Félix VALLOTTON ensemble documents expositions galerie DRUET liste oeuvres

Félix VALLOTTON ensemble documents expositions galerie DRUET liste oeuvres
Félix VALLOTTON ensemble documents expositions galerie DRUET liste oeuvres
Félix VALLOTTON ensemble documents expositions galerie DRUET liste oeuvres
Félix VALLOTTON ensemble documents expositions galerie DRUET liste oeuvres
Félix VALLOTTON ensemble documents expositions galerie DRUET liste oeuvres
Félix VALLOTTON ensemble documents expositions galerie DRUET liste oeuvres

Félix VALLOTTON ensemble documents expositions galerie DRUET liste oeuvres
Ensemble de documentation sur Félix VALLOTTON : 2 avis d’expositions à deux volets (1922 et 1923), celle de 1922 est en double exemplaire, avec liste des ouvres exposées ; 3 fascicules d’expositions, collectives dans lesquelles figure Vallotton en 1922, 1923 et 1925, chacun 2 ou 3 pages avec listes des ouvres exposées, format in-12. 1 carton d’exposition d’une exposition collective (1925). Propriétaire d’un café place de l’Alma à Paris, Eugène Druet sympathise avec Auguste Rodin qui fréquente régulièrement son établissement. Il devient même le photographe de ses oeuvres à partir de 1896. Sur les conseils du sculpteur, Druet ouvre une galerie d’art en 1903, au 114, rue du Faubourg-Saint-Honoré, galerie qui est transférée au 20, rue Royale en 1908. Sa galerie exposera de très nombreux artistes. Cet item est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Vieux papiers\Autres ». Le vendeur est « christophe6584″ et est localisé dans ce pays: FR. Cet article peut être expédié au pays suivant: Monde entier.
Félix VALLOTTON ensemble documents expositions galerie DRUET liste oeuvres

COURRIER 1942/1944 St MALO- de- PHILY/PARIS /SOISSONS succ. YVONNE LATIL PEINTRE

COURRIER 1942/1944 St MALO- de- PHILY/PARIS /SOISSONS succ. YVONNE LATIL PEINTRE
COURRIER 1942/1944 St MALO- de- PHILY/PARIS /SOISSONS succ. YVONNE LATIL PEINTRE
COURRIER 1942/1944 St MALO- de- PHILY/PARIS /SOISSONS succ. YVONNE LATIL PEINTRE
COURRIER 1942/1944 St MALO- de- PHILY/PARIS /SOISSONS succ. YVONNE LATIL PEINTRE
COURRIER 1942/1944 St MALO- de- PHILY/PARIS /SOISSONS succ. YVONNE LATIL PEINTRE
COURRIER 1942/1944 St MALO- de- PHILY/PARIS /SOISSONS succ. YVONNE LATIL PEINTRE
COURRIER 1942/1944 St MALO- de- PHILY/PARIS /SOISSONS succ. YVONNE LATIL PEINTRE
COURRIER 1942/1944 St MALO- de- PHILY/PARIS /SOISSONS succ. YVONNE LATIL PEINTRE
COURRIER 1942/1944 St MALO- de- PHILY/PARIS /SOISSONS succ. YVONNE LATIL PEINTRE
COURRIER 1942/1944 St MALO- de- PHILY/PARIS /SOISSONS succ. YVONNE LATIL PEINTRE
COURRIER 1942/1944 St MALO- de- PHILY/PARIS /SOISSONS succ. YVONNE LATIL PEINTRE
COURRIER 1942/1944 St MALO- de- PHILY/PARIS /SOISSONS succ. YVONNE LATIL PEINTRE

COURRIER 1942/1944 St MALO- de- PHILY/PARIS /SOISSONS succ. YVONNE LATIL PEINTRE
COURRIER s’échelonnant du 21/8/1942 au 26/9/1944: NOUVELLES DE ST MALO- de- PHILY en Bretagne et de PARIS pendant L’Occupation allemande jusqu’à la Libération… Adressées à Mr et Mme LATIL, 15 rue Racine à Soissons. Par leur nièce, Yvonne Latil 1906-c. 2000, téléphoniste aux services télégraphiques et téléphoniques de Paris, et peintre se formant à l’Académie de la Grande Chaumière. Par le père d’Yvonne Latil qui, retraité, cultive avec sa femme, la grand-mère et un oncle d’Yvonne, ses terres (jardin, champs) à St Malo- de-Phily en Bretagne. Un ensemble de 29 lettres:7 en 1942,13 en 1943,9 en 1944, la plupart sous enveloppe affranchies et comportant souvent 2 feuillets rédigés(soit 4 pages), quelquefois une carte ou une carte postale. Formats: 10 x 15cm et 11,50 x 15cm. Il s’agit d’une correspondance familiale:les épistoliers se donnent mutuellement des nouvelles de leur santé, de celle de leurs proches et évoquent les tracas que leur occasionne la guerre dans la vie quotidienne:la difficulté du ravitaillement, la perte de poids, la fatigue, l’inquiétude permanente, la difficulté de voyager, l’impatience que la guerre cesse, et l’espoir, dès janvier 1943, d’un débarquement prochain.. Nous nous familiarisons avec les êtres qui leur sont chers, aussi bien le neveu d’Yvonne, le petit Adrien qui va mourir d’une scarlatine mal soignée qu’avec le chat Mousset, l’animal familier de St Malo qui va disparaître lui aussi… Yvonne Latil donne des échos de Paris : Les bombardements, les attentats contre les demeures des allemands, le passage des avions de la DCA, les alertes, le couvre-feu, le rationnement, la pénurie de certains aliments, les colis provinciaux qui améliorent l’ordinaire et rompent l’uniformité des repas. Le surcroît de travail des téléphonistes, la raréfaction des trains qui entraîne la paralysie du service postal (1944), les retards du métro, les coupures de gaz et d’électricité, la difficulté de se chauffer, le recours au feu de bois, etc… Un vie rendue plus facile par son tempérament d’artiste:ses premiers portraits, la fréquentation de l’Académie de la Grande Chaumière, les concerts la nuit au milieu d’une « ville en ruines » (6/2/44), etc… Et enfin la Libération:Yvonne et son amie Berthe évacuées de leur bureau de poste miné, les fusillades, les barricades, l’arrivée des Libérateurs dans « le délire général », le défilé de De Gaulle, les dernières escarmouches puis le retour au calme… Le père d’Yvonne Latil dresse une chronique par bribes de la vie à St Malo de Phily: La surpopulation soudaine du village avec l’afflux de rennais fuyant les bombardements, la flambée des prix des produits de base orchestrée par des paysans peu scrupuleux, la cherté de la viande, les abattoirs clandestins, les trafics de farine, d’eau de vie (« Drôle de pays que St Malo-de-Phily »dixit Mr Latil), l’importance de la pêche dans la Vilaine, le marché noir, la raréfaction du beurre breton, le monopole des pommes pour les distilleries et le fameux cidre breton qui part en Allemagne! Le régime forcé, la vulnérabilité des personnes âgées à la maladie, la fatigue des paysans, le manque de distractions, les matchs de foot supprimés, etc… Tout ceci, avec comme toile de fond la guerre:les arrestations de gens du pays, le cantonnement d’environ 250 soldats SS en novembre 1942 qui font des réquisitions abusives et chapardent, le passage des avions alliés, les combats aériens, les parachutages dès septembre 1943, la recrudescence des meurtres, les sabotages (déraillement de trains, minage de pylones), la présence de 25 élèves-officiers allemands au château de la Driennays, l’envoi de petits cercueils aux collaborationnistes, l’attente du débarquement, les rackets nocturnes sur les paysans les plus rapaces, le cambriolage de l’entrepôt de tabac de Rennes et la disparition de 3000 cigares (décembre 1943), etc… Ce courrier provient de la succession Yvonne Latil. C’est une correspondance qui retranscrit le tableau des »petites misères et des grands malheurs » des français sous l’Occupation allemande, un témoignage parmi tant d’autres de la vie ordinaire des gens et de leurs sentiments: « Comme vous, nous souhaitons très ardemment que finisse prochainement cette tuerie mondiale qui ne laissera derrière elle que ruines et misère » Mr. Latil St Malo- de- Phily le 14/1/19. A la Libération, le 26 septembre 1944, Yvonne Latil avoue: Quelle joie de pouvoir parler sans contrainte… Et de pouvoir écrire aussi? ETAT DE CONSERVATION: Assez bon état. Se reporter aux photos jointes. Cliquez 1 fois sur les images, puis 1 seconde fois pour zoomer. Remise en mains propres à Clermont-Ferrand et à Paris. Cet item est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Lettres ». Le vendeur est « orymages » et est localisé dans ce pays: FR. Cet article peut être expédié au pays suivant: France.
  • Thème: Vie quotidienne
  • Epoque: Seconde Guerre Mondiale
  • Région: Bretagne/Paris.
  • Nombre de documents: Plus de 10
  • Nombre de pages: Plus de 10

COURRIER 1942/1944 St MALO- de- PHILY/PARIS /SOISSONS succ. YVONNE LATIL PEINTRE