ORLEANS Eugène DUFEUILLE (1842-1911)
Correspondance de 12 lettres. Eugène Dufeuille, journaliste politique, dirigea le bureau politique du duc d’Orléans de. 1894 à fin 1898, après avoir été au service du comte de Paris pendant 11 ans, il a pris la. De 1891 à 1894, a été le représentant officiel du comte de Paris auprès des comités et de. La presse monarchique et a dirigé son bureau politique. Il a publié plusieurs ouvrages. Longue et très intéressante correspondance entre deux intimes des «. Détails et d’informations où se trouvent dévoilé la politique, l’exil, les mondanités et le. Il relit « Bossuet » et de la philosophie allemande. Il le rejoint dans sa. Pensée sur Auguste Comte. « Sa religion est ridicule. Elle est de plus inconséquence. Aussi n’ai-je jamais été son adepte. J’estime et j’ai toujours estimé qu’il n’y a rien au. Dessus de la religion du Christ. ». Ce choix, il en assure de « sa bonne foi. Des doutes sur son origine, je n’en ai pas sur son efficacité, et je suis tout prêt en ce qui. Il lui indique que le marquis d’Harcourt se rendra à Lisbonne pour aller. Chercher la comtesse de Paris, que le comte de Paris partira de Gibraltar, accompagné. D’André Buffet, et qu’il restera à Villamanrique, « l’état de santé de la duchesse de. Le duc d’Orléans est à Lisbonne « qu’il a gagné à. Cheval en compagnie de Schneider. Il lui précise la situation à Paris, « Ici rien que. Vous ne puissiez deviner. Loubet est au dessous de tout et les désordres dans les églises. Pour être moins terrifiants que la dynamite sont à mon sens, plus graves. Je ne crois pas. Que la leçon profite au Pape si haute qu’elle soit. Les catholiques, qu’on avait voulu. Sauf avis contraire du Prince. Il aurait bien voulu épargner cette situation au. Mais si l’on doit la vérité aux Princes, c’est surtout quand ils sont exilés. Il est ravi d’apprendre que la comtesse de Paris, est heureuse d’être à. Ses joies ne sont pas surabondantes et ses serviteurs ne peuvent que ressentir. A mené à bien un voyage aussi difficile. Que les résultats scientifiques et. Géographiques en paraissent être intéressants. Il annonce son retour dans le courant. Février et c’est à Bombay que l’on peut lui écrire. « c’est de plus en. Parlementaire nage au sein de la boue. Quoi qu’il fasse, M. Félix Faure devra vider les. L’arrivée du roi du Portugal étant imminente, il était bien persuadé que. Février et avril 1903. « Les manouvres de la Marquise secondées par la complicité. Amoureuse de la fiancée actuelle et la faiblesse du tuteur on réussi. Peine égale à la vôtre. Le jeune homme ne serait pas le joueur que la voix publique. Proclame incurable, il n’y aurait rien à dire. On pourrait même avancer qu’à beaucoup. D’égards la pupille aurait trouvé chaussure à son pied. Je me suis jamais fait d’illusion. Et son ami d’enfance pour y placer un beau-fils dont il ne savait que faire. Pas à un ami un cheval vicieux. ». Son retour à Villamanrique l’a ravi, « après une. Il revient de l’Angleterre. « Le Prince a été le très aimable. Compagnon que vous savez quand il le veut être. Il était seul à Londres. Préféré avec la Princesse et je regrette son absence aussi prolongée. Le mari s’en plaigne mais s’il est bien de la montrer une fille dévouée, il ne l’est pas. Moins d’être une Epouse assidue. ». En juin il a dû se consacrer aux corrections des. Épreuves de sa plaquette et au roi du Portugal, qui est à Paris. « Il me semble bien que. Quelques renseignements sur l’entourage féminin. La mort de la. Marie d’Orléans, fille de Robert. D’Orléans, duc de Chartres lui a causé plus de chagrin que de surprise. À supposer avec vous, que la pauvre princesse a succombé à une grippe infectieuse ». On lui a remis un mot du duc de Guise, de sa maison de Copenhague, « le Prince m’y. Parle de sa douleur et de celle de Madame la duchesse de Chartres qui sont tout ce que. Le frère et la sour étaient très liés et le duc de Guise avait. Conservé la reconnaissance la plus émue de ses années de séjour dans sa maison de. Copenhague [.] Par discrétion et aussi un peu par manque de courage, je n’ai pas. Demandé à Mgr de duc de Chartres, de me recevoir. J’ai peur de son chagrin avec en. Plus le profond sentiment de mon impuissance. ». Le petit fils du comte de Paris est à. Impression » Il s’agit du jeune roi. Manuel II, qui succèdera à son. De l’attentat du 1. Février 1908, par des révolutionnaires. Son frère perdra également la. Vie et lui ne sera blessé qu’au bras. Sa mère, la reine Amélie est avec lui. Accueil être de quelque allègement dans sa douleur à la Reine Amélie qui est, comme. Vous le savez très apprécié et très plainte à Paris.. Enfin, il lui signale que le duc de. « Je pense que le gouvernement à l’oil ouvert et qu’il prend les. Précautions nécessaires [.] Toutefois, mieux vaut être averti et tous les fanatiques ne. Réussissent pas leur coup. Ici, le parti révolutionnaire socialiste international fait ce. Qu’il peut pour galvaniser le cadavre de cette canaille de Ferrer, mais l’agitation ne. Le public est aujourd’hui édifié sur la moralité du « héros ». Je suis porté à. Croire que s’il avait eu moins d’argent à la disposition du parti, sa mort aurait passé. Cet item est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Lettres ». Le vendeur est « librairie_monogramme » et est localisé dans ce pays: FR. Cet article peut être expédié au pays suivant: Europe.