Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe

Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe

Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe
RARE LOT DE CORRESPONDANCE ENTRE GENERAUX-GOUVERNEMENT-MINISTRE-SENAT. 17 LETTRES ET 6 CARTES DE VISITES. ENTRE 1904 ET 1943. LOT CONSERVE PAR M. JULIEN (ADMINISTRATEUR DES COLONIES) A L’ATTENTION DE SON FILS. 3 LETTRES DE M. JULIEN LUI-MEME DE 1914 ET 1928 DONT 2 AVEC SIGNATURES DE BONNE RECEPTION(A IDENTIFIER). 2 LETTRES DACTYLOGRAPHIEES SIGNEE PAR LE GENERAL GALLIENI DE 1904 ET 1909. UNE LETTRE ADRESSEE CERTAINEMENT A LA FEMME DE M. JULIEN D’UNE VEUVE EXPRIMANT SA GRANDE TRISTESSE DE LA PERTE TOUTE RECENTE DE SON MARI. EN DATE DE 1918. IDENTITE A IDENTIFIERPEUT ETRE MADAME HALAIS, TALAIS? UNE LETTRE DE LE MYRE DE VILERS. PARIS EN DATE DE 1915FAIT MENTION DE M. 3 LETTRES DU GOUVERNEMENT GENERAL DE MADAGASCAR DE 1941/42/43 SIGNEES, A IDENTIFIER. UNE LETTRE ET UNE CARTE DE VISITE DE CHARLES LOUIS LEPREUX EN DATE DE 1904. UNE LETTRE DACTYLOGRAPHIEE SIGNEE DU GOUVERNEMENT GENERAL DE L’INDOCHINE DE 1909. UNE LETTRE DACTYLOGRAPHIEE SIGNEE DU GOUVERNEMENT GENERAL AFRIQUE OCCIDENTALE, GUINEE FRANCAISE. EN DATE DE 1909. A IDENTIFIER, PEUT ETRE G. 4 LETTRES DE PAUL DOUMER DE 1926. POUR FINIR 5 CARTES DE VISITES. De:GENERAL LYAUTEY, GENERAL BAILLOUD, GOUVERNEUR PICQUIE, MINISTRE DE LA GUERRE GENERAL ROQUES, ET UNE DU DELEGUE A LA RESIDENCE AVEC SIGNATURE A IDENTIFIER. TRES BON ETAT (VOIR PHOTOS).
Rare Lot De 23 Correspondance Militaria. Generaux/colonies. De 1904 A 1943. Ttbe

St Domingue. Expatriation. Correspondance GRAMMONT SAYVE. DE PONCHARRA. 1753

St Domingue. Expatriation. Correspondance GRAMMONT SAYVE. DE PONCHARRA. 1753
St Domingue. Expatriation. Correspondance GRAMMONT SAYVE. DE PONCHARRA. 1753

St Domingue. Expatriation. Correspondance GRAMMONT SAYVE. DE PONCHARRA. 1753
2 lettres manuscrites de Grenoble, le 13 septembre & 15. Par Madame de Grammont Sayve, adressée à M. Pierre Roux à Marseille. Je ne puis que vous rendre des grâces infinies, Monsieur, de l’extrême bonté avec laquelle vous voulez bien à ma prière vous charger de tout l’embarras qu’entraine la succession de Sr Galle, je comprends qu’ils sont grands et qu’il faut toute votre disposition à faire du bien, et à m’obliger pour les prendre sur vous, je joins ici les 2 procurations demandées par votre lettre, vous ferez s’il vous plait une note des ports tant de celles que je vous adresse que de celle que vous recevrez de la Martinique pour cette même affaire dont vous vous payerez sur les effets qui doivent passer entre vos mains, de même que tous les autres frais qui se trouveront à faire, j’aurai encore, mon cher Monsieur, un autre plaisir à vous demander auquel je suis persuadée que la générosité de votre coeur vous engagera à vous prêter. L’ainé des 3 enfants d’une famille de gentilshommes de cette province ayant perdu son père qui était Commissaire dans l’Artillerie, et n’ayant pour ainsi dire rien laissé à sa veuve pour élever ses enfants qu’il laissait parce qu’il avait avait mangé tout son bien au service, cet ainé dit se prends le party de s’en aller à St Domingue pour y chercher fortune ; d’autant plus que sa naissance étant inconnue en ce pays là, il pourra se prêter sans indécence au moyen de gagner sa subsistance, il s’appelle Pontcharra, sa mère et d’une naissance plus distinguée de Dauphiné, il peut avois aux environs de 20 ans, je lui donnerai une lettre pour vous lorsqu’il partira parce qu’il passera par Marseille, comme j’imagine que vous ne pouvez manquer d’avoir des connaissances en ce pays là, dans ce cas je vous serai très obligée de lui donner quelques lettres de recommandation pour quelqu’un qui puisse aider de ses conseils son établissement et sa conduite. Je crois que c’est un jeune homme bien lézardé ayant oui dire que ses moeurs étaient fort corrompues, mais tout cède à la nécessité d’avoir du pain, je vous renouvelle, Monsieur, tous les sentiments… Lettre du 15 9bre 1753. « Le Courrier de Provence, Monsieur qui est party. Vous porte une lettre de ma part qui vous annonce la prochaine arrivée du jeune de Pontcharra, je lui donne celle cy pour se présenter à vous, un homme de condition que la mauvaise fortune réduit à aller chercher une subsistance dans un pays aussi éloigné de sa patrie. Et qui y arrivera tombant des nues est par lui même un sujet assez digne de considération, pour que toute personne, qui a un peu d’humanité n’en soit pas touché à plus forte raison quelqu’un qui comme vous, a des sentiments, par conséquent, je crois, inutile de renouveler aujourd’huy la prière que je vous ai fait par ma précédente lettre de vouloir lui procurer par vous ou par vos amis, les secours et les recommandations qui pourront en dépendre… Lettre avec adresse et cachet aux Armes. 2 lettres sur papier vergé filigrané de l’époque, encre noire, pliures et en bon état. Cornette de la compagnie colonelle… De La Croix de Chevrière, comte de Sayve.
St Domingue. Expatriation. Correspondance GRAMMONT SAYVE. DE PONCHARRA. 1753

Frédéric-François III de Mecklembourg-Schwerin (1851-1897), correspondance avec

Frédéric-François III de Mecklembourg-Schwerin (1851-1897), correspondance avec
Frédéric-François III de Mecklembourg-Schwerin (1851-1897), correspondance avec

Frédéric-François III de Mecklembourg-Schwerin (1851-1897), correspondance avec
Correspondance autographe signée, cartes et lettres, avec Marie Thérèse de Guerne, née de Ségur, cantatrice et le comte Henri de Ségur, son frère, qui l’accompagnait au piano. Friedrich Franz III von Mecklenburg-Schwerin. Né à Ludwigslust, mort. À Cannes, c’est le quatrième et avant-dernier grand-duc de Mecklembourg Schwerin de 1883 à 1897. De santé précaire, le grand-duc réside une bonne partie de l’année en France, sur la Côte d’azur. Marie-Thérèse de Ségur est devenue la comtesse de Guerne après son mariage en 1883. Elle est particulièrement réputée comme chanteuse amateur dans les salons parisiens. Marcel Proust, qui l’admirait beaucoup, lui consacra un long article dans le Figaro du 7 mai 1905, où il la présente comme une « des deux ou trois plus grandes chanteuses vivantes ».
Frédéric-François III de Mecklembourg-Schwerin (1851-1897), correspondance avec

1792, lot de correspondance, commerce, Dieulefit, Saillans (26), Crest, Drôme

1792, lot de correspondance, commerce, Dieulefit, Saillans (26), Crest, Drôme
1792, lot de correspondance, commerce, Dieulefit, Saillans (26), Crest, Drôme
1792, lot de correspondance, commerce, Dieulefit, Saillans (26), Crest, Drôme
1792, lot de correspondance, commerce, Dieulefit, Saillans (26), Crest, Drôme
1792, lot de correspondance, commerce, Dieulefit, Saillans (26), Crest, Drôme
1792, lot de correspondance, commerce, Dieulefit, Saillans (26), Crest, Drôme
1792, lot de correspondance, commerce, Dieulefit, Saillans (26), Crest, Drôme
1792, lot de correspondance, commerce, Dieulefit, Saillans (26), Crest, Drôme
1792, lot de correspondance, commerce, Dieulefit, Saillans (26), Crest, Drôme
1792, lot de correspondance, commerce, Dieulefit, Saillans (26), Crest, Drôme
1792, lot de correspondance, commerce, Dieulefit, Saillans (26), Crest, Drôme
1792, lot de correspondance, commerce, Dieulefit, Saillans (26), Crest, Drôme
1792, lot de correspondance, commerce, Dieulefit, Saillans (26), Crest, Drôme
1792, lot de correspondance, commerce, Dieulefit, Saillans (26), Crest, Drôme
1792, lot de correspondance, commerce, Dieulefit, Saillans (26), Crest, Drôme

1792, lot de correspondance, commerce, Dieulefit, Saillans (26), Crest, Drôme
Lot de 13 lettres, toutes datées de 1792, sauf 2 datées de l’an 9. Concerne notamment le commerce de la soie qui était très développé dans cette partie de la Drôme. Elles viennent des communes de Saillans, Die, Bourdeaux, Dieulefit, Grenoble. Nous pouvons fournir des transcriptions de tous les documents que nous proposons à la vente. Tous les documents que nous proposons sont des originaux de l’époque indiquée. Nous ne vendons aucune copie (sauf expressément indiqué). Si vous avez des interrogations, n’hésitez pas à poser vos questions, nous y répondrons du mieux possible. N’hésitez pas à grouper vos achats en visitant notre boutique. Aucune expédition hors Union Européenne ne sera réalisée. Tous nos envois se font avec suivi.
1792, lot de correspondance, commerce, Dieulefit, Saillans (26), Crest, Drôme

GHEON (Henri Vangeon dit Henri) 1875-1944. Correspondance autographe littéraire

GHEON (Henri Vangeon dit Henri) 1875-1944. Correspondance autographe littéraire
GHEON (Henri Vangeon dit Henri) 1875-1944. Correspondance autographe littéraire
GHEON (Henri Vangeon dit Henri) 1875-1944. Correspondance autographe littéraire
GHEON (Henri Vangeon dit Henri) 1875-1944. Correspondance autographe littéraire
GHEON (Henri Vangeon dit Henri) 1875-1944. Correspondance autographe littéraire
GHEON (Henri Vangeon dit Henri) 1875-1944. Correspondance autographe littéraire
GHEON (Henri Vangeon dit Henri) 1875-1944. Correspondance autographe littéraire
GHEON (Henri Vangeon dit Henri) 1875-1944. Correspondance autographe littéraire
GHEON (Henri Vangeon dit Henri) 1875-1944. Correspondance autographe littéraire

GHEON (Henri Vangeon dit Henri) 1875-1944. Correspondance autographe littéraire
GHEON (Henri Vangeon dit Henri). Membre fondateur de la NRF. Correspondance autographe signée de 1895 à 1915, avec Edouard Ducoté, directeur de la Revue l’Ermitage qui a parfois indiqué au crayon l’année. 1895 – Il remercie Ducoté avec la revue L’Ermitage d’avoir « ouvert ses portes » en publiant son « Etude sur Griffin ». 1897 – Il a reçu les livres de Ducoté et en fait une étude et une critique très élogieuse. 1898 – Il remercie Ducoté de l’envoi de son manuscrit Calypso et décrit ce qu’il aime dans cette oeuvre. Votre tragédie n’est pas à proprement parler une oeuvre de théâtre mais un traité comme ceux de Gide, sous une forme dialoguée plus continue… 1899 – Organisation d’une rencontre en Normandie : Ma mère et ma soeur se réjouissent de passer la journée avec votre charmante femme…  » Puis il rapporte « Je reçois en même temps une lettre de Gide qui me dit que sa femme ne peut songer à nous rencontrer à Cabourg. Qu’il prendra peut-être un de ses jours sa bicyclette pour venir vous surprendre avec son beau-frère et qu’il me télégraphiera pour que je le rejoigne chez vous… Et il informe Nous prendrons le train de 10h. 8 à Trouville et nous serons à 11h. 30 à votre Bretèche… 1900 – Des nouvelles de ses travaux d’écriture, des amis qui l’entourent, des difficultés de Paul Fort pour se faire éditer, et du voyage avec Gide en Algérie. 5 lettres in-12°, 1 page in-8° et 1 page in-folio (à l’en-tête du Grand Hôtel à Constantine), soit environ 19 pages manuscrites. 1901 – Il s’installe à Bray-sur-Marne, il est médecin de campagne et visite ses malades à bord d’une voiturette. Il continue son travail littéraire « une longue chronique où j’avais entrepris de juger Wagner » et « l’eau de vie qui à nouveau distille ». Veille à ce que la revue ne manque pas de matériaux à imprimer. Il donne des nouvelles des amis qui viennent le voir, qu’il préfère à ses connaissances de Bray. 6 lettres in-12 et in-8°, 18 pages manuscrites. 1902 – Il évoque l’enquête de l’Ermitage auprès de deux cents personnalités littéraires, qui pose la question : quel est le plus grand poète au XIXème siècle. Il déplore les difficultés de Ducoté à produire sa pièce et donne des nouvelles sur sa propre production. 4 lettres in-12°, 15 pages manuscrites. 1903 – J’ai l’espoir de réintégrer paris cet hiver… Que n’ai-je Paris sous la main et la plupart de mon temps libre. 1 lettre 4 pages in-12°. 1904 – Il est encore à Bray. C’est peut-être la dernière année de parution de l’Ermitage et les derniers poèmes et chroniques qu’il envoi. 4 lettres in-12° et in-8°, 6 pages manuscrites. 1905 – Il regrette… L’intrusion des Van Bever Leautaud dans l’Ermitage est une triste chose! Le prochain numéro comporterait-il cinq pages de mes vers? En tout cas je vous les envoie. Donnez-moi de vos nouvelles… La place a été prise, tant pis… 2 lettres in-12°, 3 pages manuscrites. 1908 2 janvier… Vous savez que je deviens peintre : j’expose aux Indépendants, sans préjudice de la littérature : un demi roman scandaleux dont la seconde moitié s’active… 1 lettre in-12°, 2 pages. Cette année, André Gide le fait nommer à la direction de la NRF. Le surmenage d’un genre nouveau m’éberlue… Après plusieurs essais je tiens enfin mon Pierre Franc : Karl, le Dimitri des Karamazov… 1 lettre in-8°, 1 page et demi. 1912 – Il raconte la mort accidentelle de sa mère. 1913 – C’est maintenant Ducoté qui propose son livre pour une chronique dans un numéro de la NRF. Dès le retour de Gide je poserai la question de votre livre… Sans engager encore la revue… 1 lettre in-8°, 1 page. 1915 – (10 janvier). Sur une carte postale à l’usage des militaires, il envoie ses voeux aux Ducoté et son adresse au front, il est aide major 29° Artillerie…  » Il écrit « Je ne regrette pas mon voyage ; je vis dangereusement (pas trop, mais un peu) et gaiement. 1915, 13 avril, Il raconte son expérience de médecin engagé sur le front de la Somme qui contribura à sa conversion. « On vit au front sous « le fatum » ; il frappe un peu plus souvent voilà tout ; mais la « grâce aussi a les siens ; c’est dans cet espoir qu’il faut vivre… On dit la fin de la guerre prochaine. Une page in-8° recto-verso d’une fine écriture serrée. [sans date, vers 1915] Il espère changer de régiment et explique comment cela se produira. Il remercie Ducoté « pour son entremise ». Voyage en Algérie, L’installation à Bray en tant que médecin, La mobilisation, L’expérience du feu (La Somme), Médecin auxiliaire en 1915, « L’eau de vie », La relation avec Gide, La collaboration à l’Ermitage, La mort de sa mère, etc. Ecrivain, ami d’André Gide qui le fit rentrer à la revue L’Ermitage, la première guerre mondiale va changer l’orientation de sa vie et, en partie, de sa carrière. Engagé comme médecin sur le front de Belgique, il recouvre la foi catholique à Noël 1915. Foi dont il devient un fervent défenseur. L’Homme né de la guerre, pour reprendre le titre donné au récit de sa conversion, va désormais mettre son art au service de Dieu et de l’apostolat. Il devient tertiaire de l’ordre Dominicain en 1922. Il fut l’un des fondateurs de la Nouvelle Revue Française avec André Gide et Marcel Drouin. « Lied », (Les chemins creux), signé. Une page et demi in-8° petit manque de papier en pied de page affectant quelque mots d’un vers. Et « Le potager » 5 1/4 pages in-4° datées 15 et 16 juillet 92.
GHEON (Henri Vangeon dit Henri) 1875-1944. Correspondance autographe littéraire