Mémoire adressé à Louis XVIII, 1813, faisant état de la situation du royaume

Mémoire adressé à Louis XVIII, 1813, faisant état de la situation du royaume
Mémoire adressé à Louis XVIII, 1813, faisant état de la situation du royaume
Mémoire adressé à Louis XVIII, 1813, faisant état de la situation du royaume
Mémoire adressé à Louis XVIII, 1813, faisant état de la situation du royaume

Mémoire adressé à Louis XVIII, 1813, faisant état de la situation du royaume
Mémoire adressé à Louis XVIII, 1813, faisant état de la situation du royaume. Mémoire adressé à Louis XVIII, en exil, faisant état de la situation du royaume dans ses rapports avec les armées étrangères.. De l’état d’esprit du peuple de France, perspective d’une guerre civile contre révolutionnaire, prémices d’hostilités en Vendée. 35 pages manuscrites sans auteur. Cet item est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Vieux papiers\Autres ». Le vendeur est « cocuas » et est localisé dans ce pays: FR. Cet article peut être expédié au pays suivant: Union européenne.
  • Nombre de pages: Plus de 10
  • Epoque: Premier Empire
  • Type: Lettre, Correspondance
  • Thème: Histoire, Politique

Mémoire adressé à Louis XVIII, 1813, faisant état de la situation du royaume

Témoignage sur la situation de l’esclavage en Martinique à la veille de l’abo

Témoignage sur la situation de l'esclavage en Martinique à la veille de l'abo

Témoignage sur la situation de l'esclavage en Martinique à la veille de l'abo
Témoignage sur la situation de l’esclavage en Martinique à la veille de l’abolition. Pierre-Antoine Berryer (1790/1868), avocat et député légitimiste. Petites déchirures, première page poussiéreuse en marge. Intéressante lettre à Berryer, de Jules de Peyronnet (1805/1872), fils du ministre de Louis XVIII et Charles X qui, ayant séjourné à Saint-Vincent où l’esclavage a été aboli en 1834, dresse un tableau sombre de la Martinique où il est désormais installé. « Ce qui me satisfait moins, c’est la triste position que nous a faite l’abolition de l’esclavage. Nos colonies sont tranquilles, il est vrai, mais nous manquons de travail : la vie du Prolétaire ici est si facile que quelques heures par semaine passées aux champs, suffisent à leur entretien. Le propriétaire souffre donc beaucoup et la preuve, c’est que la récolte de 1839 n’a été que moitié à peu près de celle de 1838 [.]. Je n’ai pas voulu laisser mourir l’esclavage aux Indes Occidentales sans faire connaissance avec lui. Aussi suis-je ici depuis deux mois, assistant, pour ainsi dire, à son agonie : n’ayant aucun intérêt dans le pays, je suis à même de le mieux juger que les Créoles eux-mêmes. Franchement, c’est un grand malheur que les philanthropes français se soient emparés de cette question de l’esclavage. Ils peuvent faire, et feront, je n’en doute pas, beaucoup de mal, pour arriver à un bien que le temps, et un temps assez rapproché, aurait naturellement amené. Vous savez à quel point se sont étendus les affranchissements volontaires pendant les six dernières années ; la force des choses aurait amené, je n’en doute pas, dans l’avenir une progression plus rapide encore. A quoi bon alors une loi d’abolition qui coûte tant d’argent à la France et occasionne tant de troubles ici? La loi qui a aboli la traite, n’a-t-elle pas par sa conséquence aboli l’esclavage? Mais on ne veut pas comprendre cela! Toutes les instructions de la métropole sont hatives, le Conseil colonial de son côté, est obstiné, de cette mésintelligence naitront que troubles et malheurs. En ce moment, le Conseil colonial s’est attiré du gouverneur une réponse à son adresse dont le résultat pourrait être une révolte des nègres [.] ». Il disserte ensuite sur l’incapacité du gouverneur. Adresse au dos avec marques postales. Frais fixes : mêmes coûts pour tous les acheteurs. Lettre recommandée – 15,00. Remise en mains propres – 0,00 (29, rue de Condé – 75006 Paris). Délai d’expédition : 1 jour ouvrable. Assurance : inclus dans les frais d’expédition. Frais d’assurance : 0,00. Exclure des lieux de livraison. Lieux exclus : Aucun lieu n’est exclu. Méthodes de paiement acceptées. Virement bancaire : (IBAN : FR76 3000 4008 8200 0100 2373 669 ; BIC : BNPAFRPPPRG). Contactez-nous pour toute question. L’item « Témoignage sur la situation de l’esclavage en Martinique à la veille de l’abo » est en vente depuis le vendredi 2 février 2018. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Autographes\Personnalités historiques ». Le vendeur est « lettresautographes » et est localisé à/en Paris. Cet article peut être livré partout dans le monde.
Témoignage sur la situation de l'esclavage en Martinique à la veille de l'abo

Italie NAPLES 1806 situation des dépots d’infanterie de l’armée de NAPLES

Italie NAPLES 1806 situation des dépots d'infanterie de l'armée de NAPLES
Italie NAPLES 1806 situation des dépots d'infanterie de l'armée de NAPLES
Italie NAPLES 1806 situation des dépots d'infanterie de l'armée de NAPLES
Italie NAPLES 1806 situation des dépots d'infanterie de l'armée de NAPLES

Italie NAPLES 1806 situation des dépots d'infanterie de l'armée de NAPLES
Italie NAPLES Mai 1806. « Situation des dépôts d’infanterie de l’armée de NAPLES ». Cahier manuscrit de 17 pages provenant des papiers du GENERAL d’Empire Charpentier. Attention Biens culturels et exportation Conformément à la loi française, tous les documents manuscrits (uniquement manuscrits) vendus hors de lUnion Européenne nécessitent la délivrance, par les autorités françaises, dautorisations dexportation (licence et certificat). Pour lexportation dans les pays de lUnion Européenne, ces formalités sont soumises à des seuils (300 et 1500) dépendant de la nature des documents. Ces formalités sont gratuite et prennent quelques mois. L’item « Italie NAPLES 1806 situation des dépots d’infanterie de l’armée de NAPLES » est en vente depuis le lundi 17 décembre 2018. Il est dans la catégorie « Collections\Militaria\Documents, revues, livres\Napoléon\ 1er, 2nd empire ». Le vendeur est « totobook » et est localisé à/en Aoste. Cet article peut être livré partout dans le monde.
  • Sous-type: document
  • Période: 1751-1815
  • Pays, Organisation: Russie
  • Type: Document
  • Service: Armée de terre

Italie NAPLES 1806 situation des dépots d'infanterie de l'armée de NAPLES

Marechal Lyautey / Longue Lettre Autographe / Situation Marocaine / Clemenceau

Marechal Lyautey / Longue Lettre Autographe / Situation Marocaine / Clemenceau

Marechal Lyautey / Longue Lettre Autographe / Situation Marocaine / Clemenceau
Lettre autographe signée, (Maroc), 15 janvier 1918, à un « cher ami », 10 pages in-8, en-tête « Le Général Lyautey, Résident Général au Maroc ». Très intéressante et longue lettre de Lyautey sur la situation marocaine et ses relations avec le gouvernement. « Je me maintiens fermement dans la ligne que je me suis imposée dès le début et qui seule convient à ma charge, à mon passé et à ma dignité! Jobéis, je prends sans délai des mesures dexécution, je ne proteste pas, je marque le coup en disant sincèrement ce qui est, afin que chacun prenne ses responsabilités. Je nen sortirai pas, quoiquil arrive ». « Mon cher ami. Voici le premier courrier qui emporte à Paris des lettres de moi, sauf celle à Berthelot quil vous a montrée comme je le désirais. Ces quen effet la secousse consécutive à mon stupide accident sest prolongée et je reprends seulement ma correspondance en même temps que ma vie normale. Cest pourquoi je navais pas répondu plus tôt à votre lettre du 20 novembre. Vous me reprochez de vous tenir éloigné du Maroc, mais sacrebleu! Jamais il na eu plus besoin que vous le serviez à Paris et dans les secousses quil subit, il serait fichu si vous nétiez pas là avec la connaissance si complète et si sûre que vous avez de nos affaires et de notre situation. Laffaire Doui-Menia (nom dune tribu nomade) comme vous le savez, na fait que saccentuer, Lutaud (Charles Lutaud, gouverneur général de lAlgérie entre 1911 et 1918) exagère la mauvaise foi et le parti-pris. Cest renversant de le voir toujours en revenir à la thèse du statut qui comme si, depuis 1903, il ny avait pas eu ni Protectorat, ni installation du contrôle français sur le Ht Guir et Tafilatet. Rien nest paradoxal comme cette thèse de nos empiètements sur lAlgérie, alors que nous ne demandons quà rester chez nous au Maroc et à y faire notre police nous-même. Je viens seulement davoir sous les yeux certain article dune revue dite « Colonies et Marine » qui est évidemment de source officieuse algérienne comme le prouve sa documentation très complète et qui pourrait être signée Lutaud Combien je souhaite que Jonnart (Charles Jonnart, gouverneur de lAlgérie entre 1900 et 1901) se rétablisse assez vite pour aller reprendre les rênes à Alger. Nous ne serons enfin tranquilles quà ce prix. Et, enfin, jen arrive à votre lettre du 29 décembre écrite à la suite de la mienne à Berthelot et des assauts livrés au Maroc par le Président du Conseil. Depuis, cela sest encore développé sous la forme de demandes simultanées dintensification de main doeuvre et de recrutement militaire, choses pourtant inconciliables, et de compressions dofficiers à outrance. Vous connaissez mes réponses. Je me maintiens fermement dans la ligne que je me suis imposée dès le début et qui seule convient à ma charge, à mon passé et à ma dignité! Je nen sortirai pas, quoiquil arrive. Hamelin ma écrit avec beaucoup de précision le détail de ses entrevues et je ne saurais assez me féliciter davoir là quelquun daussi sûr, daussi ferme, daussi bien informé et daussi dévoué. Jétais, dès avant que vous me le disiez, parfaitement résolu à ne pas revenir sur la question Merknès-Azrou. Vous me dites quon ne me demandera plus rien. De cela, je ne suis pas aussi convaincu, me méfiant beaucoup, sinon du Président même (Georges Clemenceau, Président du conseil de novembre 1917 à janvier 1920) du moins de beaucoup qui sont derrière lui et ont son oreille. Quant à la thèse que vous me dites être celle du Président que « tout ce que nous aurons perdu ailleurs sera facilement repris après la victoire, je la regarde comme des plus discutables, en ce qui concerne le Maroc. Déjà en 1915, un homme détat très avisé, me parlant des ordres dévacuation que javais reçus, me disait, en me félicitant de ne pas my être conformé, quon avait perdu de vue quil nous faudrait une nouvelle guerre pour reprendre le Maroc si nous lavions abandonnée. Il ny a pas en effet que lAllemagne en cause. Sans compter lEspagne, lAngleterre même ne nous laisserait peut-être pas si facilement regarder comme acquis, sans compensations, un tel gage que nous aurions lâché. Le Maréchal Lyautey avait été une première fois nommé Résident général au Maroc en avril 1912. Il y était resté en poste jusquen décembre 1916, date à laquelle il est nommé ministre de la Guerre. Il revient en poste en mai 1917. Malgré le travail considérable accompli, le second séjour de Lyautey contraste singulièrement avec le premier : on passe d’un parcours presque triomphal à ce qui est à certains égards un chemin de croix. Il devra affronter deux types de difficultés : personnelles avec une santé de plus en plus chancelante, et politiques avec l’opposition grandissante des colons, l’administration qui lui échappe et le gouvernement qui va lui être de plus en plus hostile. Ce sont ces difficultés qui l’amèneront à présenter trois fois sa démission, fin 1923 après le départ ou la disparition de plusieurs de ses fidèles, en octobre 1924 après le départ d. Qui le soutenait, et en 1925 après la nomination de Pétain pour diriger les opérations militaires. L’item « MARECHAL LYAUTEY / LONGUE LETTRE AUTOGRAPHE / SITUATION MAROCAINE / CLEMENCEAU » est en vente depuis le dimanche 19 novembre 2017. Il est dans la catégorie « Collections\Militaria\Documents, revues, livres\1ère guerre mondiale 14-18″. Le vendeur est « autographes-historiques » et est localisé à/en Paris, Ile-de-France. Cet article peut être livré partout dans le monde.
Marechal Lyautey / Longue Lettre Autographe / Situation Marocaine / Clemenceau

1788 Gratet de DOLOMIEU à son ami MOUNIER situation apres journée des Tuiles

1788 Gratet de DOLOMIEU à son ami MOUNIER situation apres journée des Tuiles
1788 Gratet de DOLOMIEU à son ami MOUNIER situation apres journée des Tuiles
1788 Gratet de DOLOMIEU à son ami MOUNIER situation apres journée des Tuiles
1788 Gratet de DOLOMIEU à son ami MOUNIER situation apres journée des Tuiles
1788 Gratet de DOLOMIEU à son ami MOUNIER situation apres journée des Tuiles

1788 Gratet de DOLOMIEU à son ami MOUNIER situation apres journée des Tuiles
Dieu Donné, Silvain, Gui, Tancrède GRATET de DOLOMIEU. Dit Déodat de DOLOMIEU. Géologue, minéralogiste, volcanologue, Commandeur de l’Ordre de Malte, membre de l’Institut. Sans aucun doute le plus illustre des DOLOMIEU. Brillant minéralogiste et géologue, il découvrit plusieurs minéraux ; il donna son nom à l’un d’entre eux, la dolomie, ainsi qu’à une chaîne de montagnes située dans le nord de l’italie, les Dolomites. Sa vie fut un vrai roman d’aventures. A deux ans son père l’inscrivit à l’ordre de Malte. Engagé volontaire dans les carabiniers, il en sera nommé lieutenant deux ans plus tard, en 1766. A dix-huit ans, il partit faire ses galères, c’est à dire son noviciat, sur un navire de l’Ordre de Malte. A Gaête (Italie) dix-huit ans, il tua un des camarades au cours d’un duel. Il fut alors emmené à Malte où il fut condamné à perdre l’habit et à la prison perpétuelle. Neuf mois plus tard, à la suite de multiples interventions, il fut remis en liberté et réintégré. Il quitte alors l’ile et en 1771, il est en garnison à Metz, où il découvre les sciences de la terre d’érudits tels que Thytion , Pilâtre du Rozier, Alexandre de la Rochefoucauld. A partir de cette époque, il se passionne pour la généalogie , effectuant de nombreux voyages en France et en Italie. Nommé ingénieur des mines, il est en 1794 professeur d’histoire naturelle aux Ecole centrale, puis à l’Ecole des mines, avant de devenir membre de l’Institut. Ace titre, il participera à l’expédition dÉgypte. Au passage devant Malte, il fut utilisé par Bonaparte pour négocier la rédition de l’ile, ce qui lui valut de solides rancurs parmi ses collègues de l’Ordre de Malte. En 1799 il quitta l’Egypte. Son navire, après une forte tempête dut faire escale à Tarento, où il fut fait prisonnier pour avoir contribué à la prise de Malte par Bonaparte. Il resta deux ans en prison. Usé par la maladie, il fut libéré en 1801. Peu après, le 16 novembre 1801, il mourut à Châteauneuf en Charolais, chez sa sur, Alexandrine de DREE. Longue lettre autographe sur 2 pages in 8 de décembre 1788 PAR DEODAT DE DOLOMIEU (1750 -1801). À son ami le célèbre Mounier secrétaire des états du Dauphiné à Romans (avec adresse et sceau). Déodat de Dolomieu écrit à Mounier (il vient d’etre mis à l’écart à Romans après la journées des tuiles du 7 juin de cette même année) pour lui rappeler son extrême impatience de connaitre la suite des évenements de juin 1788 comment vont se conduire nos gens à prétention , et surtout celui qui projetait de…….. Les moyens de vous ôter la voix instructive , la sienne à ce que je présume ne sera pas assez éloquente pour prouver que sa levée de boucliers ne soit pas d’une gratitude atroce , en cas qu’il tienne encore à ses idées , je vous assure qu’il y a quelques membres des états que je voudrais savoir ailleurs et suis peiné que la certitude de leur nullité ne les ait pas entierement éloignés de l’administration ; nous ne saurons jamais profité des lumières de l’expérience etc…. L’assemblée des notables ne finit rien, les bureaux sont peu d’accord, la majorité insiste pour une représentation inégale , leur système et celui de l’injustice , il trouve beaucoup de…. Je crois cependant que la classe dépouillée de préjugés sent combien il seroit dangereux qu’il fut adopté , je crois que quelques représentations que l’on donne , il faudra l’accepter. Mais un sort réuni au reste de la nation , ne rien faire ou ne rien délibérer sans être composé selon la proportion que chaque ordre doit y avoir. Adieu mon cher Mounier pour vous donner l’exemple de ne point tenir un cérémonial , je vais tout bonnement finir ma lettre en vous assurant qu’il me seroit impossible de ne pas vous être sincèrement attaché DE DOLOMIEU. Jean-Joseph Mounier , né à Grenoble. Et mort à Paris. Après la Journée des Tuiles. Il est, avec Antoine Barnave. L’un des initiateurs et principaux élus de l’assemblée. Qui se réunit à Vizille. Au cours de laquelle une centaine de notables des trois ordres du Dauphiné. Font front commun pour obtenir le rétablissement des États provinciaux. Du Dauphiné et la convocation des États généraux. Où les représentants du tiers seraient à parité avec les deux autres ordres. Les États du Dauphiné s’ouvrent et déclarent. « comme règle générale, que les ordres et les provinces devaient délibérer ensemble, les suffrages être comptés par tête, et le tiers état avoir le double des représentants des deux autres ordres ». Ils procèdent à l’élection des députés de la province, et Mounier est élu le premier député du Tiers état. À l’unanimité des voix moins deux : la sienne et celle de son père. Il adresse de nombreux mémoires au gouvernement et publie, en. Ses Nouvelles observations sur les États généraux de France , où il demande l’abolition des privilèges provinciaux, l’adoption d’une constitution inspirée des institutions anglaises, qui préserve la prérogative royale. Au mois de mars suivant, il arrive à Paris, avec l’archevêque de Vienne qui avait présidé les États du Dauphiné. Il se rend à la tête d’une députation du Tiers à la chambre du clergé et dit que. « l’ordre des communes désirait faire la vérification en commun et qu’il venait en son nom inviter Messieurs du clergé à se rendre dans la salle commune ». Il propose de donner aux. « Assemblée légitime des représentants de la majeure partie de la nation, agissant en l’absence des mineurs parties ». Devant la résistance royale et la réticence des ordres privilégiés, il propose, le 20 juin. Aux députés présents dans la salle du jeu de paume de prêter un serment, rédigé par Jean-Baptiste-Pierre Bevière. Et lu par Bailly. Le fameux serment du jeu de paume. Avocat et homme politique français. Il est considéré par la majorité des auteurs comme un homme incarnant la droite libérale, il s’avère que Jean-Joseph Mounier serait un précurseur du centrisme, au sens où il prônait en 1788-89 un consensus des différentes idéologies, en établissant un programme constitutionnel d’inspiration anglaise combinant un véto royal, et la souveraineté nationale, en mettant en place une assemblée législative élue par le peuple issu d’un suffrage censitaire. Mounier joua un grand rôle lors des débuts de la Révolution Française. Serment du jeu de paume. Avant son départ de Paris en 1790. Il proteste, le 23 juin 1789, après la séance royale, contre les dispositions des ordonnances qui y avaient été proclamées. Le 6 juillet, il entre dans le comité de Constitution. Par la suite, il appuie la proposition de Mirabeau demandant l’éloignement des troupes. Rapporteur du comité de Constitution à l’Assemblée constituante, il développe, le 9 juillet, les principes qui devront présider à l’élaboration de la Constitution et proclame la nécessité de la faire précéder d’une Déclaration des droits de l’Homme. L’item « 1788 Gratet de DOLOMIEU à son ami MOUNIER situation apres journée des Tuiles » est en vente depuis le mercredi 20 juillet 2016. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Autographes\Personnalités historiques ». Le vendeur est « totobook » et est localisé à/en Aoste. Cet article peut être livré partout dans le monde.
  • Type: Autographe, Dédicace
  • Sous-type: Autographe sur papier
  • Epoque: XVIIIème siècle
  • Région: dauphinée
  • Thème: politique
  • Nombre de documents: 1
  • Nombre de pages: 2

1788 Gratet de DOLOMIEU à son ami MOUNIER situation apres journée des Tuiles