1802 ST DOMINGUE récit manuscrit 4 mois de combats contre TOUSSAINT LOUVERTURE

1802 ST DOMINGUE récit manuscrit 4 mois de combats contre TOUSSAINT LOUVERTURE
1802 ST DOMINGUE récit manuscrit 4 mois de combats contre TOUSSAINT LOUVERTURE
1802 ST DOMINGUE récit manuscrit 4 mois de combats contre TOUSSAINT LOUVERTURE
1802 ST DOMINGUE récit manuscrit 4 mois de combats contre TOUSSAINT LOUVERTURE
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1802 ST DOMINGUE récit manuscrit 4 mois de combats contre TOUSSAINT LOUVERTURE
1802 ST DOMINGUE récit manuscrit 4 mois de combats contre TOUSSAINT LOUVERTURE

1802 ST DOMINGUE récit manuscrit 4 mois de combats contre TOUSSAINT LOUVERTURE
TOUSSAINT LOUVERTURE GÉNÉRAL EN 1802. EXPEDITION DE ST DOMINGUE. Récit manuscrit de 4 mois de combats contre TOUSSAINT LOUVERTURE. Journal historique de ma campagne en Amérique (ST DOMINGUE) commencé le 19 nivôse an X et fini le 3 floréal de cette meme année (janvier au 23 Avril 1802). E ugène LACOMBE SAINT MICHEL officier de marine fils du général. Rare et unique manuscrit sur 7 grandes pages in folio (27cm x 18cm) avec une fine écriture serrée mais bien lisible. RÉCIT DE SON PASSAGE À SAINT-DOMINGUE LORS DE L’EXPÉDITION DU GÉNÉRAL LECLERC CONTRE TOUSSAINT-LOUVERTURE. Officier de Marine, fils du général et homme politique, le jeune Lacombe-Saint-Michel s’embarqua sur la corvette La Badine dans l’escadre du contre-amiral Ganteaume chargé de transporter un renfort de 3000 hommes de troupes à Saint-Domingue. Il raconte comment, partis de Toulon, ils furent jetés sur les côtes d’Afrique par une tempête, décrit ensuite en détail la traditionnelle cérémonie de baptême du passage de la ligne du tropique, et indique les vaisseaux rencontrés durant la traversée (un sloop américain, des navires anglais pris en chasse, l’escadre de Cadix commandée par l’amiral Linois). Il relate ensuite ses 16 jours à Saint-Domingue, puis sa traversée de retour jusqu’à Cherbourg et Brest. Il se montre très critique à l’égard de l’amiral Villaret de Joyeuse qu’il rend responsable du naufrage d’un navire en rade du Cap et surtout de l’incendie de cette ville. QUELLE FUT NOTRE SURPRISE ET NOTRE HORREUR, NOUS NE VÎMES DE LA BELLE VILLE DU CAP QUE DES DÉCOMBRES ENCORE FUMANTS DE L’INCENDIE QUE LES NOIRS AVAIENT FAIT , la belle et riche plaine du Cap était couverte d’une épaisse fumée occasionnée par la flame qui dévorait les habitations et les plantations des canes à sucre. LE SOIR NOUS DÉBARQUÂMES NOS TROUPES DE PASSAGE , ELLES SE MIRENT DE SUITE EN MARCHE, et furent renforcer une division qui devait attaquer le landemain. Le 29 je fus à terre, je croyais m’y aigueyer, mès les visages en pleurs qui regrétaient l’un les auteurs de ses jours, l’autre sa femme & ses enfants, et les ruines fumantes des maisons qui n’a-guaire étaient l’asile de la volupté, inspiraient un tristesse telle que toute âme sensible partageait… Je causais avec beaucoup d’officiers, voici les détails que j’eus des événements passés dans la colonie depuis l’arrivée de l’armée. Notre escadre se présenta devant la rade du cap le 15 ou le 16 pluviôse [an X, 4 ou 5 février 1802], l’amiral envoya à TOUSSAINT-LOUVERTURE un petit cutter pour lui porter les dépêches du Gouvernement et lui faire connaître ses intentions pacifiques , Toussaint rejeta l’une et ne crut pas à l’autre, mais il n’était pas en état de deffence, et n’avait pris aucunes mesures pour incendier la ville. Si l’amiral était entré et avait débarqué les troupes aux ordres du gal Leclerc, la colonne se serait rendue, et aurait empêché la perte de beaucoup de braves, mais il resta trois jours à parlementer, pendant ce tems les nègres évacuaient tout ce qui leur plaisait, et préparaient l’incendie, et emmenai[en]t les blancs dans les mornes.. Le 19, l’amiral voyant que Toussaint ne vouloit écouter aucune proposition, se décida à donner dans la rade , les vaisseaux de la tête essuyèrent le feu du fort Picolet situé à l’entrée de la passe et du fort St-Michel situé au fond de la rade , une seule de leur volée suffi t pour atteindre celui de Picolet, les nègres l’abandonnèrent et se réfugièrent dans les mornes , le fort St-Michel continuait toujours son feu , un vaisseau fut s’embosser devant lui , à la 4ème volée il fut abandonné, les troupes débarquèrent de suite, elles n’éprouvèrent aucune résistance , TOUSSAIN S’ÉTAIT ENFUI APRÈS AVOIR MIS LE FEU À LA VILLE ET EMMENAIT AVEC LUI 16000 BLANCS , CES MALHEUREUX ONT ÉTÉ EN PARTIE ÉGORGÉS , ON LES METTAIENT SUR DES TABLES ET Y ÉTAIENT ÉGORGÉS COMME DES BÊTES. Une partie de l’armée s’occupa à rétablir le calme dans la ville et à etteindre l’incendie, l’autre se mit en campagne, poursuivit les noirs jusqu’à l’entrée des mornes. L’amiral Vilaret au moment de l’attérage avait expédié le contre-amiral Lacrosse avec huit vaisseaux, débarquer des troupes au Port-au-Prince , il n’imita pas son chef, opéra de suite sa dessente, et par là sauva la ville du pillage et de l’incendie , un v[aisse]au fut envoyé au Port-de-Paix pour y opérer un débarquement, il éprouva une vigoureuse résistance , nous perdîmes beaucoup de monde, néanmoins le débarquement eut lieu… Le 29 [pluviôse an X18 février 1802], LES FORTS DU PORT DE PAIX ÉTAIENT ÉTAIENT TOUJOURS AU POUVOIR DES NOIRS. Le gal envoya une division de frégates et un vaisseau commandée par le général Linois, ayant à bord des troupes de débarquement… Elle fit sa débarque , le général commandant la division de terre aidé de ce renfort fi t une nouvelle tentative, nos troupes donnèrent l’assaut, mais elles furent repoussées avec perte de 8 à 900 hommes , le lendemain LE Gal NOIR NOMMÉ MAUREPAS ayant eu connaissance des bons traitements que nous faisions à ses camarades qui avaient posé les armes demanda aussi à les rendre. Sa proposition fut acceptée avec grand plaisir. LONGUE SUITE A DECOUVRIR. L’item « 1802 ST DOMINGUE récit manuscrit 4 mois de combats contre TOUSSAINT LOUVERTURE » est en vente depuis le mardi 19 décembre 2017. Il est dans la catégorie « Collections\Militaria\Documents, revues, livres\Napoléon\ 1er, 2nd empire ». Le vendeur est « totobook » et est localisé à/en Aoste. Cet article peut être livré partout dans le monde.
  • Pays, Organisation: France
  • Type: Document
  • Période: 1751-1815
  • Service: Armée de terre
  • Sous-type: DOCUMENT

1802 ST DOMINGUE récit manuscrit 4 mois de combats contre TOUSSAINT LOUVERTURE

1330 PARCHEMIN Sentence de la cour contre Seigneur MONTOUROUX accusé attentat

1330 PARCHEMIN Sentence de la cour contre Seigneur MONTOUROUX accusé attentat
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1330 PARCHEMIN Sentence de la cour contre Seigneur MONTOUROUX accusé attentat
650 x 525 mm. L’item « 1330 PARCHEMIN Sentence de la cour contre Seigneur MONTOUROUX accusé attentat » est en vente depuis le jeudi 19 octobre 2017. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Parchemins ». Le vendeur est « aliotablo2515″ et est localisé à/en mios. Cet article peut être livré partout dans le monde.
1330 PARCHEMIN Sentence de la cour contre Seigneur MONTOUROUX accusé attentat

LES 100 JOURS 1815 brouillon de la lettre du MARECHAL MARMONT contre BONAPARTE

LES 100 JOURS 1815 brouillon de la lettre du MARECHAL MARMONT contre BONAPARTE
LES 100 JOURS 1815 brouillon de la lettre du MARECHAL MARMONT contre BONAPARTE
LES 100 JOURS 1815 brouillon de la lettre du MARECHAL MARMONT contre BONAPARTE

LES 100 JOURS 1815 brouillon de la lettre du MARECHAL MARMONT contre BONAPARTE
::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::: EMPIRE AVRIL 1815 PERIODE DES 100 JOURS MARMONT A. De, Duc de Raguse Véritable brouillon des 2 lettres du Maréchal MARMONT adressées au prince de Schwartzenber et à Caulincourt, publiées dans la Gazette Officielle de Berlin le 5 avril 1815. Ce brouillon a été écrit par son aide de camp le colonel charles Fabvier nous garantissons l’authenticité de l’écriture , le texte est avec des ratures , il comporte quelques petites modifications par rapport au texte publié par la gazette de Berlin manuscrit de 3 pp. Le Marechal vexé par les propos de Napoleon à son encontre , ce sent trahis , il dit avoir été manipulé par Bonaparte et explique avec une grande virulence , son refus de servir un homme sans paroles , Violentes charges contre BONAPARTE  » le plus ingrat et le plus perfide des hommes  » à Caulincourt B onaparte aprés m’avoir abrevé d’outrages , vous rend l’intermediaire des propositions qu’il croit devoir faire , il pense me rappeler à lui par des promesses et des flatteries , j’ai trop appris comment il svoit allier le mépris et le talent pour etre étonné de son dernier message , puisque vous etes chargés Mr de lui transmettre ma réponse , je vais vous faire connaitre avec franchise mes sentiments afin que celui que vous appelez votre maitre se dispense de faire auprés de moi des nouvelles tentatives , vous savez monsieur avec quel dévouement j’ai servi Bonaparte tant que ses destinées ont été liées avec celles fr la France , depuis plusieurs années je ne me dissimulais l’injustice de ses entreprises et l’extravagance de ses projets ni son ambition ni de ses crimes , mais il était le chef de l’état et ses succés quelques coupables qu’ils me parussent, me semblaient préférables pour la patrie à des revers qui en augmenterai les excés de la guerre pourroient précipités la France etc…………… LE MARECHAL explique ensuite la triste position que napoleon lui avait ordonné pour défendre inutilement paris ce qui l’obligea a prendre parti pour la paix et c’est lui qui eut la faiblesse d’exiger la conservation des jours de B (bonaparte) j’ai arraché ce serment à ses ennemis et fis céder ainsi l’interet de ma patrie au sentiment mal éteint d’une ancienne amitiée…… Louis absent sans armes sans soldats , a conquit sur lEurope en armes la paix la plus extraordinaire dont jamais l’histoire ait gardé le souvenir , je me suis voué sans réserve à la defense du légitime etc etc je vous dirais monsieur avec toute la franchise qui fait le fond de mon caractère , je n’ai recherché et je n’attends l’approbation ni de B.. Ni de vous ni des personnes qui vous ressemblent , j’ai été étonne je l’avoue d’entendre le compagnon d’enfance de l’infortuné duc d’Enghien , me reprocher d’avoir abandonné B… Pour un bourbon , j’excuse l’erreur de ceux qui ont admiré ce héros sanguinaire jusquau regne de louis 18 Je vous déclare monsieur que les taches ennemies de la patrie sont à mes yeux indignes de pardon et de pitié je pense que la nation doit éviter un opprobre éternel , dites à lassassin du duc d’Enghien et de Pichegru dites au perturbateur de l’Europe dites à celui qui plongea la France dans le sang et dans les larmes dites au violateur du droit des gens et détour des traités dites enfin au plus parjure au plus perfide au plus copable des mortels que le serment que j’ai preté à mon Roi sera bientôt scellé du sang des traites etc MARMONT DUC DE RAGUSE lettre en bon état bon état général. L’item « LES 100 JOURS 1815 brouillon de la lettre du MARECHAL MARMONT contre BONAPARTE » est en vente depuis le mardi 18 avril 2017. Il est dans la catégorie « Collections\Militaria\Documents, revues, livres\Napoléon\ 1er, 2nd empire ». Le vendeur est « totobook » et est localisé à/en Aoste. Cet article peut être livré partout dans le monde.
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  • Période: 1751-1815
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