Claude Belland des Communes. Bataillon de la Garde Nationale. Il est mobilisé à 22 ans, le. Pour le Siège de Paris. Il est conseiller municipal de Saint-Maurice-Montcouronne. Dès 1874, à 26 ans, et lieutenant au. Régiment territorial d’artillerie, le. La durée totale des services civils et militaires sera de 44 ans. Il est également délégué cantonal de Dourdan. Il a conservé jusqu’au bout toute son activité malgré son grand âge à l’époque, 77 ans, et il assumait avec une autorité remarquable les plus lourdes tâches. Il succombe à une brusque crise d’angine de poitrine le. À 7h dans son hôtel particulier du 37 rue Fortuny. Resté célibataire, on ne lui connaît pas de descendance. Citation à l’occasion de son décès : « La presse a été unanime à dire quelle perte considérable le monde industriel, financier et commercial a faite en la personne de ce grand homme de bien qui, dans ces trois ordres de l’activité économique du pays, a occupé les situations les plus élevées et rendu les services les plus éminents. Marbrier, propriétaire d’importantes carrières de marbre comme en particulier celle de Carrare. À Massa-Carrara, en France des Alpes Marbre vert de Maurin. Et des Pyrénées (exploitations de carrières diverses, Italie, Belgique, Tunisie et Algérie). Médaille d’Or à l’Exposition Universelle de Pais en 1878 à ses 30 ans, il est dit : « L’exposition de Monsieur Dervillé et compagnie, comme matières premières est tout ce qu’il y a de plus complet et de plus riche ; elle fait honneur au commerce et à l’industrie des marbres. Diplôme d’Honneur à l’Exposition Universelle d’Amsterdam, 1883 à ses 35 ans, il est dit : « rapport du jury classe 46 : Dervillé et compagnie 164 quai de Jemmapes exposant de nombreux échantillons de marbre dus à des recherches longues pénibles intelligentes et coûteuses. Ils exposent également des cheminées et objets d’art exécutés avec leurs marbres. L’exposition offerte par eux aux regards émerveillés des membres du jury est aussi complète qu’il est possible de la désirer. Les membres du jury seraient heureux de voir récompenser les grands travaux de cet éminent industriel par une distinction nationale. Tout en étant marbrier par l’entreprise de son père créée en 1835, il devient secrétaire de la chambre syndicale de la Marbrerie de Paris, en. Président du Tribunal de commerce de la Seine. Il est Président du Tribunal de commerce de la Seine de 1893 à 1897. Son buste de marbre blanc, ouvre d’ Alexandre Falguière. Membre de l’Institut, trône dans la grande salle des délibérations plénières du Tribunal de commerce. De Paris, où il fut président jusqu’à la fin de 1896. Ses fonctions de juge suppléant au Tribunal de Commerce de Paris depuis 1879 (Entré exceptionnellement très jeune à 31 ans et ayant exercé aussi deux mandats pendant sa présidence de 1893-94 à 1895-96). Son travail, son intelligence, son expérience, la clarté de son jugement sont les traits principaux du personnage. Il était maître de toutes les situations, conducteur d’hommes, il savait choisir et apprécier ses collaborateurs. De 1899 à sa mort, il fut président du Conseil d’Administration de la Compagnie des Chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée. (PLM) de 1899 à 1925. À ce titre, Stéphane Adolphe Dervillé est d’ailleurs représenté peint par Albert Maignan. Restaurant de la Gare de Lyon. Lieu classé monument historique. On peut d’ailleurs admirer entre autres son portrait en compagnie de Sarah Bernhardt. Illustres comédiennes sans oublier Edmond Rostand. Ainsi que le tout PLM dont le directeur général Noblemaire. Son action fut déterminante dans le transport en trois jours des troupes françaises vers l’Italie lors de la Première Guerre mondiale. Le Paris à Lyon et à la Méditerranée est devenu sous son administration le modèle de réseau français favorisant le développement économique des régions françaises notamment dans les secteurs de l’industrie, du réseau routier, des transports et du tourisme (villes d’eau). De nombreuses conventions d’extension de réseau sont signées par lui et les ministres de l’époque entre autres. Président du Syndicat du Chemin de Fer de la Grande Ceinture de Paris, président du Comité de Direction des Grands Réseaux de Chemins de Fer français, président de la Compagnie Générale de construction et d’entretien du matériel de chemin de fer. Et vice-président du Conseil d’Administration des Chemins de Fer du Maroc. Directeur général adjoint de l’ Exposition universelle 1900. Rôle du PLM pendant la guerre de 1914 : transport, en 3 jours, de l’armée envoyée au secours de l’Italie. Président de l’Office de reconstruction industrielle des départements victimes de l’invasion (1917). Membre de la commission chargée d’organiser les manifestations d’art destinées à célébrer la victoire (1919). Membre du Conseil de l’ordre de la Légion d’honneur (1915). Commissaire général du gouvernement français à l’Exposition Internationale de Turin 1911. Diplomatique position d’Agent Consulaire de la République Française de 1881 à 1882 dans la résidence de Massa et Carrare (Italie) et sa distinction de Chevalier de la Couronne d’Italie. Il avait succédé à Monsieur Biavati décédé en. Il offrira sa démission le. Jean Levrier le remplacera le. Membre du Conseil d’Administration du Conservatoire national des Arts et Métiers 1920. Président du jury supérieur à l’Exposition des Arts décoratifs (son siège ne sera pas remplacé par déférence). Membre des Amis du Louvre, des Amis de l’Université, de la Commission des Amis du Vieux Paris. Président des Compagnies d’assurances L’Union. Régent de la Banque de France. Et de la Banque de Paris et des Pays-Bas. Président de la Banque d’État du Maroc. Administrateur du Comptoir Central de Crédit et de la Société Immobilière. Administrateur de la Société des Eaux Minérales d’Évian, Membre du Conseil d’Administration de la Compagnie de Vichy. Chevalier (26 septembre 1883), officier (29 juillet 1894) et commandeur (12 avril 1900), il est élevé à la dignité de grand officier de la Légion d’Honneur. Jules-Amédée Lefèvre-Pontalis, né le. Où il est mort le. Est un avocat, historien, homme d’affaires et homme politique français. Fils du notaire parisien Ferdinand Lefèvre, maire de Pantin. Et propriétaire du château de Boissy. Petit-fils du député Germain-André Soufflot de Palotte. Neveu du célèbre architecte Soufflot. Et frère cadet d’ Antonin Lefèvre-Pontalis. Il fait de brillantes études classiques et suit les cours de la faculté de droit de Paris. L’année même où il est reçu avocat à la Cour d’appel de Paris. Il débute dans les lettres par un discours sur les écrits du duc de Saint-Simon. Qui obtint le prix d’éloquence à l’ Académie française. L’Académie avait proposé ce sujet dès 1854. Mais elle n’avait pas cru devoir décerner de récompense cette année-là. Amédée Lefèvre-Pontalis concourt et partage le prix avec Eugène Poitou. Conseiller à la cour d’appel d’ Angers. Ces succès académiques ouvrirent à Amédée Lefèvre-Pontalis l’accès de la Revue des Deux Mondes. Où il publie quelques études sur Chateaubriand. Etc, et collabore aussi au Correspondant. Il avait donné en librairie un ouvrage intitulé la Liberté de l’Histoire (1860), et s’était acquis, dans les cercles légitimistes. Une certaine notoriété, lorsqu’il fut désigné, après la chute de l’ Empire. Par les conservateurs d’ Eure-et-Loir. Comme candidat à l’ Assemblée nationale. Propriétaire du château d’Aulnaie. Il est maire de la commune de Saint-Christophe. Sur lequel il se trouve, président du comité conservateur de Châteaudun. Et du comité des écoles libres d’ Eure-et-Loir. Et vice-président de la Société d’agriculture. Il prend place à droite et fait partie du bureau de la réunion des Réservoirs ; conservateur et clérical, il prend une part active aux tentatives de restauration monarchique 1873. , se rendant à Frohsdorf. Dans le cadre des négociations avec le Henri d’Artois. Et s’oppose à l’instauration de la République. Il réclame une indemnité exceptionnelle pour la ville de Châteaudun. Fait partie des commissions de décentralisation, d’enquête sur les établissements pénitentiaires, de la commission des Trente. Des commissions de l’organisation municipale de Paris, des délits politiques, du jury en matière de presse, de la restitution des biens de la famille d’Orléans. Rapporteur du projet Raudot portant suppression des conseils de préfecture 1872. , du projet de prorogation de l’Assemblée 1875. , il parle dans les discussions sur les conseils généraux. , sur la nomination des maires. , sur les conseils municipaux, sur le mode d’élection des sénateurs. , combat la proposition Rivet. , et, dans un discours qui fut très remarqué, demande. , lors de la discussion sur les attributions des pouvoirs publics, qu’on sortît du provisoire et qu’on se prononçât résolument entre la monarchie et la république. Il vote : pour la paix, pour les prières publiques, pour l’abrogation des lois d’exil, pour le pouvoir constituant de l’Assemblée, contre la dissolution, pour la chute de Thiers. Pour le septennat, pour l’état de siège, pour la loi des maires. Pour le ministère de Broglie, contre les amendements Wallon et Pascal Duprat et contre l’ensemble des lois constitutionnelles. Amédée Lefèvre-Pontalis dépose une proposition tendant à ordonner la révision de tous les décrets législatifs du gouvernement de la Défense nationale. Après la dissolution de l’Assemblée, il se représente, le. Comme candidat monarchiste, dans l’ arrondissement de Châteaudun. Où il n’obtint que 3,907 voix contre 10,510 à Pierre Dreux. Devenu, aux élections du. Le candidat officiel du maréchal de Mac-Mahon. Il réunit en cette qualité 4,226 voix contre 11,074 au même concurrent, M. Dreux, des 363, réélu. Sur la liste conservatrice d’ Eure-et-Loir. Il échoua avec 25,146 suffrages sur 63,940 votants. Il se retire du barreau en 1876. Et occupe les fonctions de président du conseil d’administration des Messageries maritimes. Et de la Société anonyme des mines de la Loire. De vice-président de la Société générale. D’administrateur de la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée. (PLM), de la Société générale. De la Société des Forges et Chantiers de la Méditerranée. Des Docks de Marseille. De la Société française de banque et de dépôts et de directeur et censeur de la Société générale de Crédit industriel et commercial. Il est membre du Conseil supérieur de la marine marchande et du Comité central des houillères de France. Ainsi qu’administrateur de la Société centrale de sauvetage des naufragés. Il était un membre influent du Comité de l’Asie française. Vice-président de la Société dunoise d’archéologie, il y a publié plusieurs articles dans son bulletin, dont un consacré au « Protestantisme dans le Dunois ». Il meurt en son domicile à Paris 3, rue Montalivet. À l’âge de 67 ans. Amédée Lefèvre-Pontalis est le père de l’ambassadeur Pierre Lefèvre-Pontalis. Et d’ Eugène Lefèvre-Pontalis. Et le grand-père d’ Hubert Lefèvre-Pontalis. Stéphane Adolphe Dervillé , born on. Industrial personality who has received numerous distinctions and held multiple positions. Stéphane Adolphe Dervillé was born on. In Saint-Maurice-Montcouronne at the time Seine-et-Oise. Later to become Essonne. That year, his father, Cyr Adolphe was 33 years old and his mother Louise Catherine Eudoxie Belland des Communes, 28 years old. He is the eldest of three children. They arrive in Paris when he is 2 years old, and his first sister Marie Catherine is born in 1850. She will marry Maître Bezanson and will become the maternal grandmother of Jean Sangnier, son of the famous Marc Sangnier. His maternal grandfather is Étienne François Claude Belland des Communes. A member of the. Battalion of the National Guard. He was mobilized at the age of 22. For the Paris Headquarters. He was a municipal councilor of Saint-Maurice-Montcouronne. From 1874, at the age of 26, and lieutenant in the. At 27 years old. The total duration of civil and military services will be 44 years. He is also cantonal delegate of Dourdan. At 33 years old. He remained fully active until the end despite his great age at the time, 77, and he assumed the heaviest tasks with remarkable authority. He succumbed to a sudden attack of angina pectoris on. In his mansion at 37 rue Fortuny. Having remained single, he has no known descendants. Quote on the occasion of his death: The press was unanimous in saying what a considerable loss the industrial, financial and commercial world has suffered in the person of this great good man who, in these three orders of the country’s economic activity, occupied the highest positions and rendered the most eminent services. Marble worker, owner of important marble quarries such as that of Carrara. In Massa-Carrara, in France in the Alps Green Marble of Maurin. And the Pyrenees (various quarry operations, Italy, Belgium, Tunisia and Algeria). Gold Medal at the Universal Exhibition of Pais in 1878 at the age of 30, it is said: The exhibition of Monsieur Dervillé and company, as raw materials, is the most complete and richest; it does honor to the marble trade and industry. Diploma of Honor at the Universal Exhibition of Amsterdam, 1883 at the age of 35, it is said: report of the jury class 46: Dervillé and company 164 quai de Jemmapes exhibiting numerous samples of marble due to long, painful, intelligent and costly research. They also exhibit fireplaces and objects of art made with their marbles. The exhibition offered by them to the amazed eyes of the members of the jury is as complete as it is possible to desire. The members of the jury would be happy to see the great works of this eminent industrialist rewarded with a national distinction. While still a marble worker in his father’s company, created in 1835, he became secretary of the Paris Marble Trade Union Chamber, in. President of the Seine Commercial Court. He was President of the Commercial Court of the Seine from 1893 to 1897. His white marble bust, the work of Alexandre Falguière. A member of the Institute, stands in the large plenary deliberation room of the Paris Commercial Court. Where he was president until the end of 1896. His work, his intelligence, his experience, the clarity of his judgment are the main traits of the character. He was master of all situations, leader of men, he knew how to choose and appreciate his collaborators. From 1899 until his death, he was Chairman of the Board of Directors of the Paris-Lyon-Mediterranean Railway Company. (PLM) from 1899 to 1925. In this respect, Stéphane Adolphe Dervillé is also represented painted by Albert Maignan. Restaurant of the Gare de Lyon. A place classified as a historical monument. We can also admire among others his portrait in the company of Sarah Bernhardt. Illustrious actresses without forgetting Edmond Rostand. As well as the whole PLM including the general director Noblemaire. His action was decisive in the transport in three days of the French troops to Italy during the First World War. The Paris to Lyon and the Mediterranean became under his administration the model of French network promoting the economic development of French regions, particularly in the sectors of industry, road network, transport and tourism (spa towns). Many network extension agreements were signed by him and the ministers of the time among others. President of the Union of the Railway of the Great Belt of Paris, President of the Management Committee of the Major French Railway Networks, President of the General Company for the Construction and Maintenance of Railway Equipment. And Vice-President of the Board of Directors of the Railways of Morocco. Deputy Director General of the 1900 Universal Exhibition. Role of the PLM during the 1914 war: transport, in 3 days, of the army sent to the aid of Italy. President of the Office for the Industrial Reconstruction of the Departments Victims of the Invasion (1917). Member of the commission responsible for organizing art events to celebrate the victory (1919). Member of the Council of the Order of the Legion of Honor (1915). Commissioner General of the French government at the International Exhibition of Turin 1911. Diplomatic position of Consular Agent of the French Republic from 1881 to 1882 in the residence of Massa and Carrara (Italy) and his distinction of Knight of the Crown of Italy. Biavati who died in. He will offer his resignation on. Jean Levrier will replace him on. Member of the Board of Directors of the National Conservatory of Arts and Crafts 1920. President of the senior jury at the Decorative Arts Exhibition (his seat will not be replaced out of deference). Member of the Friends of the Louvre, the Friends of the University, the Commission of the Friends of Old Paris. Regent of the Bank of France. And of the Bank of Paris and the Netherlands. Chairman of the State Bank of Morocco. Director of the Comptoir Central de Crédit and of the Real Estate Company. Director of the Évian Mineral Water Company, Member of the Board of Directors of the Vichy Company. Knight (September 26, 1883), officer (July 29, 1894) and commander (April 12, 1900), he was elevated to the dignity of grand officer of the Legion of Honor. Jules-Amédée Lefèvre-Pontalis , born on. Where he died on. Is a French lawyer, historian, businessman and politician. Son of the Parisian notary Ferdinand Lefèvre, mayor of Pantin. And owner of the Château de Boissy. Grandson of the deputy Germain-André Soufflot de Palotte. Nephew of the famous architect Soufflot. And younger brother of Antonin Lefèvre-Pontalis. He did brilliant classical studies and attended courses at the Paris law faculty. The same year he was admitted as a lawyer to the Paris Court of Appeal. He made his literary debut with a speech on the writings of the Duke of Saint-Simon. Which won the eloquence prize at the Académie française. The Académie had proposed this subject in 1854. But it had not seen fit to award a prize that year. Amédée Lefèvre-Pontalis competed and shared the prize with Eugène Poitou, counselor at the. These academic successes gave Amédée Lefèvre-Pontalis access to the Revue des Deux Mondes. Where he published some studies on Chateaubriand. And also collaborated with the Correspondant. He had published a work entitled La Liberté de l’Histoire (1860) in bookstores, and had acquired a certain notoriety in legitimist. Circles when he was designated, after the fall of the Empire. By the conservatives of Eure-et-Loir. As a candidate for the National Assembly. Owner of the Château d’Aulnaie. He is mayor of the commune of Saint-Christophe. Where it is located, president of the conservative committee of Châteaudun. And of the committee of free schools of Eure-et-Loir. And vice-president of the Agricultural Society. He took a seat on the right and was part of the office of the meeting of the Reservoirs; conservative and clerical, he took an active part in the attempts at monarchical restoration 1873. As part of the negotiations with Henri d’Artois. And opposed the establishment of the Republic. He demanded exceptional compensation for the town of Châteaudun. Was part of the decentralization commissions, the inquiry into penitentiary establishments, the commission of Thirty. The commissions of the municipal organization of Paris, political offenses, the jury in matters of the press, the restitution of the property of the Orléans family. Rapporteur of the Raudot project concerning the abolition of the prefectural councils 1872. , of the project for the extension of the Assembly 1875. , he spoke in the discussions on the general councils. , on the appointment of mayors. , on municipal councils, on the method of electing senators. , fights the Rivet proposal. , and, in a speech that was widely noted, asks. , during the discussion on the attributions of public powers, that we should leave the provisional and decide resolutely between the monarchy and the republic. He voted: for peace, for public prayers, for the repeal of the laws of exile, for the constituent power of the Assembly, against dissolution, for the fall of Thiers. For the seven-year term, for the state of siege, for the law of mayors. For the ministry of Broglie, against the Wallon and Pascal Duprat amendments and against all constitutional laws. Amédée Lefèvre-Pontalis tabled a proposal tending to order the revision of all legislative decrees of the government of National Defense. After the dissolution of the Assembly, he stood again. As a monarchist candidate, in the district of Châteaudun. Where he obtained only 3,907 votes against 10,510 for Pierre Dreux. Having become, in the elections of. The official candidate of Marshal Mac-Mahon. He gathered in this capacity 4,226 votes against 11,074 for the same competitor, Mr. Dreux, of the 363, re-elected. On the conservative list of Eure-et-Loir. He failed with 25,146 votes out of 63,940 voters. He retired from the bar in 1876. And held the positions of chairman of the board of directors of Messageries maritimes. And of the Société anonyme des mines de la Loire. Of vice-president of Société générale. Of director of the Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée. (PLM), of Société générale. Of Société des Forges et Chantiers de la Méditerranée. Of Docks de Marseille. Of the Société française de banque et de dépôts and of director and censor of Société générale de Crédit industriel et commercial. He is a member of the High Council of the Merchant Navy and of the Central Committee of Coal Mines of France. As well as an administrator of the Central Society for the Rescue of Shipwrecked People. He was an influential member of the Committee of French Asia. Vice-president of the Dunois Archaeological Society, he published several articles in its bulletin, including one devoted to « Protestantism in Dunois ». He died at his home in Paris 3, rue Montalivet. At the age of 67. Amédée Lefèvre-Pontalis is the father of the ambassador Pierre Lefèvre-Pontalis. And the grandfather of Hubert Lefèvre-Pontalis. LES FRAIS DE TRANSPORTS SONT EGALEMENT A LA CHARGE DE L’ACHETEUR ILS DEPENDENT DU LIEU DE LIVRAISON.
