Maryse CHOISY envoi autographe signé Un mois chez les filles prostitution

Maryse CHOISY envoi autographe signé Un mois chez les filles prostitution

Maryse CHOISY envoi autographe signé Un mois chez les filles prostitution
Envoi autographe à Roger Nicolle sur la page de titre détachée de son célèbre livre Un mois chez les filles (tirage ordinaire). In-12 (18 x 11,5 cm). Roger Nicolle qui a l’air trop débrouillard pour avoir besoin des filles ». Dans ce livre, Maryse Choisy fit une enquête en immersion dans les milieux de la prostitution parisienne. Cet item est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Lettres ». Le vendeur est « christophe6584″ et est localisé dans ce pays: FR. Cet article peut être expédié au pays suivant: Monde entier.
Maryse CHOISY envoi autographe signé Un mois chez les filles prostitution

Marcel PROUST / Manuscrit autographe pour A L’Ombre des jeunes filles en fleurs

Marcel PROUST / Manuscrit autographe pour A L'Ombre des jeunes filles en fleurs
Marcel PROUST / Manuscrit autographe pour A L'Ombre des jeunes filles en fleurs

Marcel PROUST / Manuscrit autographe pour A L'Ombre des jeunes filles en fleurs
Épreuve imprimée avec ajouts et correction autographes pour lédition originale de À lOmbre des jeunes filles en fleurs. Étampes, imprimerie La Seumeuse, pour la NRF, c. 1917 Feuillet 7,3 x 13 cm, montage sur un support de papier vergé 23,4 x 17,5 cm Numéro de foliation 30 en haut du support. Traces de colle dorigine, petite déchirure sans atteinte au texte. Splendide passage de A lOmbre des jeunes filles en fleurs , dans une version primitive, situé dans la première partie du roman Autour de madame Swann. Précieux témoignage du processus créatif de Marcel Proust procédant par corrections et ajouts incessants. Jaimais trop Gilberte pour ne pas trouver les relations de Swann désirables, même si elles meussent paru sordides. Transcription (Le texte imprimé en caractères romains et les ajouts autographes en italique). Jétais assez indifférent à tout cela. [Marcel Proust a dabord écrit puis biffé successivement puis] ne pas trouver les relations de Swann désirables, même si elles meussent paru sordides. Mais il nen était rien, elles me. Semblaient follement brillantes, non par leffet de mon amour mais dune impression ancienne. Depuis Combray jaurais pu voir Swann sans cesse entouré dapaches sans quil cessât pour moi dêtre un homme élégant, de même que Bloch naurait jamais pu men sembler un, eût-il reçu tout la haute société. En ce qui concernait la gentillesse. De Norpois nous disait témoignée par Odette à son mari, jai su quelle nétait que le recommencement, après de longs orages, de ce quelle avait eue pour lui dès quil avait cessé de laimer. Il faut dire quil nétait plus jaloux, il exprimait plus gentiment son affection et comprenait mieux celle dOdette. Avaient recommencé à recevoir de Swann des lettres où il leur demandait de le mettre en rapport avec telle ou telle personne. Il ne sinquiétait plus de la conduite dOdette. Le chagrin trop vif quil en avait jadis conçu semblait avoir entièrement brûlé la partie de son cerveau où il aurait pu y songer et qui ne séclairait plus. Il reculait devant leffort de mémoire quil lui aurait fallu pour recommencer à être jaloux, et il ne se remettait plus souffrir, cétait comme un artiste qui ne se met pas à travailler, par paresse de créateur. Il se disait quelquefois quil aurait pourtant dû donner à Odette quelques conseils, mais ai même instant il éprouvait la lassitude, lincapacité de penser de quelquun qui na pas mangé depuis plusieurs jours et après une velléité sans résultat, trouvait plus sage dépargner une fatigue inutile à ses circonvolutions inanitiées [sic]. Même comme son corps sétait usé, que son cerveau avait vieilli, il ne se contentait pas comme il eût fait autrefois de passer sa main sur ses yeux et dessuyer son monocle, il répétait deux ou trois fois : Après tout, je men fiche en penchant la tête et haussant une épaule. Pourtant au plaisir quil allait chercher de son côté, auprès dautres femmes, il manquait quelque chose. Aussi était-il content de retrouver Odette en rentrant. Le fait que la présente version soit si éloignée du texte définitif révèle lampleur des transformations accomplies. Elle sarticule en deux parties : la première ne fut pas conservée par Proust (en tout cas sous une forme au moins approchante), et la seconde fut entièrement réécrite. Il semble les avoir dabord situées dans le récit du repas donné chez le narrateur par ses parents à M. De Norpois, au début des Jeunes filles , où la conversation sattarde sur Odette et Charles Swann. Dans la première partie du présent texte, le narrateur évoque lopinion quil sétait formé de Charles Swann comme dun homme élégant, opinion durable au point de résister aux remarques critiques sur les relations de celui-ci. Il reculait devant leffort de mémoire quil lui aurait fallu pour recommencer à être jaloux. À linverse, la seconde partie souligne les intermittences du cur chez Charles Swann, en décrivant son changement dattitude à légard de son épouse infidèle, Odette. Après avoir été un amant jaloux, il est devenu un mari complaisant : Le temps a fait son uvre en émoussant ses sentiments. Cette transformation sinscrit par ailleurs dans la longue évolution du personnage au fil de La Recherche : ses métamorphoses illustrent la notion, explicitée dans Combray, de la subjectivité du regard porté sur la personnalité sociale. Rogers, article Charles Swann dans Dictionnaire Marcel Proust. Témoignage du travail de réécriture que Proust mena pendant la guerre. La composition et la publication des Jeunes filles représente une histoire complexe qui sétendit sur plusieurs années. Plusieurs facteurs amenèrent Marcel Proust à modifier profondément son texte : Dune part les exigences de léditeur concernant la longueur et le découpage de la Recherche , dautre part la guerre qui retarda léchéance dun bon à tirer, et surtout la méthode de travail de lécrivain qui, à partir de relectures successives, ne cessait de corriger et damplifier son texte. Le volume des Jeunes filles est le fruit de ce travail augmentatif, et est constitué pour une grande part des ajouts apportés au texte durant la guerre. Après avoir quitté Bernard Grasset pour rejoindre la Nrf en 1916, Marcel Proust fit réimprimer son texte dans son dernier état, le corrigea abondamment, et reçu à partir davril 1918 de nouvelles épreuves. Les Jeunes filles , dont il ny eut pas à proprement parler de manuscrit, devinrent cette extraordinaire marqueterie où de larges fragments autographes alternent avec les épreuves, corrigées ou non, dont les unes remontent à 1914 et dont les autres ont été établies en vue de la publication de 1918 P. Clarac, Bulletin des Amis de Marcel Proust, N°2. Louvrage fut achevé dimprimer en novembre 1918, mais parut en juin 1919, à la suite de quoi il remporta le prix Goncourt et décembre de la même année. Le présent feuillet appartient donc à nen pas douter au premier des jeux dépreuves imprimées pour les éditions de la Nrf en 1917, celui qui subit les corrections les plus importantes. Les éditeurs de la Pléiade nen recensent aucun exemple conservé en dépôt public. Le second jeu dépreuves corrigées, imprimé en avril 1918, en partie conservé à la BnF sous la cote Rés. Y2 824, comprend bien la seconde partie du présent texte mais dans sa version définitive presque entièrement différente f. Les placards avec ajouts autographes pour A lOmbre des jeunes filles en fleurs sont rares. Celui-ci, concernant l’un des personnages-clefs de la Recherche , Swann, mais aussi la passion fondamentale du livre, la jalousie, n’en est que plus précieux. Note: Cette épreuve, apparemment inédite, na pas été répertoriée par Pyra Wise. L’item « Marcel PROUST / Manuscrit autographe pour A L’Ombre des jeunes filles en fleurs » est en vente depuis le lundi 4 mai 2020. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Autographes\Autres ». Le vendeur est « laurent-autographes » et est localisé à/en Versailles. Cet article peut être livré partout dans le monde.
  • Type: Manuscrit Autographe
  • Epoque: Belle Epoque
  • Thème: Littérature
  • Nombre de pages: 1

Marcel PROUST / Manuscrit autographe pour A L'Ombre des jeunes filles en fleurs

Grande affiche du XVIIIe sur les femmes et filles enceintes

Grande affiche du XVIIIe sur les femmes et filles enceintes

Grande affiche du XVIIIe sur les femmes et filles enceintes
Grande affiche du XVIIIe sur les femmes et filles enceintes. 69 x 45 cm. Pliures, petites galeries de vers sans gravité. « Jugement rendu concernant les femmes et les filles enceintes, leurs obligations, celles des sages-femmes, voituriers, conducteurs, et toutes personnes de quelle qualité et condition qu’ils soient ». « [.] Il a été reconnu que cette licence provient en premier lieu de ce que cette ordonnance d’Henry second qui enjoint aux femmes et filles débauchées sous peine de leur vie de déclarer leur grossesse, aussi bien que les arrêts rendus en conséquence ne sont point observés : ce qui authorise non seulement la retraite que donnent quantité d’habitants de cette ville, fauxbourgs et lieux circonvoisins ausdittes femmes et filles débauchées qui y viennent enceintes ; mais encore leur accouchement chez la plupart des Matrones [.] ». Document imprimé à Lyon par l’archevêque François-Paul de Neufville de Villeroy. Deux vignettes gravées en haut. Frais fixes : mêmes coûts pour tous les acheteurs. Lettre recommandée – 15,00. Remise en mains propres – 0,00 (29, rue de Condé – 75006 Paris). Délai d’expédition : 1 jour ouvrable. Assurance : inclus dans les frais d’expédition. Frais d’assurance : 0,00. Exclure des lieux de livraison. Lieux exclus : Aucun lieu n’est exclu. Méthodes de paiement acceptées. Virement bancaire : (IBAN : FR76 3000 4008 8200 0100 2373 669 ; BIC : BNPAFRPPPRG). Contactez-nous pour toute question. L’item « Grande affiche du XVIIIe sur les femmes et filles enceintes » est en vente depuis le vendredi 2 février 2018. Il est dans la catégorie « Collections\Lettres, vieux papiers\Autographes\Personnalités historiques ». Le vendeur est « lettresautographes » et est localisé à/en Paris. Cet article peut être livré partout dans le monde.
Grande affiche du XVIIIe sur les femmes et filles enceintes